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Le paysage défile sous mes yeux. 

Je tient mon téléphone, encore d'une main tremblante. La scène de cette nuit-là ne cesse de tourner en boucle dans ma pauvre tête. 

Depuis ce soir-là, je me suis enfuie. Je dois rentrais absolument voir ma mère. La vision que j'avais eu avant l'attaque semble coïncider. Alors le corps de ma mère, ronger pars les flammes, peux sembler vraie. 

Je vais avoir de gros ennuies en mettant enfuie. Mais ma mère passe avant tout. Le train s'arrête à mon arrêt, je me presse de sortir avec ma sacoche, je marche d'un pas rapide vers mon bus. Au bout de quelques minutes le voilà enfin. Je grimpe dedans et pose mes fesses sur l'un des sièges.

Encore quelques minutes et je reverrais ma mère. J'ai une boule au ventre. Je me sens pas bien du tout. Il c'est passait tellement de choses pour moi. Soudain, je ressens une odeur sucrée, attirante. Je lève les yeux.. Je déglutie en voyant les veines des passager. Je tourne ma tête aussi sec vers le coter du vitrage. 

Qu'est-ce que je fou bordel ?! Je pensais qu'à vouloir mangé.. à sucé le sang de ces pauvres gens. Je l'ai est traité de monstre, de fous.. Mais je suis également un monstre.. J'enfonce l'une de mes canines dans ma lèvre inférieur pour stopper mon envie. 

- Jardin des Plantes. Prononce la vois de l'écran, accrocher au plafond du bus. 

Je m'empresse de sortir et me hâte jusqu'à chez moi. Arriver à destination, je reste scotchais. Je deviens aussi blanche qu'un cadavre. Des bannières jaune avec pour indication " POLICE - ZONE INTERDITE "

Je compose le numéro de ma maison. Le bip retendit dans mes oreilles avant de décrocher.

- Maman ? M'exclamais-je. 

- Ce numéros n'est plus attribuais. Prononce la boite vocal. 

Je lâche mon téléphone, celui-ci ce fracasse sur le sol dur. C'est un cauchemar ? Je vais m'en réveillais n'est-ce pas ? 

Soudain, la voisine sort de ça maison. Un aire surpris puis triste. Ces yeux deviennent rouge en pleurant subitement. Sans le moindre mot j'ai compris.. Cette vision c'est finalement déroulée. 

- Victoria... Ta mère est à l'hôpital, elle est dans le coma. 

Un piètre espoir pris vie dans ma poitrine. 

- Que c'est-il passait ?! 

- Quelque chose à pris feu pendant la nuit.. Me prononce la jeune voisine. 

- Depuis quand est-elle à l'hôpital ? 

- Depuis tôt ce matin. Je vais t'y conduire. 

Aussi vite que possible, ma voisine Jenny m'embarque dans ça voiture bleu en direction de l'Hôpital Saint-Louis. 

Je m'accoste à l'accueil. 

- Oui ? S'interroge la dame de l'accueil.

- Je suis la fille de madame Windsor, puis-je allais la voir

- Oh.. Mais quelques minutes, sont état reste instable. 

Après m'avoir indiqué la chambre, le cœur toujours battant, je peux voir ma mère à travers la baie vitrée. Le médecin m'autorise à y pénétré seulement 10 minutes, en expliquant la situation à Jenny. 

Nous avons aucune autre famille.. Ma mère est la seule.

J'attrape ça main entre les miennes. Relâchant toute mes larmes.. Encore.. Oui encore une nouvelles fois. 

- Maman... Désolée, si j'étais arrivée un peu plus tôt, rien de tout cela ne serai arriver. Tout est de ma faute... Pleurnichais-je. 

Elle ne bouge pas. Seul le bruit des machines retentit dans la pièce. 

Maman est branchée de part et d'autre. Au bout des minutes restantes, le médecin me fait signe de la laisser ce reposer.

- Ne m'abandonne pas.. Tu n'a pas le droit.

En ressortant de la pièce. Je m'assois sur un fauteuil. Jenny commence à m'expliqué la situation de ma mère.

- Le médecin n'est pas favorable. Ta mère est en manque d'oxygène, la fumer provoquer pars les flammes à endommagé ces voies respiratoires et ces poumons. Et vue l'antécédent médical de ta mère, elle à peut de chance de sans sortir indemne. 

Je n'arrive plus à pleuré en vue du nombre fois ou je l'ai fait. J'ai la tête vide. Je ne veux pas croire à cette situation. 

Jenny me tend un gobelet remplis de café. 

Les heures défilent.. 

- Je vais restais là pour la nuit. Vient me récupérer demain matin. Demandais-je à Jenny.

- Soit.. Tu es grande pour décider de toi-même. Je suis vraiment désolée pour toi. 

Jenny repart, une triste mine au visage. 

Une infirmière m'apporte une couverture. Je reste plantais sur ce foutu siège, regardant cette baie vitrée, me séparant de ma mère. 

Mes paupières ce clos pars le manque de sommeil. 



L'Interdit. [TERMINEE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant