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" Victoria ! Victoria ! VICTORIA !! " Me gueule la vois de Mathieu dans ma tête. J'ouvre mes paupières encore lourde. 

Ou suis-je ? Ah.. C'est vraie.. L'hôpital, maman, les flammes, l'académie.. Je regarde l'heure sur mon téléphone, elle indique 4 : 30 du matin.

Hein ? Des personnes en blouse blanche sont attroupées dans la chambre de ma mère. Me réveillant complètement, je bondis du siège. Plaquant mes mains sur la vitre, regardant la scène ce déroulant sous mes yeux, impuissante. 

- Vite ! Il me faut cette seringue ! Raconte le médecin.

Il lui font des massages cardiaques, tant de chose que je n'arrive pas à suivre.

L'objet rectangulaire, indiquant l'état cardiaque de ma mère vacille vers le bas. Le médecin injecte un produit dans le sang de ma mère.. Puis le bruit sonore que personnes ne souhaite me parvient.

Je frappe la vitre comme une hystérique.

- Non ! Non ! Maman ! Maman ! 

Un infirmier me tire pars les épaules. Non pas encore.. Sa se reproduis.. On m'écarte une nouvelle fois. 

J'attrape la main de l'homme et le repousse brutalement. Je me rabat dans la pièce, je pousse d'une force inhumaine ces gens, j'attrape la main de ma mère. 

- Heure du décès : 4 heure 42.

Les individus sort un part un de la pièce. Seul un infirmier reste à la porte. A genoux, je pose mon front contre le rebord du lit, tenant fermement la main de ma mère.

Je suis faible.. incapable de protéger ma propre mère. Des bruits de talons ce font entendre, courant jusqu'ici. Je reconnais l'odeur de ce parfum, Jenny. Ces mains ce posent sur mes épaules, pleurant tel un enfant de 5 ans. 

- Je suis désolée ! Vraiment désolée ! Si je ne travaillais pas de nuit j'aurais prévenue les pompiers bien plus vite que les autres voisins ! Bégaye t-elle. 

Je ne lâche aucun mots. Je reste dépitée. Après des heures à resté là, le corps de ma mère fut emmener dans les recoins les plus sombres de l'hôpital. 


- Quelques jours plus tard -


Je dépose délicatement la rose blanche sur la tombe de ma mère. Quelques amis, voisins fut présents. 

J'embrasse mes deux doigts de la main droite avant de déposer mes doigts sur la tombe. 

- Repose en paix, maman. Tu était une très bonne mère.

Je sort du cimetière raccompagner pars Jenny. Elle m'a invité à resté chez elle jusqu'à que je puisse me débrouillais seule. 

Je me dirige dans la chambre d'ami. Ou puis-je dire ma nouvelle chambre. J'ai pue récupéré quelques effets personnels de ma mère. J'accroche sont bracelet sur mon poignet droit. Je me laisse glissais le long de la porte. La tête entre les genoux, je reste à regardé mes cuisses. 

Toque.. Toque.. Un bruit provenant de la fenêtre me titille, je relève la tête. J'ai dû rêvé ? Puis un caillou ce frappe à ma fenêtre. J'hésite.. Puis je viens ouvrir cette fenêtre. 

- Comment m'as-tu retrouvé ? 

- Là n'est pas l'importance. Reviens, le monde des mortels est bien trop dangereux. Le Conseil, les sang-purs sont à ta recherche. Me prononce Mathieu. 

- Va tant. Dis-je sèchement. 

- Victoria je suis sérieux ! Même Dylan à disparu ! 

- Et alors ? .. A cause de vous.. Bégayais-je. 

- Victoria ? Prononce t-il d'une voit douce et inquiète. 

Si je reste ici, Jenny va être impliquée. 

Je viens dans le salon.

- Jenny, je vais retournais à mon école. Je ferais le vœux que ma mère à toujours voulut. Que je sois diplômais de cette académie. 

- Hésitante, Es-tu sure ? Tu n'es pas en état..

- C'est mieux que restais à déprimé chaque jours, tu ne crois pas ? 

Jenny vient me serrer dans ces bras. 

- Je reviendrais pendant les vacances. Je te remercie d'être là pour moi.

Sur ces mots, je prend mes affaires et part de la maison. Puis je ère dans les ruelles. Des gouttes de pluies commencent à coulé sur mon visage abattu pars les cernes. 

Même le temps est en deuil ? ... 

Je m'arrête dans un parc.. Cette aire de jeu.. Des souvenirs de ma mère et moi refont surface. Je marche sur le sable de l'aire de jeu, je grimpe dans l'un des jeux, m'engouffrant dedans pour m'abriter de la pluie. 

A l'instant d'après, grimpe Mathieu. Il s'adosse devant la seule sortie possible. Me coinçant comme un vulgaire rat. 

- Je te laisserais pas ! Pas dans cette état ! 

- Ferme-là.. Je n'ai pas besoin de t'entendre, ni toi, ni tes semblables. Parlais-je froidement. 

- Qui y'a t-il ?

Il est toujours doux avec moi.. il s'intéresse à moi, comme Dylan, mais d'une façon plus gentille, plus douce. 

Sa m'énerve. 

J'attrape le haut de sont t-shirt noire. Le fixant droit dans les yeux. 

- Ma mère est morte dans un incident ! Et pourtant j'ai eu la même vision quand j'ai vue Amélie mourir !  Encore...Encore ! Je n'ai rein pue faire bordel ! 

- Victo--

- Le coupant, Ces pouvoirs ne sont qu'un nuisibles ! J'ai causé du tord à vous ! A ma mère ! Suis-je un monstre ?! 

Hors de moi, je le pousse sur le sol. Remarquant mon geste, je descend de l'étage du jeu et essaye de l'aider. Il attrape mon bras, je tombe sur lui. Il me retient fermement. 

- Défoule toi. Tu as toutes les raisons de le faire. Je ne t'abandonnerais pas. 

- Pourquoi ? Hein ? 

- J'étais sérieux lors de ce baiser. 

L'Interdit. [TERMINEE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant