Old Best Friends [Terminé]

Épilogue

Un ans plus tard ...

La vie avait bien changer pour nos personnages.

Mattéo et Lisa formais enfin un couple heureux. Il était installé pas loin de l'école de la jeune fille, dans un appartement au centre de Clermont-Ferrand. Il avait une vie de jeunes adolescent. Il sortaient, s'amusaient avec leurs nouveaux amis. Il avaient comme oublié le passé...

Enfin cela aurait été utile de tout oublié pour Tony. Celui-ci n'avait pas fait le deuil de son cousin et s'ombrait peu à peu dans l'alcool. Il était partit vers Périgueux, pour s'occuper de Maya, et surtout, de peur d'oublié. Il enchainé les soirées et les bars, passant pour un gros fêtard au yeux de sa nouvelle fréquentation. Mais au fond de lui, il se sentait vide, abandonné. Même elle était partie..

Car Camille avait abandonné, leurs relation ne se constituait plus que de tensions. Elle se noyait donc dans ses études, excellent donc dans ce domaine. Mais elle ne sortait plus, et quand elle ne travailler pas, elle songer à l'été de ses dix huit ans, versant une larme en se souvenant de tout ces souvenirs merveilleux qu'il avait laisser..

Corentin avait refait sa vie. Il travailler à Paris dans une entreprise où il avait une forte probabilité d'évolué, et, qui sait, peux être un jour devenir PDG ? il s'était mis avec une fille. Elle s'appelait Maria. Elle était belle, sympathique et intelligente. Mais elle ne remplacerait jamais Sarah... Il avait de nouveaux ami, mais ils ne remplacerais jamais Tony... Il voyait encore Son frère et sa protéger certes, mais de moins en moins tout de même... Parfois, les nuits étoilées,  sur leur balcons, qui avait une vue sur les toits de la ville lumière, il buvait une coupe de bon vin, en repensant au bons moments de son passé.  

Sarah était toujours en Amérique. Elle finissait ses études et travailler à coter dans un ranch en échange de la pension de son équidé et un logement. Elle n'avait pas une minute à elle, mais était comblé, surtout grâce à son petit bout de chou. Il n'avait que quatre mois, mais il ressembler déjà tellement à son père.. Si seulement il avait été la pour le voir... Elle l'avait appelé Josh, car c'est comme cela qu'il l'aurait nommé. Ses journée était remplie, mais c'était mieux pour elle. Car les temps de répits l'emmenait dans les profondeur des souvenirs, et la poussait à se poser des questions si existentiels que même Aristote ne pourrait répondre.

Eva aussi était toujours à l'autre bout du monde. En effet, elle n'était jamais rentrée de son voyage. Elle avait maintenant une vie joyeuse, avec sa famille, et même un copain, avec qui ils avait fait toute l'Australie à pied. Elle était comblé. Mais sans jamais tout oublié. En effet, elle cachait dans une petite boite des objets souvenirs de ses amis de France, ceux qui avait toujours été là. Des fois, elle ouvrait la boite, et souriait en repensant à tous ce qu'il avaient vécu. Elle viendrait les voir un jours, car ils leur manque tout les huit... Même si le huitième n'était pas Clémence mais bien Léo, dont elle n'était toujours pas au courant du décès.

Clémence avait déménager à Londres avec son frère. Elle se sentait encore coupable. Pour elle c'était clair : C'est moi qui est tué l'amour de mon frère, entrainant sa dépression. Les seuls moment où elle se sentait réellement vivre, c'était quand elle faisait la comédie. Cela lui permettait de s'évader dans un autre corps, une autre vie. Elle était actrice le jour, sœur de 18 à 20h, et ivre la nuit. Éternel recommencement. Son nouveaux "charme" triste envouta de nombreux réalisateur, et elle devenu bientôt une célébrité connu dans le monde entier.

Car Harry était toujours en dépression. Il refuser de tourner la page. Les médecins disait que c'était à cause "D'une grande frustration engendré par le fait qu'il n'ait pas pu réaliser leurs souhaits ". Alors son psychologue lui avait conseiller de faire un livre qui raconterais leur histoire. Au début, il n'en voyait pas trop l'intérêt, puis, au fil du temps, cela devenu une obsession. Il devait écrire. Quand il écrivait, Léo revivait. Il imaginer sa vie ici, avec lui. Il publia ses livres et gagna de quoi pouvoir vivre de se qui était devenu son addiction. Alors les gens autours de lui pensaient qu'il allait mieux, seul sa sœur avait compris. Seul sa sœur avait vu, ses brouillons, son regard presque fous quand il trouver des idées, et les anti-dépressif cachais sous le canapé..

Les inséparables furent séparés...