Angel's_ Réécrit

Chapitre 51

Plaide autour du COeUr

On avait enterrer le corps de Myr hier, la journée s’était fini par un repas en famille avec les grand-parents, les oncles et tantes ainsi que cousin et cousines. Maman était au coeur de la soirée, ma grand-mère la soutenant, comprenant sa peine, ayant perdu papa. Pourquoi notre famille est maudite comme ça ? On a plus de père et maintenant on a plus de Myrtille ?! Putain ! 

J’ai besoin de décompresser, de voir quelqu’un, quelqu’un en dehors de tous ça. J’aurais pu aller voir une pute pour me vider les couilles ou appeler l’une de ses filles en manque d’affection qui traîne au coin d’un couloir. Mais non, il a besoin d’autre chose, quelque chose de plus viscérale, un coin chaud pour s’y réfugier, il n’allait pas se créer un masque de Bad Boy car il n’en est pas un.

Il prends son portable et passe un coup de file rapide.

_Ouah Allô ? Je peux passer chez toi ?.. Sauf si ça te gêne………. D’accord, je passe chez toi à quelle heure ?....... Tu m'envoies l’adresse par message ?....... T’inquiète pas Toinou, je connais la ville puis j’ai de la 4G et Google map connaît toutes les adresses. Ahah !....... A toute…

Il raccroche son téléphone, un plaide en laine autours du coeur. Il met sa veste en jean et fronce des sourcils en voyant l’adresse, se mord la lèvre et sors de chez lui.

***

Rien allait dans sa vie, sa petite soeur était six pieds sous terre, son grands frère est de plus en plus silencieux avec le reste de la famille, ses petites soeurs commence à demander le retour de leur soeur de plus en plus souvent et Jo est retourné dans ses vieux démons. Maman ? Elle est la seul à réagir avec le plus de stabilité de la famille, elle pleure, mais tient la barque, elle doit bien être la seule.

Son téléphone s’allume, lui signifiant qu’elle a reçu un message. Oh.. Il y a ça aussi, elle en avait beaucoup réfléchit avec ses amis et il était l’heure. Elle envoie un sms, s’habille un peu plus chaudement et sors de la maison, passant par un chemin qu’elle connaît par coeur.

***

Ah ouais ! Quand Antoine dit que ses parents avait un peu d’argent dans leur patrimoine et qu’il vivait dans une belle maison, c’est que ses parents était putain de riche et qu’il vivait dans une putain de villa ! 

Il sonne au portillon, rien que l’entrée lui ramenait dans sa petite vie de banlieusard avec sa mère qui n’arrive pas à tenir les deux bouts, prenant un peu plus dans l’héritage de papa. Bon ! Ne pensons pas à ça. Une fois, que le majordome de la famille vient le chercher, il traverse un parc entier et rentre dans le manoir pouvant accueillir les meilleurs fêtes de l’histoire. Il traverse 5 couloirs et 3 pièces et arrive dans la chambre d’Antoine, faisant la taille de sa maison.

Le vert arrive, sortant de sa douche, son corps couvert par un pyjama en soie rouge. Putain il était magnifique bordel, il va l’embrasser s’il ne se contrôle pas maintenant. Mais il n’as pas envie de se contrôler, il veut tous laisser tomber, vivre dans l'excès, l'excès d’opulence, l’excès de joie, l’excès de sexe, l’excès d’amour… 

Il s’approche, marche vite et prends l’hôte dans ses bras, le porte sur la table et l’embrasse.

Ce baiser était tous ce qu’il voulait, il corps chaud contre lui, des lèvres mouvante hypnotisant tous ses sens, deux bras frêles s’enroulant autours de son cou. Mais comme les Mon chéri, cela a une fin. 

_Antoine.

_Charlie je-

_Chut je dois te dire quelque chose.

_Charlie-

_Moi, Charlie Qant, 17 ans, jeune lycée qui va rater sa vie, qui vient de perdre sa soeur. J’aime jouer de la guitare, la nourriture, ma famille, mes amis. Et je-

Il se fait couper par une paire de lèvre qui vient goûter au fruit défendu.

_Et je suis fou de toi.

_J’ai envie de toi Charlie.

Le blond porte son amant jusqu’à son lit, se déshabillant mutuellement.

***

Bordel ! Il tape dans une canette de soda traînant à ses pieds, la pauvre, elle n’aura pas dû le croiser ce jour là. Bordel ! Il tape dans l’arbre, le fameux arbre, cet arbre qui a tout vu, là où il se sont avouer à l’autre, là où ils se retrouver minimum une fois pas semaine, là où ils se sont embrasser, là où elle l’a plaqué. Il pensé que tout allait bien, son frère avait approuvé leur amour, aucun obstacle.

Mais quand toutes les choses allaient se faire l'amour pour entrer en file indienne l'un dans l'autre. Un enculé ne trouva pas le trou. Chléo le larguait. Non pas à cause de son frère ou juste à cause de son meilleur ami Taylor qui était vachement trop beau quoi. Non, elle ne l'aimait plus. Il avait perdu ce qu'il croyait être sa femme. Il se serait bien marié lui, Chléo aussi, avec un autre inconnu.