Chapitre 50

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Edward au mains d’argent

Le grand-père de Luke était un homme d'affaires. Il ne vivait que pour ses chiffres et les coupons porteur de destin devant lui. Il n'avait pas le coeur sur la main contrairement à sa femme qui était trésorière pour un groupe humanitaire. Leur rencontre et leur amour avait surpris tout le monde mais disons que le charme de jeune fille avait fait chavirer le coeur du trentenaire déjà à la tête de beaucoup d'argent.

Leur amour était rapide, il s'était croisés, aimés, mariés et ils ont enfanté leur fils. Edward, le grand-père, lui a inculqué le sens des affaires et Marie, la grand-mère, lui a instruit l'amour pour son prochain. Le chemin c'est réitéré, le père de Luke à rencontré la richesse, le succès et sa femme rapidement. Il l'avait aimé, marié, engrossé. Et le dernier de la famille, Luke, naquit.

Cela faisait maintenant une semaine et trois jours que les grands-parents était à la maison et pourtant ils n’avaient eu aucun jours avec leur petit-fils. Ce n’était pas le temps qui manquait, depuis la tuerie, le lycée avait laissé un mois au élèves de vacances et les proches des victime, eux, reprenait les cours à la rentré de Janvier. Et apparament l’un des amis de Luke qu’ils n’ont jamais vu était l’une des victimes.

_Mon amour, peux-tu essayé de passer une journée avec ton grand-père ? Il a prévu de l'emmener faire les boutiques pour Noël.

_Tu compte vraiment fêté Noël alors qu’Eden est à l’hôpital ?

_Oui mon chat, cela te changeras les idées..Aller.. Sors de là Lucky.

Luke soupire et met des vêtements à peu près passable pour le goût très chic de son grand-père, primant toujours sur le paraître comme l’une des bases de la soumissions de l’autre.

Un noue ses lacets, met sa veste en cuir et va retrouver son aïeul qui l’attendait devant la porte d’entrée sans aucune once d’hésitation. Malgré son vieil âge, son grand-père n'avait pas perdu sa beauté d'antan, faisant toujours chavirer les cœurs des vieilles grand-mère qui pense que leur sex-appeal est toujours au rendez-vous. Edward les méprisait bien, ces femmes octogénaire qui viennent pour lui raconter des idioties.

_Salut.

_Bonjour Luke, tu veux aller où ?

_Bah je sais pas, un cadeau c’est pas censé venir du coeur ces conneries là ?

_Comme tu le dis si bien, je préfère que tu choisisses, puis tu dois bien avoir un magasin en tête à cet instant.

Le petit-fils hoche de la tête, ayant toujours des envies, mais généralement il les assouvie. 

_Je veux un chien.

_Bien soit, quel race ?

Luke réfléchit encore et hausse des épaules.

_On a cas voir à la SPA.

_La SPA ? Tu veux adopter un chien qui a déjà appartenu à quelqu’un d’autre, je suis sûr que tu peux avoir un chiot à l’animalerie.

_L’animalerie c’est des conneries, les animaux qui ne se vendent pas finissent dans leur croquette à la con, puis la SPA, il te le file stériliser et tous.

_C’est pas l’argent qui compte.

Luke, ayant marre de cette discussion, sachant de toute façon que son grand-père allait le mener là où il voulait, sort de la maison, pour rentrer dans la belle BMW noir cabriolet, attachant sa ceinture de sécurité.

La trajet en voiture se fit silencieux, les deux hommes n’avait pas grand chose à se dire, parfois, le plus vieux posait des questions banales comme “Tu fais quoi à l’école”, “C’est bien ?”, et Luke répondait par des réponses banales “Ouais” “J’ai des bonnes notes”. Le don de la communication n’était pas passé dans leur gênes. 

Arriver à la SPA, les deux Griffins rentre dans l’habitacle allant directement vers les canidés,un chat ou un lapin ne correspondant pas du tout. Il traverse,les couloirs, regardant à travers les grilles. Il y a beaucoup de petit chien, sûrement des familles irresponsables qui on eu leur moral défaillir quand ils ont vu le prix pour emmener un chien en vacances, ou un enfant qui ne s’occupe pas assez  de “Caramel” et des parents qui ne voulait pas de ce chien à la base.

Puis vient les chiens plus gros, aux regards marqués, des propriétaires irrespectueux, chassant leur animaux à coup de pelle. Il s’arrête devant un berger belge, le corps robuste, un pelage caramel/noir,un masque noir sur la face, les yeux verts.

_J’veux lui.

_Ce chien ? D’accord, je vais voir s’il y a quelqu’un dans ce garage.

Pendant que son grand-père, le porte-monnaie dans la main, marche vers l’accueil, Luke pose une main sur le grillage, le chien, docile vient se frotter contre cette main. L’humain lit sur sa fiche qu’il a était affamé par ses anciens maîtres et nourris exclusivement d’alcool. Une chance qu’il soit en vie sans aucune maladie pour l’instant, il avait 6 ans.

_Maintenant t’es mon chien, et ton nom, c’est Parchu. Si tu sais pas ce que ça veut dire va sur google trad fais pas chier. Enfin t’es en chien, je vais te montrer comment aller sur l’ordi déjà.

~~Papi Luke en photo~~

Angel's_ RéécritOù les histoires vivent. Découvrez maintenant