Cela faisait une semaine et j'étais toujours au XVII siècle. J'avais beau réfléchir et essayer de me souvenir de cette soirée rien, c'était le trou noir.Pendant cette semaine j'avais fait la rencontre de Madame et de la Montespan. C'était d'ailleurs la main de Madame que tenait ferment la main du roi l'autre jour. La Montespan elle je ne sais pas mais elle me revenait pas, peut-être sa réputation que je connaissais déjà. Le roi lui je ne l'avais plus revu.
Avec Marie nous étions devenu très proche. Elle appréciait mon sens de l'humour et moi sa sagesse. On se complétaient bien toute les deux.
- Marie, l'interpelle je.
- Uhmm...
- J'aimerais avoir ton approbation pour quelques chose.
- Je t'écoute, dit-elle en se redressement.
- J'aimerais que tu sache qu'aujourd'hui je vais rencontrer le roi. Et je voudrais pas que tu te face des idée ou même que tu l'apprenne par des commérages.
Elle sourit et me prend dans ses bras.
- J'apprécie ta démarche Émeraudes, merci. Tu peux y aller je te fait confiance.
- J'y vais, je te vois tout à l'heure.
Je me leva et me dirigea vers les appartements du roi. J'entrais sans même tapé et regretta vite mon geste.
J'ouvris la porte et tomba sur le roi et sa belle soeur presque nu, dans une position très subjective.
- Désolé, dit je en ferment les yeux, je ne savais pas, enfin je voulais pas.
Après ses mots je sorti et attendu devant la porte. Ça m'apprendra la prochaine fois à ne pas toqué au porte.
J'attendais depuis plus de dix minutes devant cette foutu porte. Je pensait les avoir dérangeait mais enfaite non. Je tourne en rond dans le couloir le temps qu'il finissaient leur petite affaires.
Après au moins dix tours un homme voulu lui aussi entré dans le bureau du roi, mais je l'empêcha.
- À non non, c'est chacun son tour, et j'étais là avant vous, je dis en le poussant.
- Pardon mais je n'attends pas et encore moins pour voir mon frère.
- Votre frère, je dit, vous êtes le frère du roi, j'interroge.
- Philippe, Duc d'Orléans, maintenant laissai moi passée, il répond.
Je me mis devant lui et posa mes mains sur ses épaules.
- Attendez, vous ne pouvez pas entré....
- Et pourquoi ?!
- Il règle une affaires très, très, mais vraiment très importante, je dit en tapant sur la porte, et puis croyais moi vous ne voudrez pas voir ça, je grimace.
- Très bien mais puis je savoir à qui ai je l'honneur, repris le duc.
- À oui excusez mon impolitesse, Émeraude de Schöne, ravie de faire votre connaissance sire, je répond accompagné d'une révérence.
- C'est donc vous la femme qui avait ridiculisée ma femme, il sourit, j'aurais voulu voir ça il paraît que c'était à mourir de rire.
- Vous n'êtes pas en colère, je fronce des sourcils.
- Non au contraire vous avez le champs libre, j'espère que la prochaine fois je pourrais voir vos talent, il dit en s'apprêtant à partir.
J'étais sur le fesse, le duc m'encourageait à importuner sa femme.
- Mais n'en faite pas trop non plus, me fit un clin d'œil le duc.
Après ses mots il parti pour de bon, puis quelques minutes plus tard sa femme sortie de chez le roi. Elle me toise du regards instant, je lui tira la langue et entra dans le bureau du roi.
- Ne vous a t'ont jamais appris à frappé mademoiselle, questionne le roi.
- Et vous à ne pas vous amuser avec la femme de votre fère, dit je du tac au tac.
Le roi me regarda et je mis ma main sur ma bouche, j'avais vraiment dit ça à Louis XIV.
- Vous avez raison, il dit en s'approchant de moi, alors pourquoi pas m'amuser avec.... Uhmmm laisser moi réfléchir... Vous, il touche mon visage.
Pour qui il me prenait, une de ses filles de joie non mais je rêvais.
Je retira ses main de mon visage et le regarda dans les yeux.- Je ne suis pas une putains sire, jamais je ne ferait quelques chose avec vous.
- C'est un défi, sourit le roi.
- Non c'est une certitude, je répond.
- Très bien, il répond en regagnant sa place, puis je alors savoir la raison de votre venue.
- J'ai quelques chose à vous dire.
- Je vous écoute...
- Je sais que vous allez trouvé sa bizarre mais je sais tous de vous, mais vraiment tous.
- Comment ça, il fronce des sourcils.
- Je vois l'avenir et je suis venu ici pour vous proposer mon aide, je dit.
- C'est une blague.
- Non je sais tous sur tous les naissances, les morts, les guerres, les pertes, les victoires, je sais tous.
Le roi perplexe me regardait. Il avait réfléchi un petit moment.
- Dite moi comment pourrai je vous croire, repris le roi.
- Je peux vous dire une date.
- Et bien dite.
- Le 20 janvier 1666, sois dans moins d'un mois une personne que vous aimez va nous quittée.
- Qui ?
- Je ne peux pas.
- Je vous ordonne de me le dire, menace le roi.
- Je...Je...Promettez moi de gardé votre calme.
- Je le promet, répond le roi calmement.
- C'est votre mère la reine, je dit en me pincent les lèvres.
- Vous vous moquer de moi !!?!
- Non je vous le jure, je sais tous à l'avance. Vous pouvez me surveiller ou même m'enfermer jusque là. Mais je vous pris de me crois.
- Très bien, il se lève, mais si il s'avère que tous se ci est faut, vous payerez le prix par votre vie.
Il était debout en face de moi le regards noir. J'avais fait oui de la tête et je m'étais éclipsé. Derrière la porte je lâcha un long soupire.
- Et bien j'espère que votre entrevue avec le roi c'est bien passé, raisonne une voix.
Je sursaute et aperçu le duc d'Orléans.
- Vous m'avez fait peur.
- Peur ? C'est bien la première fois que je fais peur.
Je rigole à sa blague et me décala pour le laisser entrer.
- Bonne chance, je l'ai comment dire, juste un peux énerve.
Sur ce je m'éclipse pour rejoindre les appartements de la reine.
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Mon Rêve, Versailles T.1
Historische RomaneJe m'appelait Émeraude Schöne, j'avais dix-neuf ans et vingt ans dans deux jours. J'étais étudiante à l'institution de sciences politiques à Paris. J'avais tous pour moi, des amis, la famille en bref une vie parfaite. Je n'étais pas une fille qui pa...