PVD ÉmeraudeAujourd'hui j'étais convoqué dans le bureau du roi. Je ne l'avait pas vu depuis sa crise de jalousie. Je n'avais pas chercher à le voir et je ne voulais pas le voir.
J'étais à l'extérieur et observer Philippe s'entraînait à tenir l'épée. Je lui avait raconté l'altercation que j'avais eu avec son frère.
- Je ne le croyais pas si possessif, pouffe monsieur.
Je lui lança un regards sévère.
- A croire que c'est de famille, je le pique.
- Ahh très drôle.
C'est à ce moment qu'il perdit son épée. Je rigolait et me moqua de lui.
- Laisse faire les professionnel, je ramasse l'épée du sol.
- Une femme jouer à l'épée, je t'aime bien Émeraude mais tu ferait mieux de retourner faire de la broderie.
- Et bien je vais te montré comment une femme va te ridiculiser, je tape sa tête.
- En garde, je crie à mon adversaire.
Philippe observa attentivement le combat. Nous commencions le combat. Mon adversaire et moi ne voulions pas perdre. Je voulais montrer à tous ces homme que les femmes n'étaient pas seulement la pour faire jolie.
D'un coup je fit tombé l'épée de mon adversaire, il leva les mains en signe d'abandon. Je jeta à mon tour mon épée et me tourna vers Philippe pour lui tiré la langue. Les autres chevalier avait explosé de rire et m'avaient applaudis par la suite.
- Alors quelque chose à rajouter Monsieur, j'interroge Philippe.
- Non, je retire ce que j'ai dit, il se lève pour me prendre dans ses bras.
- Je suis une femme forte.
- Oui, il dit en ébouriffant mes cheveux.
Philippe et moi étions devenu plus qu'ami, je le considérait comme mon grand frère et lui sa petite soeur. J'étais sa confidente et lui le mien. On avait la même vision de vie et puis il combler le manque du à l'absence de mes proche et moi l'absence de son frère.
Soudain il me souleva du sol sans que je m'y attende.
- Philippe laisse moi descendre, je me débat.
- Il fait chaud tu ne trouve pas et puis après tout efforts nous avons besoin d'un bon bain, il me répond en se dirigeant vers un bassin d'eau.
- Philippe je te jure que si tu ne me fait pas descendre tous de suite tu vas le regretter !!
Il rie puis me jeta dans l'eau glacer, je cria de surprise. Philippe laissa résonné son rire cristallin.
- Alors ça tu vas le regretter, je sourit.
Je l'attrape par le pied et le tire par surprise dans l'eau à son tour. Il tomba et nous rions à gorges déployer. Je déposa un baiser un baiser sur sa joue et lui sur mon front.
- Et bien je vois qu'ici on s'amuse bien.
Surprise, je leva les yeux et croisa les yeux du roi qui nous envoyaient des éclaires.
- Un petit moment de détente ne fait pas de mal, je répond en sortant de l'eau suivie de Philippe.
Il m'avait d'ailleurs confié qu'il avait du mal à tenir tête à son frère.
- Je ne suis pas venu ici pour me disputé avec toi Émeraude, soupire le roi.
- Et bien moi j'ai une demande à te faire, je demande.
- Très bien je t'écoute, sourit le roi.
- Tu pourrais laisser Marie un peu, ça fait près d'une semaine que tu l'accapare, je boude.
Il rit suivie de son frère, je fronçais des sourcils et croisa mes bras sur ma poitrine.
- C'est pas drôle, elle me manque et par ta faute, je pointa du doigt le roi, je suis obligé de passer mon temps libre avec cette abruti, je montre cette fois ci Philippe.
- Hé, il crie faussement outré, je ne t'oblige pas à resté avec moi c'est toi qui me suis partout.
- Très bien, très bien j'ai compris je ne garderais pas Marie pour moi seul, calme le roi.
C'est à se moment qu'une femme apparu derrière le roi, Philippe qui l'avais aperçu en premier avait fait une révérence suivie du roi qui l'a vu à son tour.
- Eh bien cela fait fort longtemps que je ne vous ai pas vue rire ensemble, dit la femme.
- Mère, avaient dit en cœur les deux frères.
C'était donc leur mère, je fit à mon tour une révérence.
Elle portais une robe sombre et orné de bijoux précieux. Malgré son âge elle dégager un énorme charisme. Elle était intimidante, j'avais même honte de me présentait comme ça. Ma toilette était en piteuse état. J'étais trempé de la tête au pied.- Et bien à qui ai-je l'honneur, m'interroge la reine.
- Émeraude de Schöne, c'est un honneur de faire votre connaissance, je dit d'une voix à peine audible.
- Et bien tu as perdu ta langue, rie Philippe suivie du roi.
Je lui donne une tape sur la poitrine et le foudroie du regards. Philippe se contenta de crier de douleur.
Je baissa la tête en me rappelant que la reine était là. Je m'étais mordu la lèvres tellement j'avais honte. La reine s'approcha et me força à relevé là tête.
- Il l'a bien mérité, Philippe peut parfois être insolent, elle dit en le regardants.
J'en profita pour lui tiré la langue.
- Et bien Émeraude cela me ferait plaisir si vous acceptez de prendre le thé demain avec moi, repris la reine.
- Avec plaisir votre majesté, je dit accompagné d'une révérence.
- Et bien, je vous laisse les jeunes.
Sur ces mots la reine disparu et le deux frère explose de nouveau de rire.
- J'aurais jamais cru dire ça mais tu étais totalement niaise et mignonne devant notre mère, dit le roi.
- Tu as vu comment elle jouer la petite timide, rajoute Philippe.
- Oui, j'ai vu c'était à mourir de rire.
- A ça va, je cri, vous n'allez pas en faire toute une histoire.
- Si, je peut te juré que je serai toujours la pour te le rappeler.
Je les poussa énervé et marcha en direction de ma chambre. Je me retourna une dernière fois pour les voir se foutre de moi. Devant il avait le grand bassin et puis je devais me venger.
Je m'approcha tous doucement et les poussa dans l'eau. Il avaient tous les deux crié de façon très aiguë. Je leur avait tiré la langue.
- C'est bien fait pour vous, ça vous apprendra à me chercher.
- Hé c'est pas très gentil ça et puis tu nous à pris par surprise, s'offusque Philippe.
- La vengeance est un plat qui se mange froid ou mouillé dans votre cas, j'ajoute.
Ils sourient et je partie cette fois ci pour me changer.
- Ahh est Louis je j'attendrai dans ton bureau, je cris.
Sans même attendre une réponse je disparait afin de me changer.
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Mon Rêve, Versailles T.1
Historical FictionJe m'appelait Émeraude Schöne, j'avais dix-neuf ans et vingt ans dans deux jours. J'étais étudiante à l'institution de sciences politiques à Paris. J'avais tous pour moi, des amis, la famille en bref une vie parfaite. Je n'étais pas une fille qui pa...