C'était le grand jour nous retournions à Versailles. Louis et Philippe se sont expliquaient et il se sont réconcilier. Augustine était arrivé à Saint-Cloud. Elle était magnifique et puis très sympathique mais un peu timide au début. Heureusement Amandine et Lorraine l'avais un peu endurci et lui avaient expliqué le fonctionnement de Versailles.
Augustine, Amandine, Marie et moi étions très proche. En effet j'avais fait des aller retour entre Saint-Cloud et Versailles avec moi j'avais ramené Augustine et Amandine qui avait rencontré la reine. Marie les avaient directement adopter. Augustine avait 16 ans et Amandine 18. Marie les considéré comme ses soeurs, étant plus âgé que nous Marie se sentait obligé de veillé sur nous.
J'étais à Saint-Cloud dans les appartements de Philippe avec Lorraine qui ne cessait de descendre la nouvelle femme de Philippe.
- Elle est vilaine et grosse, dit Lorraine en regardant son portrait.
- La beauté est éphémère et ne dure jamais longtemps. La beauté intérieur elle dure toute la vie, je lui dit, et puis t'es bien placer pour le savoir.
- C'est pourtant avec se visage que j'ai réussi, il se défend.
- Oh tais toi Lorraine, je répond.
La promise de Philippe devait venir aujourd'hui. Je regarda Philippe peux concernés.
- Philippe, c'est toi qui vas chercher la princesse, je lui demande.
Il me répondait pas et avait l'air perdu dans ces songes.
- Il pense à moi, dit Lorraine.
- Philippe, je tape du pied.
- Tu disait, il répond le regards vide.
- Rien, je lui répond.
Je m'assois à côté de lui puis il déposa sa tête sur mon épaule. Je lui caresse les cheveux comme un enfants.
- Philippe... Tu ma l'air bien triste...
- Comment veux tu qu'il soit heureux, il se marie avec un laiderons, rit Lorraine.
- Dégage Lorraine, je le fout dehors.
- Très bien, votre très chère amie Lorraine part.
- Bon vent, je dit lorsqu'il sortie enfin de la pièce je me tourne ensuite vers Philippe complètement passive, ce mariage ne n'enchante guerre.
- Comment être heureux, je me marie avec une femme que je n'ai jamais vu et qui m'attire guère.
- Tu veux que je t'accompagne ?
- Tu voudrais, il se lève et me regarde.
- Bien sûr...
Il me pris dans ses bras et je pu m'empêcher de rire face à ça réaction enfantine.
- Lâche moi, Tu m'étouffe !!
- Non, et il me serre encore plus fort.
- J'étouffe, je lui donne une tape sur la tête.
Il me lâcha lorsque la domestique entra pour nous dire que les appartements de Madame étaient prêts et que notre voiture était prête et nous attendait dehors.
Dans le calèche Philippe d'habitude hyperactif était sage comme une image.
- Philippe fait un efforts, s'il te plait, ça doit être plus dur pour elle, je pense.
- Très bien, c'est mieux la, il fait un sourire forcé.
- Non, je me lève et lui fait des chatouilles.
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Mon Rêve, Versailles T.1
Historical FictionJe m'appelait Émeraude Schöne, j'avais dix-neuf ans et vingt ans dans deux jours. J'étais étudiante à l'institution de sciences politiques à Paris. J'avais tous pour moi, des amis, la famille en bref une vie parfaite. Je n'étais pas une fille qui pa...