Je me réveilla difficilement et la première chose que je vis c'était le visage de Philippe.
- Elle c'est réveillé, cri celui-ci.
Soudain tous le monde entra dans ma chambre.
- Ahhh Philippe, arrêté de crié, et puis qu'es ce qui c'est passé, je m'assois sur le lit.
- Tu t'es évanoui, me répond Marie.
- Nous étions très inquiets, repris Henriette.
- Je suis désolé, je ne voulais pas vous inquiétez.
Autour de moi, ils avaient la reine, Marie, Henriette, Philippe, le chevalier, madame de Montespan, Éloïse et Louis. Il n'avait pas parlé mais pourtant je pouvais sentir son regards pressent.
Philippe s'approcha de moi pour me chuchoter quelques chose à l'oreille.
- Il faut que je te parle, je pense que tu as des choses à me dire, il m'avait soufflé.
Je fit oui de la tête sans savoir la raison de ce mystérieux rendez-vous.
- Je suis désolé Émeraude, je t'ai mis de côté cette semaine, s'excuse Marie.
- Ohhh Marie ce n'est rien, je l'avais pris dans mes bras.
Henriette me pris à son tour dans ces bras. Je sourit tendrement à ces vertueuse femmes.
- Merci à tous d'être resté à mes côté, cela me fait chaud au coeur.
J'avais aperçu derrière Éloïse les yeux rouges, je m'approcha d'elle et lui pris les deux mains. Je la force à me regardé.
- J'aurais du....
- Ce n'est pas de ta faute, je la coupe avant de la serré fort dans mes bras.
Et puis je vais bien c'est seulement une fièvre rien de grave.- Pourrai y vous sortir et me laisser seul avec Émeraude, se fait entendre la voix du roi.
Je ne peux m'empêcher de regardais Marie qui m'interroge du regards. Je la rassure du regards et par la suite tous le monde sort dr la pièce. Un silence s'installe.
J'étais dos à lui et observé l'extérieur par la fenêtre. Après quelque minutes je l'entends se rapprochait de moi, et sans m'y attendre il entoura mon corps de ses bras. Il depossa sa tête sur mon épaule.
- Tu ne peux pas faire ça, je lâche dans un souffle.
- Je sais mais pourtant tu m'attire, il murmure à mon oreille.
- Louis..., je le supplie.
Il déposa un baiser sur mon coup , je ferma les yeux, j'étais envahie par le regret.
- Je veux partir Louis, je lui dit.
Il se détacha de moi et me tourna vers lui afin de lui faire face.
- Partir ?
- Oui, j'ai besoin de m'éloigner de Versailles, de réfléchir de savoir ce que je fais ici, ce que je dois faire. De m'éloigner de toi, je lui répond.
- Je ne te laisserai pas partir, il crie, il en est hors de question !!!
- Je vais partir que tu le veule ou pas, et je reviendrai dans une semaine et Éloïse viendra avec moi, je ne serai pas seul si c'est ce qu'il t'inquiète. Et puis Louis profite, profite des moments qu'il te reste avec la reine, je pose ma main sur son torse.
- Très bien il y'a un château non loin de Versailles, tu pourras y séjourné. J'enverrai des domestiques ainsi que des gardes afin de veuillez sur ta sécurité, accepte le roi.
- Merci, beaucoup Louis.
C'est à ce moment là que la Philippe fit son entré dans la chambre.
- Philippe, je dit.
- Qu'est-ce que vous cachez tous les deux, il nous montre du doigt.
Je comprends toute suite qu'il avait compris, j'avalais difficilement ma salive.
- Tu peux nous laisser Louis je dois parler à ton frère.
Louis sort sans protesté de la chambre et je prend une cape et l'enfile.
- Suis moi, je lui dit.
Je sort de la chambre et il me suis sans dire un mot, je sors dans les jardins et me dirigea vers un banc.
Je m'assois et l'invita à faire de même.- Je t'écoute, il dit.
- Je suis désolé de ne t'avoir rien dit Philippe, mais je ne savais pas comment aborder le sujet...
- Tu ne savais pas avec moi mais avec mon frère tu n'y à pas réfléchi, il me reproche. Tu sais le choque que j'ai eu en entendent que mère vas mourir. Tu l'as dit à mon frère mais moi... mais moi tu ne m'as rien dit, il crie de rage.
- Tu voulais quoi !!! Je n'es pas pu j'avoue j'ai préfère te mentir par peur que tu me trouve bizarre, je crie.
Sans m'en rendre compte j'étais en pleure debout.
- Bizarre ?! Tu te moque de moi, tu m'as menti, tu m'as regardé droit dans les yeux sans rien me dire. Tu as été fausse avec moi depuis le début !! Je te faisait confiance, il murmure.
- Je suis désolé, je t'en prie excuse moi, je le supplie.
- Tu m'as blessé, comment tu allais me regardait droit dans les yeux le jour de la mort de mère, m'interroge Philippe.
- Je suis désolé, je te promet de ne plus rien te cacher, je le supplie, excuse moi Philippe tu es l'un de mes repérés ici, mon confident, mon grand frère, je l'implore, je te promet je ne te cacherait plus rien.
Il se lèva et me fit face, il me regarda quelques minutes.
- Je croyais que tu étais unique, différente de toute ses vipères de la cour, mais tu es comme elles. Tu t'es servie de moi pour être proche du roi, tu as joué....
Je le gifla avant qu'il ne puisse finir ce qu'il avait à dire, je respira fort, j'étais folle de rage. Comme pouvait-il penser ça ? Il porta sa main sur ses joue et me lança un regards noir.
- Tu sais quoi je vais partir et disparaitre de ta vie Philippe, ne t'inquiète pas. Mais je te le jure j'ai toujours était sincère avec toi. Tu ne peux pas savoir à qu'elle point tes mots me blesse, je dit avant partir en courant.
J'étais en larme, j'en avais assez je voulais partir, je n'arrivais plus, je me sentais étouffer. Je voulais retourner en 2018 et reprendre ma vie. Je voulais revoir mes proches, revoir ma famille.
Dans ma course je trébucha au sol et m'ouvra le genoux. Je me leva et difficilement et regagna ma chambre. Dedans j'éclata en sanglots.
Quelqu'un tapa à la porte, je me leva ouvrir et tomba sur une vielle femme. J'essuya mon visage.
- Oui, je dit.
Elle me sourit et me prend les main.
- On n'avais pas menti, vous êtes magnifique, elle dit. Prenez cette enveloppe.
Je l'a pris, c'était une enveloppe jaune.
- Je vous laisse, lissez la attentivement, dit le vielle femme avant de partir.
Le porte se ferma, j'ouvrais la lettre. Dedans un pendentif et une lettre.
Je déplia la lettre.
" Ma cher est tendre enfants tu te demande sûrement pourquoi tu es là, mais ne t'inquiète pas tu le serra bientôt. Seul l'amour divin te guidera. Garde au plus près de toi cette amulette "
Je sortie de la chambre dans l'espoir de revoir cette vieille femme, mais rien elle avait disparu.
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Mon Rêve, Versailles T.1
Historical FictionJe m'appelait Émeraude Schöne, j'avais dix-neuf ans et vingt ans dans deux jours. J'étais étudiante à l'institution de sciences politiques à Paris. J'avais tous pour moi, des amis, la famille en bref une vie parfaite. Je n'étais pas une fille qui pa...