J'étais derrière un rideau dans sa chambre.
- Où est tu ?
Je m'efforcais de garder mon calme et ne pas exploser de rire. Mais c'était trop dur. Il se dirigea vers le rideau et se mit à me chatouiller.
- J'ai trouvé la plus belle femme de Versailles, il continu à me chatouiller jusqu'à que je trébuche sur son lit.
- Arrête, je rie jusqu'aux larmes.
- Alors j'attends toujours ta réponse, il s'allonge sur moi, je sens son souffle sur mon visage.
J'arrêta de rire, et je commençais à avoir chaud et les joues rouge.
- Je..je...enfin tu réagi comme un enfants, je bégaye.
- Un enfant, il sourit tout en se rapprochant de moi.
Je ferma les yeux et tourne la tête vers la droite.
- Je suis un homme, il dit avant de m'embrasser le coup.
-A..Arrête, je bégaye.
Mais rien il continuait à faire de millier de baiser sur mon coup. Quand soudain il me tourna le visage avec sa main.
- Je n'es pas oublier ce que tu m'as dit avant de quitter Versailles, il murmure.
- Je ne vois pas de quoi tu parles, maintenant lâche moi, je répond avec peux de conviction.
- Tu as dit que tu m'embrasserai, il s'approche de moi.
- J'ai dit on verra Louis, je répond cette fois sur de moi.
Il s'approcha de moi seulement deux ou trois centimètre nous séparé.
- Louis...
- Pourquoi tu réussite, il demande.
- Pense à Marie, je le supplie.
- Elle n'en saura rien, il s'approche et m'embrasse.
Je me débattais avec mes mains, mais il les pris et les retenu avec ses mains par dessus ma tête. Il força l'accès à ma bouche et nos deux lèvres c'étaient mis à bougé ensembles. Le baiser n'avais rien de doux il était agressif, sauvage. Dans ce baiser je pouvais lire de la colère, de la détresse, de l'impatient mais aussi de la frustration.
Un réclament de gorge se fit entendre, mais rien ni faisait Louis continu à maltraiter ma bouche.
- Votre Majesté, je reconnaît la voit de Bontemps.
Je le poussa enfin et il tomba au sol, je me mis à respirer bruyamment et déposa ma main sur mon coeur. Louis se leva et je me lava à mon tour.
- Ne refait plus jamais ca, je lui dit avant de sortir.
Dans le couloir je m'effondra au sol, et respira difficilement. Je resta sur le sol froid et sanglotais.
Comment j'ai pu faire ça à Marie, comment ?
- Émeraude c'est vous, demande une femme en face de moi.
- Louise, je dit en me relevant.
- Vous allez bien ?
- Oui, c'est juste que mon pays me manques, je lui répond.
- Je comprends, elle sourit.
- Et vous que faite vous là, je demande.
- Je suis allé confesser mes pêchés, elle dit, Je vous laisse le roi m'attend.
Je fit oui de la tête et me dirigea vers ma chambre pour enfin dormir. Je ne savais pas pourquoi mais le fait que Louise se rendent dans la couche du roi me faisait mal au cœur. Après tous il était connue pour ça.
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Mon Rêve, Versailles T.1
Historical FictionJe m'appelait Émeraude Schöne, j'avais dix-neuf ans et vingt ans dans deux jours. J'étais étudiante à l'institution de sciences politiques à Paris. J'avais tous pour moi, des amis, la famille en bref une vie parfaite. Je n'étais pas une fille qui pa...