Une mère aimante

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Je m'étais changé et avais revêtu une robe gris clair. J'attendais sur une chaise dans le bureau du roi. J'étais assis et pensez à ma mère et mon père. Ils me manquaient terriblement, même si j'avais l'habitude de ne pas les voir souvent. Mes parents étaient toujours en voyage. Ils étaient membres de l'association médecin sans frontière. Rien que d'y pensé je me sentais un vide.

Je me posait plusieurs questions, vais je les revoir un jour ? Était ils au courant de ma disparition ? Vont-ils bien ? Sans m'en rendre compte une larme perla sur ma joue. C'était à ce moment que le roi fit son entré. J'essuya rapidement ma joue et par la même j'avais enfoui ma tristesse. J'avais remis le masque.

Le roi s'asseya en face de moi et me décrypta le visage. J'esseya tant bien que mal de cacher mon troubles et de gardais ma tristesse pour moi.

- Tu as pleuré, interroge Louis.

- N..non...bien sur que non !

- Émeraude tu peux me le dire, je sais que ça doit être dur.

- Oui c'est dur, même très dure d'être loin de mes proches, dure de connaitre tous à l'avance ! Je ne sais même pas pourquoi je suis là, j'ai l'impression d'être retenu, je me morfond.

- Je suis désolé, il répond en prenend ma main.

Je l'enleva quelques secondes après et remis cette fois le masque pour de bon.

- Je peux savoir la raison de notre entrevue, je demande.

- J'aimerais d'abord m'excuser pour l'attitude inadmissible que j'ai eu l'autre jour, il répond.

- C'est déjà oublié Louis, toi, Philippe et Marie vous étes mes repérés ici à Versailles, je lui sourit.

Il me sourit à son tour, puis me sorti un dossier. Je l'interroga du regards.

- J'ai besoin de ton aide pour la guerre, j'aimerais que me dise qu'elle est sont issue ?

- Vous allez la gagner, je répond.

- Tres bien, dans ces cas je n'ai plus rien à dire, nous allons gagner, sourit le roi.

- Dans ce cas je vais aller me reposer, je suis fatiguée, je vous laisse, je dit avant d'aller dans ma chambre.

- Tu ne vas pas souper avec nous, demande-t-il.

- Non je suis fatiguée, je sourit.

Le roi se leva et se mis debout face à moi et depossa un baiser sur mon front. Je n'avais pas la force de le repousser.

- Dans ce cas je te souhaite une agréable nuit.

Dans ma chambre j'avais troqué ma robe pour mon pyjama. Je pris la seul chose que j'avais pu prendre du XXI siècle, une photo. Sur cette photo se trouvaient toute ma famille. Je l'observa avec une tristesse immense.

- Émeraude, je vais te laisser, dit Éloïse.

- Très bien à demain, je lui répond blasée.

Après son départ je laissa raisonner mes sanglots, je voulais rentrer chez moi. Les larmes coulaient et ne voulais plus s'arrêtaient. J'avais besoin de pleuré, j'avais besoin d'exprimer ma tristesse.

Je m'étais par la suite allongé dans mon lit et ferma les yeux la photo dans mes mains. Je tomba dans un sommeil profond.

PVD Externe

Le soleil brillait sur Versailles, tous les domestiques se pressaient pour nettoyer le château et rendre confortable la vie aux nobles.

Il était huit heure du matin, Éloïse pris donc la décision de réveiller Émeraude. Elle entra doucement dans la chambre et s'approcha d'elle.

- Mademoiselle il est l'heure de se réveiller, chuchote à son oreille la gouvernante.

Aucun signe de Émeraude, elle était encore paisiblement endormi. Éloïse retira la couette de sa tête et la vis rouge et haletante. Elle déposa sa mais sur son front et grimaça lorsqu'elle compris qu'elle avait une fièvre.

- Émeraude, elle la secoue, réveil toi !

Émeraude ouvrir difficilement les yeux et toucha directement sa tête.

- J'ai terriblement mal à la tête, j'ai l'impression que quelqu'un m'a frappé avec un marteau, souffre Émeraude.

- Je devrais prévenir le roi, afin qu'il fasse venir un médecin, s'inquiéte Éloïse.

- Non, s'exclame Émeraude, je vais bien.

- Tu es sur ?

- Oui et puis j'ai besoin de toi aujourd'hui.

- Je t'écoute, elle sourit.

- J'aimerais que tu m'aide à me préparer, la mère du roi veux que je passe le journée avec elle.

- Très bien.

PVD Émeraude

C'est vrai que j'étais malade mais ce n'étais rien de grave. Éloïse me prépara, elle m'avait enfilé une robe vert sapin, une parure magnifique. J'étais prête et me rendu chez la reine.

Je toqua et on me fit signe d'entré et c'est ce que je fit. La reine était resplendissante elle était assis sur un fauteuil, je lui fit une révérence et elle m'invita à la rejoindre.

- Je suis heureuse de vous voir Émeraude, dit la reine.

- Moi de même votre majesté.

- J'aimerais vous remerciez pour ce que vous faite pour mes fils, dit la reine en prenend mes main.

- Je ne comprend pas, je sourit gêné, je n'ai rien fait.

- Si vous faite, vous faite beaucoup. Cela fait longtemps que je n'avais pas vue mes fils comme ça. Je ne les avaient pas vu rigoler ensemble depuis que Louis et monté sur le trône.

- Je suis assez drôle, je sais.

- Merci beaucoup, elle rie, vous savez Louis et Philippe sont des enfants fragiles.

- Sa je l'avais vu surtout Philippe, je répond.

- Et bien vous vous trompez Philippe et bien plus fort que Louis. Louis est un enfants fragile, il est en manque d'amour il joue les dure mais c'est un enfants traumatisé, sourit tristement la reine. Il a été marquer par la Fronde.

- Je ne sais pas je n'avais jamais vue les choses sous cette angle.

- Et bien maintenant que je vous ai remerciez, que direz vous de sortir vous promenée avec moi ?

- Je serai d'accord.

Elle m'invita à me lever et nous partions en direction des jardins. Nous marchions et parlions de tous et n'importe quoi. Elle était vraiment adorable et elle aimait ses enfants.

Cela faisait une heure que nous marchions, je commençais avoir vraiment chaud. Je ne me sentais pas très bien.

- Mère, s'exclame le roi à sa mère.

- Mon fils, comment vous allez.

- Très bien et vous mère, interroge le roi.

Je me sentais vraiment pas bien.

- Très bien et de plus je suis en très bonne compagnie, elle me montre.

Je sourit et fait une révérence.

- Excusez moi mais je vais prendre congé, je ne me sens pas très bien.

Le roi m'interroge silencieusement et la mère me laisse regagner ma chambre. Je fit une révérence pour partir.

J'étais à deux mètre d'eux, je sentais leurs regards sur moi. Tous tournait autour de moi, j'avais du mal à respiré.

- Émeraude tu te sent bien, crie le roi.

Je n'avais pas la force de lui répondre et tomba sur mes genoux. Le roi et sa mère se précipitaient vers moi mais c'est à ce moment là que je perdu connaissance.

Mon Rêve, Versailles T.1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant