La Reine-Mère est morte

1.4K 71 3
                                    

Nous étions revenu à Versailles, mais les choses se sont vite gâté, la reine allait mal.

Philippe l'avais rejoint dans ses appartements, cela faisait une semaine qu'il était resté à son chevet.

J'étais devant le palais du Louvre. Je me dirigea vers la chambre de la reine. Le garde avait annoncé mon arrivée et j'entra le coeur lourd.

La reine était dans dans un salle état, je l'approcha, Philippe lui tenais ferment la main.

Je depossa une main sur l'épaule de Philippe, il leva légèrement la tête et me regarda le regards vide.

- Vas te reposer Philippe je vais prendre le relai, je lui conseil.

- Non, je ne veux pas.

- Philippe vas-y, je ne pense pas que ta mère veulent partir en voyant dépérir.

- Très bien dans ces cas je serai de retour très vite, il se lève et s'apprête à partir.

Je le retiens et lui dépose un baiser sur le front.

- Soin fort frangin, je lui sourit.

- Frangin ?

- Ah oui grand frère, c'est comme ça quand dit chez moi.

Il laissa dessiner un léger sourire et s'en alla. Je pris sa place et serra les main de la reine à mon tour.

- Vous êtes une femme forte Anne, je dit tous bas.

- Émeraude, ma douce qu'est-ce qui vous amenez elle dit difficilement.

- Comment qu'est-ce qui m'amène, je sourit, je suis ici pour veuillez sur vous voyons.

- Merci, dit elle tout en essayant de se levé.

- Ne bougez pas, je lui ordonne, restez allonger.

Elle s'allongea et resserra son emprise sur ma main et leva difficilement son autre main pour ma caresser la joue. Cette fois ci je ne pu m'empêche de verser une larme.

- Vous savez Anne, je peux vous appelez Anne, elle fit oui de la tête, pour une fois c'est Louis qui est jaloux de Philippe, il est jaloux car il est vos chevet. Il lui a même ordonné de revenir ce qu'il à refuser. Adorable pas vrai. Louis à tellement peur de vous voir partir qu'il ne veux pas venir. Marie, elle est dévastée mais elle garde toujours la face. Ah oui et Henriette est elle aussi mal, ses enfants Marie-Louise et Philippe-Charles d'Orléans ne comprennent pas grand chose. Touts votre famille est dévasté Anne. Je ne vous demanderez pas de revenir en force car je sais que c'est impossible. Quand dieu nous appel c'est fini. Mais s'il vous plait veillez sur vos fils, votre famille, votre peuple la France, car vous êtes et serai pour toujours la plus grande reine qu'a connu la France et même le monde....

Je m'arrêta quand je vis des larmes perler sur ses joues.

- Appelez le roi et monsieur tous de suite !!

- Prenez soin de mes fils Émeraude, prenez soin de ma famille. Promet moi de les aidaient, elle murmure difficilement.

- Je vous le promet, mais s'il vous plait supporter jusqu'à que vos fils sois là, je pleure.

Je leva sa main entouré de la mienne et la depossa sur mon front et commença à sangloter. C'était les derniers moments de la reine mère.
La porte me fit sûr sauter Philippe suivi de Louis et la reine était entré dans la chambre.

Je me leva et laissa la place aux deux frères. Les deux pleuraient, je m'étais mis à côté de Marie qui allait s'évanouir.

- Mes fils, elle dit difficilement, promettait moi de vous aimez et vous aidez mutuellement.

Les deux frères regarde leur mère puis se regarde.

- On vous le jure mère, ils répondent à leurs mère.

- Je peux enfin partir tranquille.

Marie tomba au sol et moi je resta stoïque après ses mots la reine s'était endormi pour toujours, elle n'allait plus jamais se réveiller. Les pleure de Louis et Philippe m'avait ramené sur terre. Je m'approcha d'eux et fit avec regret une révérence.

- Toute mes condoléances, qu'elle repose en paix, je lâche la gorge serré avant de sortir de la pièce.

J'essuya mes joues et marcha jusqu'à dehors ou je repris mon souffle, je m'asseya sur un banc et pleura. La reine-mère et morte et c'est officiel les cloche résonner dans le tous Paris, dans toute la France.

J'avais passer la nuit dehors sur se banc, les joues rose, les yeux rouges, j'étais envahi par la tristesse. Les deux frères ont pleuré leur mère toute la nuit. J'étais perdu dans mes pensées mais une petite voix me fit revenir sur terre.

- Grand mère et partie...

- Marie-Louise, je souffle en la prenant dans mes bras.

Je caresse ses cheveux et elle commença à pleurer. Je la serra encore plus fort dans mes bras pour la rassuré.

- Louise... Ne pleur pas je t'en pris.

- Grand-mère et partie, j'ai peur que tu parte et nous laisser seul moi ainsi que mon petit frère, elle répond en reniflant.

- Louise... Mon enfants, je me met à sa hauteur pour la regarder dans les yeux, je te fait la promesse de toujours être la avec toi, je sourit.

- Tu..tu.. le jure, elle bégaye.

- Juré et si je ment j'irai en enfer, et puis tu veux que je te dise un secret, je murmure.

Elle aquisa et je lui pris la main pour l'emmener sur la pelouse, je m'y allongea et l'invita à faire pareil.

- Tu vois le ciel il est beau, magique, intouchables, puissant ... Et bien c'est la où se trouve ta grand mère. À chaque fois que t'aura besoin de conseil ou un problème, elle t'aidera et veillera sur toi.

- C'est vrai, elle s'exclame.

- Oui !! Ta grand mère serra toujours la pour toi, sa petite fille chéri.

- Grand-mère je t'aime et prend soin de nous, crie à plain poumons la petite.

Je sourit et la pris dans mes bras.

- Émeraude je suis fatiguée.

- Une petite sieste ici ça te vas.

- Ouiiiii avec ma tente préfère.

- Dors bien mon ange, je lui embrasse le front.

Elle arrêta de parler et regarda le ciel tous comme moi. Je ferma les yeux et sur cette pelouse à côté de Louise je m'en dormi comme une enfants.
Louise me tenais ferment, moi j'avais le bras sous sa tête.

La Reine-Mère et morte, mais elle aura marqué l'histoire de France et même du monde.

Mon Rêve, Versailles T.1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant