La fête bâté son plein, tous le monde s'amuser. Philippe et moi étions devant le buffet.- Toi et mon fère vous avez enclenché la première ?
- C'est ça. Je l'ai chargé de me séduire, je me tourne en sa direction et le voit éclaté de rire.
- Te séduire ? Laisse moi rire, tu est déjà dingue de lui.
- Je ne le nie pas mais laisse le encore mariné un peu, je lui fait un clin d'œil, j'ai hate de voir comment ton frère va s'y prendre.
- Ohh mais je vois que ma petite tulipe veut faire tourné en bourrique mon très cher frère.
- Qui veut faire tourner en bourrique le roi, s'immisce dans notre conversation Liselotte.
- Cette demoiselle ici présente, il me montre du doigts.
- Quoi ?! J'ai le droit de le voir ramé un peu non ?
- Si, si tu as raison, rit de bon coeur Liselotte, j'ai hâte de le voir à la tâche.
Je passa mon bras autour de ses épaules.
- À nous, je lève mon verre de vin.
- À nous, sourit Philippe.
- Bande de crâneur vous savez que moi je dois me contenté de simple breuvage infecte, elle grimace.
- C'est pour lui, je montre du doigt son ventre.
- Pour notre enfants, l'embrasse Philippe.
Je sourit face à cette scène attendrissante.
- Ohh vous êtes chou, s'exclame la voix de Lorraine.
Il vient calé sa tête sur mon épaule, je déposa la mienne sur sa tête.
Après quelques que minutes à discuter Philippe et Liselotte nous avait faussé compagnie. Liselotte était exténuée et Philippe en parfait gentleman avait accompagné sa dulcinée.
- Nous voilà que tous les deux, me dit le chevalier.
- Oui.
- Alors avec ton homme ça avance ? Vous aviez l'air très proche lors de votre danse.
- Il a pour mission de me séduire, je dit d'une voix amusé.
- Te séduire, il se redresse pour me faire face.
- Oui.
- J'ai hate de voir comment et avec quel moyen il va se débrouiller.
- Et moi de rire de sa maladresse, je dit avec un sourire malicieux.
Fatiguait d'être debout, je tira Philippe pour que nous allions nous assoir.
- Marie a l'air heureuse, je lance un sourire béat sur le visage.
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Mon Rêve, Versailles T.1
Historical FictionJe m'appelait Émeraude Schöne, j'avais dix-neuf ans et vingt ans dans deux jours. J'étais étudiante à l'institution de sciences politiques à Paris. J'avais tous pour moi, des amis, la famille en bref une vie parfaite. Je n'étais pas une fille qui pa...