Plusieurs années étaient passé depuis mon altercations avec le roi. Trois années exactement, Louis et moi avions eux des rapport courtois mais rien d'autres.
Avec Marie tous aller bien même si après la soirée elle m'en à un peu voulu mais vous saviez du chocolat et c'était joué avec elle.
Philippe et moi nous nous attendions à merveille, notre relations était passé d'amitié à fraternité. Philippe était la personne la plus humaine que j'ai rencontré à Versailles. Sûrement ma plus belle rencontre ici.
Avec le chevalier de Lorraine tous était toujours drôle. Il amusait toujours la galerie. C'était une personne égoïste mais il avait aussi quelques fois le coeur sur la main. Il pouvait être généreux mais cela arriver très rarement.
Louise de La Vallière était parti au couvant. La vie à Versailles était devenu insupportable. Elle aimait Louis et le voir tous les jour se pavanant avec Athénaïs était invivable.
Athénaïs elle était devenu la femme la plus influente de la cour. Tous ses désir était des ordres. Elle était follement amoureuse du roi et faisait tous pour être maitresse de son coeur.
Henriette était morte il y'a une semaine. Son départ avait dévastée Philippe et Louis. Ils nous avaient tous peiné. Henriette avait seulement vingt-six ans. De plus elle avait perdu son fils et sa fille Anne-Marie venait tous juste de naitre. Le jour de la mort d'Henriette les cries du bébé raisonné dans tous le château. C'était comme si elle savait que sa mère partait.
J'étais habillé tous de noir et courait dans le château à la recherche de Philippe. Il avait disparu depuis plusieurs heure.
- Philippe, je crie.
Mais rien aucune réponse, dans un croisement je croisa son amant aussi essoufflé que moi.
- Alors, je demande.
- Rien, Rien !! Je ne sais pas ou il est partie, il crie.
- Calme toi on va le retrouver, je le rassure, Je vais partir voir dans les bois.
Il aquisa et je partie en direction des écueils.
- Un cheval vite, je dit.
- Mais madame il va bientôt faire nuit, dit l'homme.
- Un cheval, j'ordonne.
L'homme s'exécuta, je monta sur le cheval et je me mit à galoper. Je ne savais pas par ou commençait.
- Philippe, je cri.
Mais aucune réponse. La nuit commençait à tomber, je m'inquiètais pour lui.
- Philippe !!
- Émeraudes, j'entends.
J'arrêta le cheval et descendu de celui-ci.
- Philippe t'es ou ?
- Ici, il dit.
Il était derrière un buisson, assis sur un rocher qui donner face à un ruisseau.
- Philippe tu m'a fait peur, où était tu ?
- J'avais besoin de prendre l'air.
- Tu vas bien, je lui demande.
Il me regarda et s'effondra ensuite, je pris sa tête et la calla sur mon épaule. Je lui tapait le dos pour qu'il se laisse aller.
- Tes main son froide, je lui dit.
- ...
- Philippe on devrait rentré, je suggère.
- Non je ne veux plus vivre avec lui, il renifle.
- Philippe...
- Je vais faire mes valise et je pars pour Saint-Cloud, il me dit sérieux.
- Tu es sûr, je lui demande.
Il leva sa tête et me regarda droit dans les yeux et me prend les deux main.
- Je veux être libre, il dit.
- Et bien on devrait rentré afin de faire tes valises, je me lève.
Il fait de même et nous rentrons au palais, nous étions dans ses appartements avec son amant. Tous deux avait fini de faire leur bagages.
- Madame vous m'avez demandé, rentre Éloïse.
- Oui j'aimerais que tu prépare mes bagages, je pars, je lui demande.
- Très bien, elle dit avant de s'éclipser.
Les deux Philippe me regardaient surpris par ma décision.
- Je n'ai plus rien à faire ici, je dit à mon tour.
Ils m'avaient tous deux sourit et m'avaient pris dans leur bras.
- Vous m'étoufez tous les deux, je dit.
Ils me laissait enfin et je leur ébouriffa les cheveux à tous les deux.
- Il faut que j'aille dire au-revoir à Marie, je les abandonnent.
Je me dirigea vers les appartements de la reine, je toqua à la porte puis entra. Je fut surprise de voir le roi avec elle.
- Je.. Excusez moi de vous dérangez, je bégaye.
- Non entre, me dit Marie.
- Je pars, je dit de but en blanc.
- Pars, répète Marie.
-Oui je pars avec Philippe.
- Non tu peux pas me laisser seul ici, elle répond.
- Écoute, je m'approcha d'elle, Philippe va pas très bien et je ne peux pas le laissé seul et puis je te rendrait visite au minimum une fois par semaine, je lui promet.
Elle me prend dans ses bras et me serre fort, j'avais presque oublié que Louis était dans la pièce. Il me regardait avec tristesse je pensais.
- Prend soin de toi, je me détache d'elle.
- Toi aussi, elle dit les yeux vitreux.
Je m'apprêta à sortir mais Louis me tena ferment le poignée.
- Tu ne me dit pas au-revoir à moi, il demande.
- Au-revoir, je dit en le regardant droit dans les yeux.
Il me pris subitement dans ses bras, je répondu quelque temps après à son étreinte.
- Si tu avais accepté ma proposition tous aurait été plus simple, il murmure à mon oreille.
A ce moment la ces mots avait fait l'effet d'un électrochoc. Il me relâcha ensuite et s'apprêta à déposer un baisser sur mon front mais arrêta lorsqu'il se rappela que Marie était dans la pièce.
- A bientôt, je dit avant de partir.
Dans le couloir j'étais encore troublé par les paroles de Louis. Il m'aimait encore malgré les trois années qui était passé.
J'étais tellement déboussolé que je tapa le torse d'un homme.
- Émeraude tu vas bien ?
- Oui, je reconnu la voix du chevalier.
- Tous est prêt, la calèche nous attend, il me dit.
- Très bien allons-y alors, je répond.
Nous marchions tous deux en direction de la calèche. Le chevalier m'aida à monter et j'y vit Philippe déjà bien installé.
- Tu es sûr de ton choix, me demande Philippe.
- Sûr et certaine, c'est juste que..que Marie va me manquait. Mais ne t'inquiète pas.
- Et bien adieux Versailles, cri le chevalier.
Philippe n'était pas d'humeur, il avait le visage raide alors que le chevalier était ravie. Moi j'étais tiraillée entre Philippe, Marie et Louis. Mais ma décision était prise. J'avais quitter Versailles pour une dure indéterminée.
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Mon Rêve, Versailles T.1
Historical FictionJe m'appelait Émeraude Schöne, j'avais dix-neuf ans et vingt ans dans deux jours. J'étais étudiante à l'institution de sciences politiques à Paris. J'avais tous pour moi, des amis, la famille en bref une vie parfaite. Je n'étais pas une fille qui pa...