Un vent d'amour

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- Oh mon dieu, je mis ma main sur ma bouche.

Je me leva et me précipita vers Colbert.

- Mais qui vous a fait ça, je demande arrivé à sa hauteur.

- Le peuple de France Émeraude, il dit difficilement.

Je passa ma main sur ses épaules afin qu'il puisse marchait correctement. Il avait le visage en sang ainsi que du mal à s'appuyait sur sa jambes gauche.

- Il faut aller voir le roi, je suggère.

- Non, s'affole Colbert, s'il me voit dans cette état et qu'il apprend que c'est le peuple qui m'a fait ça, il n'hésitera pas envoyé l'armée et la ça sera un massacre.

- Très bien alors vous ne pouvez allez dans vos appartement et ni dans les mien, donc ..., je réfléchi, je vais trouvé une solution, je l'emmène dans mes appartements vide.

Je l'allongeait sur mon lit et pris de quoi désinfecté ses blessures.

- Je pense qu'il faudrait faire venir un médecin, je lui dit alors que la douleur se lisait  sur son visage.

- Vous avez sûrement raison, il répond.

- Je reviens, je me lève, je vais essayer de faire voir un médecin sans que cela puisse se voir, je sors.

Je me rendu d'abord dans la salle de bal et me dirigea vers Marie.

- Ahh te voilà enfin ! Mais où était tu, elle me demande.

- Je n'ai pas le temps de t'expliquer mais je vais devoir m'absenter cette nuit et j'aimerai que tu me couvre, je lui dit.

- Mais...., elle commence.

- S'il te plaît, je la supplie avant de partir, je ne voulais pas croisé le roi.

Je me dirigea vers la sortie et partie à la recherche de Fabian.
Avec beaucoup de chance je le croisa dans le couloir.

- Fabian, je l'appel.

Il se tourna et me regarda.

- Il faut que je vous parle, je le tire afin qu'il me suivent dans ma chambre.

Il me suivie sans protestation et nous pénétrons dans ma chambre.

- Colbet, il s'approche de lui.

- J'ai besoin de votre aide pour le faire quitter discrètement le château et l'emmène voir Claudine, je dit.

- Le roi est au courant.

- Non et c'est pour cela que je vous sollicite, je répond.

- Nous devons le prévenir, il me rétorque.

- Non, il ne doit rien savoir, je m'écrit.

Il souffla et sembla réfléchir un instant.

- C'est d'accord allons-y, il lâche.

Nous avions aidé Colbert à se lève et  j'enfila rapidement un manteau. Nous nous dirigeons vers la sortie du palais en faisant tous pour ne pas se faire voir.

Dehors Fabien nous laissa seul le temps de ramenait une calèche.
Colbert était toujours accroche à moi quand la pire chose qui pouvais se passé se passa.

- Émeraudes que fait tu ici, je reconnaît la voix du chevalier.

Je sursauta et Colbert lui aussi, dos au chevalier je me mit en face de Colbert et croisa le regards du chevalier à travers l'email de Colbert.

Je commença à bouger la tête de façon à ce qu'il pense que j'étais en plain rendez-vous.

- Bougez délicatement la tête, je chuchote à Colbert, et prenez mon visage coupe afin qu'il pense que nous échangeons un baiser.

C'est ce qu'il fit.

- Oh !! je vois que tu es occupé, il dit, le roi te cherche mais je vais lui dire que tu es occupé, il me sourit.

Je lui fait signe de partir. Une fois partie je m'éloigna du ministre.

- On a eu chaud, je souffle.

- Vous avez raison, mais vous êtes sur qu'il ne m'a pas reconnu, il demande.

- Sûr, ne vous inquiétez pas, je le rassure.

Fabian fut enfin de retour et coupa par la même occasion la conversation. nous montons dans la calèche direction Paris chez Claudine.

Le trajet c'était fait en silence nous sommes descendue de la voiture et Fabian porta sur son dos.

J'ouvris la porte et alla à la recherche de Claudine. Je la trouva à moitié endormi sur son bureau.

- Claudine, je la secoue délicatement.

- Qui êtes-vous, elle se réveil.

- Nous avons besoin de vous, un blessé vous attend, je lui sourit.

Elle se leva et se dirigea vers Colbert et fut moins anxieuse en apercevant Fabian.

- On l'a agressé, je lui dit.

- Allongez le, elle nous dit.

Elle l'examina et le soigna sous notre regards.

*

Nous avions passé toute la nuit chez Claudine. Colbert était resté ainsi que Fabian. J'étais en chemin pour rentré, le soleil venait tous juste de se lever lorsque on m'annonça notre arrivée.

J'entra dans le palais et m'engouffra dans les couloir afin de rejoindre ma chambre.

Je pensé retrouver Marie mais c'était lui, Louis il était assis sur une chaise assoupie. Je m'approcha de lui et depossa une couverture sur lui. Je me retourna afin de rejoindre mon lit mais une main retenu mon poignée.

- Où étais-tu, il demande la voix rauque.

- Je ne peux pas, je me tourne pour le regardait.

- Tu étais avec ton amant, il demande cette fois en colère.

- Quel amant, je demande, ce foutu Lorraine ne peux pas fermé sa bouche pour une fois.

- Tu te fou de moi en plus.

- Je n'ai aucun compte à te rendre Louis, amant, amante, amie, je n'ai rien à te dire.

- Je n'y arrive pas, c'est au-delà de mes force, il tiens mes épaule. Lorsque je me lève je pense à toi, Lorsque je mange je ne vois que toi. Tu m'es devenu indispensable, il s'approche de moi.

- Louis on a déjà parlé.

- Je ne veux plus, je t'aime, il dit avant de déposé un baiser sur ma bouche.

Il me lâcha par la suite me regarda dans les yeux. Je ne savais que dire, je l'aimé et je pouvais pas lui caché.

- Je t'aime, aussi, je dit avant de serré dans mes bras.

Il répondu à mon étreinte.

- Je suis fatiguée, je lâche quelques minutes plus tard toujours dans ses bras.

- Viens, il me tire dans mon lit, allonge toi, il m'ordonne.

- C'est un ordre, je sourit.

- Un ordre de votre roi, il me répond.

Je m'allongea et à ma plus grande surprise il s'allongea à côté de moi. Il vit la surprise dans mes yeux et me pris dans ses bras, ma tête contre son torse je ferma les yeux.

- Je veux simplement me reposé avec toi à mes côté, demain et un autre jour, il chuchote.

Sur ces mots je m'étais endormi en oubliant tous mes problèmes. Nous étions dans une bulle, Louis et moi.

Mon Rêve, Versailles T.1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant