Nous avions enfin quitté Versailles. Dan la calèche régner un silence lourd. Je me contentais de regarder les paysages défilés.
- Je suis désolé Éloïse de t'enlever de Versailles, je dit enfin.
- Ce n'est rien ne t'inquiéte pas, elle lève la tête.
- Si c'est beaucoup, tu allés te marié.
- Je verrai Jean dans une semaine ne t'inquiète pas, elle me sourit.
Je me tu et le trajet ce passa sans un bruit. Je m'étais endormi pendant le reste du trajet. C'est Éloïse qui m'avait réveiller.
Le château était magnifique tous les domestiques étaient déjà là. Ils m'avaient accueil comme une reine.
J'étais dans ma chambre à réfléchir à comme en finir. Comment enfin retourner chez moi.
PVD Philippe
J'étais dans mon bureau avec mon amant, le chevalier.
- Tu ne m'écoute pas, il ne fait revenir sur terre.
- Désolé, je réfléchi, je répond.
- Tu penses à elle.
- Oui, je murmure.
- Philippe tu es amoureux ?
Je reporta mon intention vers mon amant.
- Bien-sûr que non, et puis pourquoi cette question.
- Je ne sais pas, tu n'es plus avec nous depuis deux jours.
- Je suis inquiet, j'étais dur avec elle, je dit.
- Qu'es-ce qui c'est passé entre vous, il demande. Cette jeune fille m'étonne elle à su brillé devant le roi, toi, Marie, Anne et même Henriette.
- Elle m'a menti et on c'est disputé.
Il s'apprêta à parler mais Henriette entra dans la pièce.
- Excuser moi de te dérangé mais j'aimerais s'il te plait te parler, elle dit.
Je congédia Philippe et Henriette entra.
- Je t'écoute.
- C'est Émeraudes, je ne sais pas mais Marie à un mauvais pressentiment, et puis plus j'y pense et je trouve que ses au-revoir sonner comme des adieux, elle lâche.
- Soit plus clair, je répond.
- J'ai peur qu'elle se fasse du mal..., elle n'est pas partie dans les meilleurs conditions.
- Jamais elle se donnerai la mort, je m'emporte.
- Philippe j'ai un mauvais pressentiment, elle répète.
- Très bien et que veux tu que je face ?
- Je ne sais pas mais la savoir seul sans surveillance ne me rassure pas.
- Très bien je vais en parlé avec le roi Henriette, tu peux partir je te dirais quand j'aurai des nouvelles, je lui répond.
Elle sorti de mon bureau et à mon tour je me leva pour rejoindre mon frère. Maintenant que j'y repensait Henriette n'avais pas totalement tord.
Je toqua et entra dans le bureau de mon frère.
- Tiens, Philippe que me vaux cette rencontre, s'assoie le roi sur sa chaise.
- Émeraude, je dit.
- Je t'écoute.
- Je pense que l'on devrait la rejoindre.
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Mon Rêve, Versailles T.1
Historical FictionJe m'appelait Émeraude Schöne, j'avais dix-neuf ans et vingt ans dans deux jours. J'étais étudiante à l'institution de sciences politiques à Paris. J'avais tous pour moi, des amis, la famille en bref une vie parfaite. Je n'étais pas une fille qui pa...