Tous était blanc autour de moi, j'étais ébloui. J'étais seul, rien, il n'avait rien autour de moi.- Ou ou il y'a quelqu'un ?!
Personne n'avait répondu, tous était calme et paisible.
- Je suis au paradis, je dit pour moi même.
- Non mon enfant, tu est bloqué entre le XXI ème siècle et le XVII ème siècle, se fait entendre la voix d'une femme.
- Qui êtes vous ?
- Françoise, mon enfant...
- Françoise, je répète.
- Écoute il faut que tu te réveil, tu n'as pas fini ta mission et tu ne pourra quitter tes amis seulement quand tu l'aura fini.
- Mais quel mission ?!
- Réveil toi et tu saura.
Sur ces derniers mots plus aucun bruit. C'était comme une bataille contre moi même. Je devais rejoindre mon corps et en reprendre possession. Avec une force presque surhumaine, je repris possession de mon corps.
Quand j'ouvris les yeux la chambre était plongé dans le noir. Je me leva et contrairement à ce que l'on pouvait pensé j'étais en pleine forme. Je me regarda dans le miroir, je détailla mon reflet. J'avais une robe blanche et des fleur sur mes cheveux lâchaient. Je remonta délicatement ma robe et observa ma blessure.
Elle avait presque complètement disparu. J'avais sourit bêtement devant le miroir. Après quelques minutes à me contemplé je décida de quitter ma chambre.
Je déambulais dans le couloir pied nue, le froid était agréable, c'est comme une seconde vie.
A forcé de marcher je m'étais retrouver devant la salle du souper, je ne comptais pas y entré mais la voix de Fabian résonnait.
- Vous êtes arrêté pour tentative de meurtre sur Émeraude.
- Mais...lâchez moi, je reconnais la voix d'Athénaïs.
Même si je n'avais pas d'affection pour elle, j'avais une certitude c'est que ce n'était pas elle, c'était pas sa voix que j'ai entendu.
J'entre délicatement et comme je m'y attendais tous les regards était posé sur moi.
- Lâche là Fabian, c'est pas elle, je demande.
Louis n'osa pas bougé, Liselotte avait la bouche grande ouverte, Philippe avait lâché ses couverts, Lorraine avait un énorme sourire au lèvres et Marie les larmes au yeux.
- Je ne vous ai pas manquer, je leur dit la voix étranglé.
- Émeraude, me saute dans les bras Lorraine.
Je le serait dans mes bras en retour.
- Tu peux pas savoir à quel point je suis heureux, il me dit à l'oreille.
- Et moi de même, je tape son dos.
Les autres n'avaient toujours pas bougé.
Il s'écarta de moi et m'ébouriffe le cheveux.
- Tu pense qu'ils vont m'ignoré encore longtemps, je lui souris.
- Je ne sais pas, il se tourne vers eux pour leurs faire face.
Quand soudain une voix se fait entendre.
- Dehors, que tous ceux qui ne sont pas proches de la famille royale sorte, ordonne Philippe.
Une fois que tous le monde étaient sortie il s'approcha de moi, déposa un baiser sur mon front les yeux vitreux, avant de me prendre dans ses bras.
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Mon Rêve, Versailles T.1
Historical FictionJe m'appelait Émeraude Schöne, j'avais dix-neuf ans et vingt ans dans deux jours. J'étais étudiante à l'institution de sciences politiques à Paris. J'avais tous pour moi, des amis, la famille en bref une vie parfaite. Je n'étais pas une fille qui pa...