Je m'appelait Émeraude Schöne, j'avais dix-neuf ans et vingt ans dans deux jours. J'étais étudiante à l'institution de sciences politiques à Paris. J'avais tous pour moi, des amis, la famille en bref une vie parfaite.
Je n'étais pas une fille qui pa...
- Je suis désolé je n'ai pas pu mentir, dit Marie.
- Je ne t'en veux pas, je lui sourit.
- Vous avez l'air proche tous les deux, elle lâche avant de s'assoir sur mon lit.
J'étais dos à elle, debout devant la fenêtre, j'avala difficilement ma salive.
- Il m'a seulement demandé conseil après m'avoir sermonné, je me tourne vers elle.
- Très bien, je voulais simplement te remercier pour ce que tu as fait pour moi hier, elle se lève.
- C'est normal tu es mon ami, je lui dit.
- Si tu le dit, elle dit avant de me laisser seul dans ma chambre.
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J'étais déstabiliser par sa dernière réplique. Je tourna en rond dans ma chambre un instant puis me souviens que quelqu'un de bien bavard aurait pu parler.
Je sortie et me dirigea vers les appartements de Lorraine. J'entra en trombe et le vit sur une chaise un verre de vin à la main.
- Tu ne peux donc pas tenir ta langue, je lui dit.
- De quoi tu parle, il se défend.
- Tu l'as dit à Marie.
- Je ne lui est rien dit sur toi et Louis, mais je lui est parlé de ton autre amant. Elle n'était d'ailleurs pas contente tu sais à qu'elle point elle pieuse.
- Tu n'a donc parlé à personne de ce qui c'est passé au château de Saint-Cloud, j'insiste.
- Au risque de me faire exilé de nouveau, jamais.
Sur ces parole je sortie et alla attendre devant le château le retour de Fabian et Colbert.
Il était enfin là et heureusement car je commencé réellement à avoir froid.
- Vous allez mieux Colbert, je demande doucement.
- Oui, je me sent beaucoup mieux, il répond.
- Merci beaucoup Fabian de nous avoir aidé, je me tourne vers lui.
Il me gratifia d'un sourire et nous rentrons au château afin de conduire Colbert dans sa chambre.
Dans la chambre on allongea Colbert dans le lit.
- Resté ici je vais vous cherché de quoi manger, je leur dit.
- Je vais partir, répond Fabian.
- Vous allez d'abord manger et ensuite partir, je lui dit.
Il s'asseya donc sur une chaise et je partie en cusine afin de préparer deux plateau repas.
J'avais fait de mon mieux pour leur fair plaisir puis aidé du personnel je remonta dans la chambre.
