Entre temps j'étais parti me changé et avait enfilé une robe que Philippe m'avait offerte, enfin je lui avait demandé de ramène un couturier. La robe était assez fine et simple.
Les trois hommes parlaient ensemble ainsi que Amandine et moi j'étais silencieuse. J'étais la physiquement mais mon esprit n'était pas présent.
- Émeraude, me donne un coup de coude Amandine.
- Oui, je reviens sur terre.
- Je disais que j'aimerais m'entretenir avec vous, me dit Colbert.
- Bien sûr, je dit quelque peu surprise, venez.
Nous sortir du grand salon pour se dirigeaient dans une autre pièce.
- Je vous écoute.
- J'aimerais sollicité votre aide.
- Mais encore, je sourit.
- Ma nièce aimerai venir à Versailles et je vous avoue que je suis assez réticent. Sans vouloir critiquer la demeure de sa majesté mais Versailles et devenu un lieu de débauché, perverti ou tous les vises sont permis. C'est donc pour cela que j'aimerais que vous preniez ma nièce Augustine sous vos ailes.
- Je comprends votre inquiétude Colbert, et cela me touche et me flatte que vous y pensez à moi en premier. Je comprends votre inquiétude et si j'étais à votre place je ne serais pas très confiante de jeté ma nièce dans la gueule du loup. J'accepte votre proposition faite la venir ici à Saint-Cloud.
- Je vous suis extrêmement reconnaissant, il répond les yeux pétillant.
Je lui fait une légère accolade et nous retournions rejoindre les autres. Lorsque nous rentrons dans la pièce nos amis était à table à déguster les plats que nous avions fait Amandine et moi.
- Les plats vous plaise, je demande en m'asseyant à table à côté de Amandine.
- Délicieux, Amandine ma dit que c'est toi qui a préparé tous ca, répond le roi.
- Non j'étais aidé par tous le personnelles, je sourit.
- C'est délicieux, dit Colbert à côté de moi.
- Vous avez pas encore goûté à la..., elle se tourne vers moi.
- La Schwarzwälder Kirschtorte tu veux dire, je sourit.
- Oui voilà ça, c'est une pure merveille, elle sourit au roi.
Amandine et Louis était très proche pendant tous le repas et je savais que c'était bête mais j'étais jalouse. J'étais réellement mal à l'aise.
- Je vais chercher le gâteau, je me lève précipitamment et par maladresse je renversa sur moi un verre de vin rouge.
- Émeraude, dit Amandine, t'es vraiment pas possible.
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Mon Rêve, Versailles T.1
Historical FictionJe m'appelait Émeraude Schöne, j'avais dix-neuf ans et vingt ans dans deux jours. J'étais étudiante à l'institution de sciences politiques à Paris. J'avais tous pour moi, des amis, la famille en bref une vie parfaite. Je n'étais pas une fille qui pa...