PVD Philippe
- Liselotte, je tape à la porte.
- Vas t'en, elle crie.
- Ouvre cette porte, je dit avec autorité
Elle ouvrit la porte et j'entra. Elle alla s'assoir près du bureau.
- Je vous demande pas de m'aimait, je veux seulement du respect. Je suis arrivé dans cette cour ou je ne connait rien ni les coutume, ni les meurs. J'ai l'impression que chaqu'un de mes geste me rend risibles et ridicule devant toute ses femmes qui sont elles rodé, elle s'effondre.
Je m'approcha d'elle et déposa ma main sur sa joue et mis à genoux pour lui faire face.
- Je suis désolé, je me suis mal comporter avec toi, j'essuie sa joue.
- Je ne veux pas vous séparez toi et le chevalier mais je vous demande seulement de remplir votre devoir conjugal.
- Je ne...
- Très bien, j'ai compris, laissé moi seul s'il vous plait, elle demande.Je ne sais pas pourquoi mais j'eu cette envie de l'embrasser, je l'embrassa et contrairement à ce que je pensais ce n'était pas si désagréable.
- Je ne veux pas vous faire de mal, je termine ma phrase.
En réponse elle me leva et m'embrassa de nouveau. Tout était allé si vite.
Nous étions dans le lit, elle avait la tête sur mon bras moi je lui caressa les cheveux.
- Je te remercie Philippe, sincèrement.
- Elle avait raison tu es différentes des autres, je lui sourit.
- Différente ?
- Oui.
Elle se leva et enroula le drap autour de son corps. S'avançant vers la fenêtre elle regarda droit devant elle. Je me redressa sur le lit et l'observa.
- Je sais mieux faire l'amitié que l'amour, elle lâche.
-...
- Tu pourras toujours compté sur moi, je serait ta femme mais avant tous je serais ton ami.
- Mecri...
- Nous sommes ami avec un petit plus, elle se tourne pour me faire face.
Sa franchise, son sourire la rendait magnifique. J'avais compris, je ne trouverai pas mieux qu'elle. Je me leva à mon tour et alla m'habiller sour le regard perdu de Liselotte.
Une fois habillé je me tourna vers Liselotte et m'approcha d'elle, elle leva son regard vers moi un sourire timide.
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Mon Rêve, Versailles T.1
Ficción históricaJe m'appelait Émeraude Schöne, j'avais dix-neuf ans et vingt ans dans deux jours. J'étais étudiante à l'institution de sciences politiques à Paris. J'avais tous pour moi, des amis, la famille en bref une vie parfaite. Je n'étais pas une fille qui pa...