Une viste surprise

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Après avoir annonçait à Philippe son mariage il me serra la main et se tourna vers moi et souria. Ce n'était pas un sourire de joie mais plutôt de tristesse.

- J'ai tous fait pour lui faire entendre raison, je commence, je suis...

- Tu ne peux changer l'histoire, il me coupe, je savais qu'un jour mon frère me remarié, il depossa sa tête sur mon épaule.

- Tu sais que tu pourras toujours compter sur moi Philippe, je pose ma tête sur la seine.

- Elle s'appelle comment ?

- Tous le monde l'appel Liselotte, je pense que tu ne trouvera pas mieux, je dit.

- Si tu le dit, et toi ça va.

- Oui, je répond.

- La vérité, il se redresse.

- Je suis fatiguée, Louis ne cesse de me dire que nous sommes fait pour être ensemble. De l'autre côté il y'a Marie, je peux pas lui faire ça. Et puis ces enveloppes..., je soupire.

- Des enveloppes, il demande.

- Oui, je dit en me levant pour les prendre, depuis que je suis arrivé ici je reçois ces lettres qui sont censé m'aider à partir.

Il les pris et les lis une par une alors que j'étais reparti m'allonger.

- Je suis parti à Paris pour rencontré cette Françoise.

- Tu ne sais vraiment pas pourquoi tu es la, il me prend les deux mains.

- Non, je dit.

- Mon frère, il se laisse tomber dans mon lit.

- Louis ?! Je ne voit pas comment il pourrais m'aider, je m'allonge.

- Réfléchi, bonne nuit ma tulipe, il depossa un baiser sur mon front avant de dormir.

Je ferma à mon tour les yeux tout en repensent au parole de Philippe.

*

- Debout les marmottes, me parviens la voix du chevalier.

Philippe à côté de moi se leva, moi je ne voulais pas.

- Réveil toi ma tulipe, me dit délicatement Philippe.

Je m'étira et sourit les cheveux ébouriffé.

- Arrête de m'appeler comme ça, je m'assois sur le lit.

- Ma tulipe, il me pince la joue sous le regards attendri de son amant.

- Si je ne savais pas que tu avais un penchant pour les hommes j'aurais dit que quelque chose se passe entre vous.

- Jamais de la vie, je dit, maintenant dehors que je puisse me vêtir.

Je les poussaient vers la sortie et ensuite me lava et m'habilla d'une robe ivoire très légère et mit un foulard autour du coup pour cacher ma blessure.

J'attacha me cheveux simplement d'une queux de cheval. Je sortie ensuite toute contente de ma chambre.

Dans le salon seulement Amandine était à table. Je m'assois à côté d'elle.

- Bonjour, je chantonne.

- Bonjour, t'es très belle, elle me répond tous sourire.

- Comme toi, j'espère que sa ne te dérange pas de porté mes anciennes robes.

- Non, bien sur que non elles sont magnifiques.

- Très bien alors mangeons.

- Mais on attend pas vos amis, elle demande.

Mon Rêve, Versailles T.1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant