Mon Rêve, Versailles T.1

A l'orangerie

J'avais serré le mot dans mes mains et je parti à la recherche de Philippe.

- Tu n'aurais pas vu Philippe, je demande au chevalier.

- Non mais pourquoi tu veux le voir, il demande.

- C'est privé.

- Rien n'est privée à Versailles, il me dit.

- Je n'ai pas le temps pour jouer avec toi Philippe.

Je parti ensuite pour rejoindre ses appartements. J'entra sans toquer et en y repensant j'aurais du. Philippe était là entrain de s'amuser avec l'un de ses mignons.

- Émeraude, il lâche surpris.

- Il faut que je te parle, je lui répond en regardant une armoire sur ma gauche.

- Dehors, il dit à son amant avant de mettre une robe de chambre.

- J'espère que tu as une bonne raison, il s'approche de moi.

- J'ai fait quelque chose de mal, je lui dit.

Il m'invita à m'asseoir en face de lui.

- Je t'écoute, il souffle.

- J'ai fait une grave erreur, j'ai trahi Marie, je dit.

- Je ne comprends pas, il froncent des sourcils.

- Hier soir Louis m'a embrassé, mais le pire c'est que j'ai apprécié, je dit désespéré.

- Et bah, un vrai tombeur celui la, il rie.

- Je n'ai pas envie de rire Philippe, j'ai trahi Marie, je répète.

- Tu veux que je te dit ce que je pense ou ce que tu veux entendre, il prend ma main.

- Sois franc, je fait une pression sur sa main.

- Émeraude écoute ton coeur, si tu l'aime fonce, n'hésite pas.

- Marie est la seul femme en qui j'ai confiance, elle l'aime et souffre de ses infidélités, je m'emporte.

- Regarde moi, je lève la tête et le regard, Ne vit pas ta vie avec des regrets, des remords oui mais pas regrets ma chérie, il sourit.

- Plus jamais je te donne de conseil, je rie.

Il rit et me pris dans ses bras et me posa un baiser sur la tempe.

- Ne réfléchi pas trop, il me dit.

- Il m'a donné rendez-vous à l'orangerie.

- Et bien il ne perd pas de temps, j'ai hâte de savoir ta réponse, il me lâche.

- J'y vais, je dit avant de partir.

Il fit signe de partir avec la main un sourire illuminant son visage. Je sortie du palais et me dirigea vers l'orangerie. Je marchait dans les jardins jusqu'à l'orangerie.

Au loin je vis Bontemps qui patientait. Je m'avança vers lui.

-Mademoiselle, il m'acceuil.

- Émeraudes Bontemps, appelez moi Émeraude.

- Entendu.

- Le roi est arrivé ?

- Oui il vous fera signe après.

- Je peux vous poser une question, je demande.

- Oui.

- Louis c'est comme votre fils ?

- Oui c'est vrai, mon père à servi son père, je l'ai servi aussi et pour moi c'est un honneur de le servir lui aussi.

- Il a beaucoup de chance d'avoir une personne comme vois dans son entourage.