Je n'avais pas dormi de la nuit, la dispute avec Philippe et cette enveloppe m'avait fait réfléchir toute la nuit.
Éloïse m'avait préparer, tous les bagages était près, nous partions dans deux heures.
J'allais voir Marie et Henriette pour leur dit au-revoir. Je toqua à la porte et entra dans le petit salon.
- Émeraude, Louis m'a dit que tu partais, dit Marie.
- Oui c'est vrai, j'ai besoin de partir.
- Pourquoi, questionne Henriette.
- J'étouffe ici, je leurs dit droit dans les yeux, je ne veux pas vous faire de mal ni vous inquiétez.
- Nous faire du mal ? Tu dis vraiment n'importe quoi, ton arrivée à apaisé Versailles, dit Marie.
- Tu part pour combien de temps, interroge Henriette.
- Je ne sais pas...
- Tu reviendra, s'empresse de dire Marie.
- Sûrement...
Un silence s'installa, Marie et Henriette me regardaient avec tristesse que je ne pu me retenir de les prendre dans mes bras.
- Vous allez beaucoup me manqué, n'oublie pas, gardé le tête haute et montrer qui vous êtes. Briller, soyez éclatante, soyer vous même. Soyez forte, je leurs murmure.
- Tu vas nous manquer, sanglote Marie.
- Énormément nous manquer, pleure Henriette.
Je me détacha d'elles et essuya le visage de Marie puis celui d'Henriette.
- Si vous pleuré je vais pleuré moi aussi, je dit la gorge serré.
Elles sourit et c'est à ce moment la que Philippe fit son entré complètement torché.
Henriette se précipita vers lui.
- Philippe !!!
- Je vais vous laissez, je dit amère de la dispute d'hier.
Je me dirigea vers la porte mais celui-ci me bloqua la porte. Il me fixa longuement puis rit.
- Laisse moi sortir, je dit.
Il s'arrêta de rire et me regarda les yeux vitreux.
- Je n'y arrive pas, il dit, j'ai bu toute la nuit, j'ai veut te haïr mais je n'y arrive pas, il s'effondre au sol.
Henriette se précipita vers lui et l'aida à ce relevé.
- Laisse moi partir, je répète.
- Tu reviendra, il demande. On aurait dit un enfants.
Je lui caressa les cheveux et lui sourit tristement.
- Prend soin de toi, d'Henriette, ne l'abandonne pas, qu'elle que sois t'es sentiments. Les gens autour de toi profite beaucoup de ta naïveté. Prenez soin de vous, je dit avant de partir
Dans le couloir je ne pu retenir mes larme, je pleura silencieusement. Je devais encore dire en revoir à la reine et à Louis.
J'essuya mes larme et me rendu dans les appartement de la reine. Je toqua et la reine elle même m'ouvrit la porte.
- Ma fille, sourit la reine.
- Madame, je suis venu vous annoncez mon départ, je dit.
- Prenez soins de vous et revenez lorsque vous aurez apaisé vos démon, dit la reine.
- Prenez soin de vous et profiter de vos fils, surtout reposez vous.
- Promettez moi de revenir avant que je rende mon dernier souffle, demande la reine.
J'essuya rapidement mes yeux. Les larme menaçaient de couler. Il ne lui resté plus que quatorze jour.
- Je reviendrai sûrement, puis je vous demander une requête.
- Je vous écoute, dit le reine.
- Puis je vous prendre dans mes bras.
Elle me sauta au coup après la fin de ma phrase, je la serra moi aussi fort dans mes bras.
Après quelque minutes elle me lâcha et essuya mon visage humide.
- Sois forte ma petite, dit la reine.
Je fit oui de la tête.
- Au-revoir, je lui dit.
- À bientôt mon enfant.
Elle me lâcha puis je sorti sans un mon de ses appartements. Je marchait dans les couloir de Versailles et croisa la Montespan et Chevalier de Lorraine.
- Tiens, Émeraude vous n'étiez pas censé partir, dit le chevalier.
- Si je part aujourd'hui, je lui répond.
- Oh ! Et pourquoi, vous savez je n'ai pas une affection particulière en vers vous, mais laisser moi vous dire que beaucoup de jeune fille aimerait être à votre place, dit Athénaïs.
- Merci de vos conseils Athénaïs, mais j'ai besoin de me retrouver.
- Et bien dans ces cas au-revoir, me dit le chevalier, Versailles vas sûrement devenir ennuyeux, il boude.
Je lâche un lège rire.
- Prenez soin de vous, au-revoir, soyez heureux.
Les deux me regardaient assez choquer.
- Je suis sincère, j'ajoute.
Je pars et les laisse surpris, je me rendais dans le bureau du roi. Je toqua à la porte et une voix me dit d'entrée.
J'entrais et vis Louis, Bontemps et Fabien.
- Je dérange peut être, excusez moi je passerai plus tard, je dit.
- Non, non, s'empresse de répondre le roi, nous avions fini.
- Je profite de votre présence pour vous dire au revoir, je m'adresse à Fabien et à Bontemps.
Ils avaient sourit et m'avaient fait un signe de la tête avant de sortir de la pièce.
- Et bien comme vous savez je pars, je commence, je vous souhaite le meilleur.
Il s'approcha rapidement de moi et me pris dans ses bras. Je le serra fort dans mes bras à mon tour.
- Promet moi de prendre soins de toi et de ton frère, de prendre soins de toi, d'être bon avec Marie. Promet moi de profité de chaque instant avec ta mère. Promet moi d'être un bon roi, je fini.
Il se décolla de moi sans pour autant me lâché. Il me fixa, j'essayais tant bien que mol de cacher mon trouble.
- Tu ne me cache rien, il m'interroge.
- Non, bien-sûr que non.
- Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression que cette entrevue sonne comme un au-revoir.
- Je reviendrai, je mens.
- Tu vas beaucoup me manqué, il touche mes cheveux.
- Toi aussi, je t'oublierai pas.
Je me détacha de lui.
- Au-revoir Louis, je me mit sur la pointe des pieds, je releva ses cheveux et dépose un baiser sur son front.
Il resta stoïque quelques secondes, avant d'afficher un sourire radieux sur le visage.
- Quand tu reviendra, tu m'embrsseras, il me dit.
- On verra, je mens.
- A bientôt ma douce, il dit avant de me laissé partir.
Je sortie de son bureau et me dirigea vers ma chambre afin de prendre les derniers affaires avant de partir. Tous le long du chemin je me retenait afin de ne pas pleurait. Je ne voulais pas attiré l'attention.
J'entrais dans la chambre et vis Éloïse assis entrain de m'attendre.
- Nous pouvions partir, elle me dit.
- Et bien partons, je lui répond.
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Mon Rêve, Versailles T.1
Historical FictionJe m'appelait Émeraude Schöne, j'avais dix-neuf ans et vingt ans dans deux jours. J'étais étudiante à l'institution de sciences politiques à Paris. J'avais tous pour moi, des amis, la famille en bref une vie parfaite. Je n'étais pas une fille qui pa...