Une soirée arrosée

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Le roi et la reine c'étaient retirés dans leurs appartements. J'avais pris Henriette par la main et l'entraîna dans une danse sensuelle. Je sentais le regards de Philippe sur nous et faut dire que nous étions très alcoolisées. La Montespan elle aussi c'était lâché. Elle nous avait rejoint sur la table et tous les trois nous prenions un malin plaisir à faire tourner la tête à la gente masculine.

Sans que personne ne s'y attende je pris en coupe le visage d'Henriette et l'embrassa fougueusement sous les sifflements des autres invités. Tous le long du baiser j'observa Philippe avec défi.

Il était énervé et ça se voyait, j'avais réussi à le rendre jaloux. Si j'avais su que voir sa femme en embrasser une autre le rendrait jaloux je l'aurai fait y'a bien longtemps.

Je rompu le baiser et observa Henriette le joue rouge de honte.

- Sur le coup il est très jaloux, je lui dit tous en montrons Philippe à l'autre bout de la pièce.

Elle se retourna et croisa le regards noir de Philippe, je laissa échappé un rire.

- Même le chevalier n'arrive pas à le distraire, j'ajoute, va le voir.

- Mais il est en colère, répondu celle-ci.

- Il est jaloux et mon petit doigt me dit que tu devrait mieux aller le voir.

Elle alla le rejoindre et il la pris par le poignée pour l'emmène sûrement dans leur chambre.

- Et si on aller terminer tous ce ci dans les jardin, je crie.

Les plus fêtard avait accepté et m'avait suivi. Nous étions tous dans une fontaine du jardin avec la seul envie d'assouvir nos désir.

Le chevalier s'approcha de moi et commença à danser avec moi. Il me défia du regards et à mon tour je lui sourit avec malice. Je retire lentement ma robe et me retrouve avec une simple chemise blanche qui laisser apparaître mes sous vêtements et mon corps.

Il était envoûter et m'observa avec envie et desir. Je marcha lentement vers lui sous le regards de tout les nobles. Je me colla à lui et le pris dans mes bras.

- J'ai refuser les avances du roi, alors ne croyais pas que je ferai l'amour avec vous, je chuchote à son oreille.

Je m'eloigna ensuite de lui et observa sa réaction, il était rouge de colère et quitta la fête. Quant à moi j'avais passé la nuit à boire, à danser. Durent cette soirée j'ai du embrasser pas mal de personne autant des hommes que des femmes.

J'étais rentrais me coucher à cinq heur du matin. J'avais sauté dans mon lit et je m'étais endormi.

PVD Louis XIV

J'avait passé la soirée avec ma femme, et pour dire vrai sa compagnie n'était pas désagréable. J'étais nu dans le lit conjugale et observa près de moi Marie dormir paisiblement. Je me leva sans faire de bruit et enfila une chemise de nuit. Il était six heure je crois, j'avais rejoint mon bureau accompagné de mon ami Bomtemps.

- Qu'elle est le programme du jour, je l'interroge une fois dans le bureau.

- Vous avait une rencontre avec le Pape et une réunion avec vos ministres.

- Très bien, et qu'elle sont les nouvelles du jour, je repris.

- Et bien, votre altesse il y'a une personne qui fait beaucoup parlé d'elle.

- Qui, j'interroge.

- Mademoiselle Émeraude de Schöne.

- Et pourquoi ça ?

- Il se dit qu'elle à danser de façon...comment dire... Assez désinvolte avec votre frère et son amant, ainsi que embrasser Madame. Elle à aussi embrasser et séduit plusieurs jeune hommes et jeune femmes.

J'étais surpris et surtout en colère. Elle avait dit que ce n'était pas une libertine mais pourtant ses actes disaient le contraire. Elle m'avait rejeté pour embrassé ma belle soeur et prendre du bon temps avec l'amant de mon frère.

Je me leva piquer au vive et me rendis dans ses appartements. Je fit éruptions dans sa chambre sans même toquer. Mon ami n'avais pas compris ma réaction.

- Émeraude réveil toi, je cris.

Elle ouvra peut de temps après difficilement les yeux. Elle fit les yeux rond lorsqu'elle me vit.

- Louis ? Tu fais quoi dans ma chambre ?

J'ignorais toute ses questions et m'approcha d'elle.

- Je croyais que tu n'était pas une putain et pourtant tes actes durant la soirée on prouver le contraire, j'explose.

Elle fronça des sourcils et se leva difficilement de son lit.

- J'espère que c'est une blague, tu te permet d'entré dans ma chambre et me faire une scène digne d'un couple marié alors que rien nous nous unis.

- Tu me repousse, pour embrasser Henriette et passer du bon temps avec le chevalier de lorraine, je hurle.

Elle ria et pris un air sérieux, elle s'approcha de moi. Je senti son souffle au creux de mon coup.

- Je suis navré si ton égo à était touché, mais jamais je ne coucherait avec toi. Tu es le mari de mon amie et rien de plus. En embrassant Henriette je l'ai seulement aider et rien d'autre. Donc je te prie de ne pas te comporter comme si j'étais ta chose, comme si j'étais à toi. Je n'ai aucun compte à te rendre. Vas plutôt voir ta Montespan, elle réplique.

Je la tien ferment pas la main et la regarde. Elle pouvait dire ce qu'elle voulait son regards ne trompait pas.

- Tu es à moi, c'est la dernière fois que je toléré que l'on pose ses mains sur toi. Je te jure que si j'apprends que quelqu'un ta toucher, je le tuerai, je répond sérieux.

Je là lâche et sors de sa chambre, s'il y'a bien une chose que je ne supporte pas c'est que l'on touche à ce qui m'appartient. Et Émeraude est à moi.

- Et bien, je ne vous avait jamais vu aussi possessif, dit Bomtemps derrière moi.

- Je protège seulement ce qui m'est précieux, je lui répond.

- Très bien votre altesse, il sourit, le lève du roi ne vas pas tardé vous devriez rejoindre votre chambre.

- Très bien, j'accepte.

- Ahh et j'aimerais que tu m'appelle Fabien dans mon bureau pour dix heures.

Il acquise et disparait. J'avais moi rejoint mon lit et aller perpétué le lève du roi.

Mon Rêve, Versailles T.1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant