J'étais sortie de la salle de balle et me suis rendu sur une terrasse qui donnait sur les jardins de Versailles. J'appréciais le silence et commença à réfléchir à comme rentré chez moi.Mes amis, mes parents, ma vie me manquais. J'essayais de trouver une solution mais rien ne me viens à l'esprit. À part cette lettre que j'avais reçu, je n'avais eu aucune explication à ma présence.
Je souffla et ferma les yeux pour me relaxer. Le vent frais tapa sur mon corps.
- Une aussi belle femme ne devrait pas rester seul, me surpris une voix.
Sans même me retourner j'avais reconnu le roi.
- Et le roi ne devrait pas laissait ses invités seul, je répond en ouvrant les yeux.
J'entendais des pas se rapprocher de moi. Louis se mit à côté de moi et me dévisagea un instant.
- Quoi, j'ai une bête sur le visage, je rigole.
- Non tu es magnifique, répond Louis.
Je me tourne et le regarde, nos regards s'accroche. Il s'approchait dangereusement de moi.
- Louis je ne suis pas intéressé par un coup d'un soir avec sa majesté qui plus est l'epoux de mon amie, je recule.
- Qui t'as dit que tu serais un coup d'un soir, je veux plus qu'une nuit avec toi. Et puis j'adore quand tu m'appelle Louis, il souffle à mon oreilles.
Je le repousse et lui répond : Et bien sa majesté peux toujours attendre, je sourit.
Il me regarde partir et me suis du regards, je pars m'asseoir sur un banc et écoute à nouveau le silence.
- Vous me repoussez, s'assoit le roi à mes côté.
- Tu repasse au vouvoiement je sourit. Et puis, oui je repousse le plus grand roi du monde.
Il se tu et le silence règne de nouveau. Les jardins de Versailles était magnifique. J'admirais les beautés de ses plantes. Le Notre avait fait des merveilles.
- Je vois que les jardins te plaisent.
- Oui, il sont.... Somptueux, je lui répond.
- Émeraude, jeu peux te poser une question, il dit d'un air sérieux.
Je lui fit face face et l'écouta.
- D'où vient tu, et pourquoi je me sens faible en t'as présence.
Je sourit gêne et me toucha les cheveux. Je faisait tous le temps ça dans les situations embarrassantes.
- Je ne sais pas d'où je viens, ni même pourquoi je suis là, je dit, mais tu sauras deviner. Et puis pour ce qui est de ta faiblesse je ne sais pas.
Il se tu et ce du être à mon tour de lui demander une faveur.
- Louis, c'est mal ce que tu fait.
- Mal ?
- Oui, tu t'amuse de jeunes femmes qui elles éprouvent réellement des sentiments pour toi.
- C'est simplement mon statut qui les attirent, il repris.
- Peut-être mais tu fais beaucoup de mal à Marie, elle ne le mérite pas.
- Marie est une femme très intelligente mais je ne ressens rien pour elle.
- Il n'a pas été question d'amour Louis, je voudrais seulement que tu la respect et que tu montre une certaine bienveillance à son encontre.
- Elle a bien de la chance d'avoir une amie comme toi.
- Je sais, je répond accompagner d'un clin d'œil.
Je sourit et me leva et le tira avec moi, pour retourner faire la fête. Il rejoint sa femme et moi son frère.
- C'est comme ça qu'on fait la fête chez vous, je le surprend entrain d'embrasser le chevalier.
- Sans doute oui !
- Et bien moi je vais vous montrez comment on fait le fête chez moi.
Je monte sur une des tables un verre à la main tous les regards étaient posée sur moi. Je me tourne vers l'orchestre et crie "Musique maestro" .
La reine et le roi étaient abasourdi par mon attitude, le duc et le chevalier étaient eux mort de rire. La musique était à mon goût trop mole. Je bu cul sec mon verre et descendu pour aller voir les musiciens.
Je m'approcha de l'un d'entre eux et le prix délicatement pas le col.
- Une musique plus rythmé, je lui chuchote à l'oreille.
Le pauvre il était devenu tous rouge et avait simplement fait oui de la tête. Je m'eloigna et pris un nouveau verre de vin puis remonta sur la table. Je m'étais mise à danser.
Le duc et son amant m'avaient rejoint sur la table. Je m'étais mis à dansé de façon libertine, j'avais détaché mais cheveux roux qui tomber sur mes épaules. Tous le monde danser et rigoler. Le joie était à l'honneur se soir. Le duc et le chevalier ne cessé de s'embrasser sous la vu de tous.
Marie était heureuse et profiter du roi.Malgré l'euphorie je vis au loin Henriette sortir de la salle les larmes au yeux. Je l'avais suivi et la rejoint dans un couloir de Versailles. Elle avait l'air très triste. Je m'approcha d'elle, elle ne m'avait pas et sursaute.
- Vous êtes la pour vous moquez de moi, et le répète au chevalier, elle me crache au visage.
- Non, j'aimerais m'excuser, j'étais dure avec vous. Être la femme de Philippe ne doit pas être de tous repos.
Elle me dévisagea, je lui avait sourit en retour.
- Je me sens seul, elle soufle, j'ai l'impression que personne m'aime. Je ne sais plus ou j'en suis...
- Il vous aime tous les deux Henriette ! Philippe est jaloux de la relations que vous entretenait avec le roi, il aime le chevalier mais il l'utilise parfois pour vous humilié. Si vous voulez savoir je pense que Philippe à une certaine affection pour vous, bien plus que le roi à mon avis.
- Foutaises, il passe son temps à me salir et m'humilié. Philippe me déteste, elle répond.
- Vous le faite souffrir aussi en trompant avec son frère, je lui fait remarquer.
Elle me regarda piqué au vif.
- Je ne dit pas ça pour vous faire la morale ou quoi que se soit. Mais selon moi une femme à Versailles doit s'imposer. Elle doit dominer l'homme, fixer les régles et ne pas s'apitoyer sur son sort. La femme doit se faire désir, ne montré aucun signe de faiblesse face à ses ennemis. Vous devez mené la danse Henriette et rappelé la place du chevalier. Enfin cela c'est si c'est Philippe que voud choisissez.
Elle me sauta dans les bras et me remercia.
- Amie, je lui dit.
- Amie, elle me serre la main.
- Et autre chose si tu à besoin de mon aide, je suis là, je lui fait remarquer.
Nous avions fini notre conversation et avaient rejoint de nouveau la fête.
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Mon Rêve, Versailles T.1
Historical FictionJe m'appelait Émeraude Schöne, j'avais dix-neuf ans et vingt ans dans deux jours. J'étais étudiante à l'institution de sciences politiques à Paris. J'avais tous pour moi, des amis, la famille en bref une vie parfaite. Je n'étais pas une fille qui pa...