FENRIR TOME I

CHAPITRE 37

Nous arrivons dans une très grande maison. Il est vraiment gigantesque ! C'est le premier Chef de Géant que nous rencontrons et qui ne vit pas dans un palais.

— Bienvenue dans mon humble demeure, chères amis Fenrir ! nous dit-il. J'espère que vous avez été bien accueilli.

— Oui, et nous vous en remercions. répond Chris.

— Tant mieux alors. Arès m'a fait part du pourquoi vous vous êtes déplacés jusqu'ici, alors tenez. dit-il en posant sa main sur le sol.

Je monte sur sa main, et vois en son creux la pierre Unmei jaune. Il n'y a même pas eu besoin de discussions, ou de bagarres inutiles. C'est super, plus qu'une. Une seule pierre. La pierre Unmei noire ! Et sans doute la pierre la plus compliqué à trouver.

— J'espère sincèrement que vous réussirez à stopper cette Guerre, qui débute un peu partout.

— En parlant de ça, êtes-vous au courant de ceux voulant que cette Guerre voit le jour ? demande ai-je.

— Oui j'en ai entendu parler. Il paraîtrait d'après eux, que pour que la Guerre puissent définitivement être arrêtée, il suffirait qu'elle voie le jour.

— Je ne comprends pas leur logique... dit Astrid.

— Pour faire simple, le destin ne doit pas être bouleverser. ajoute Arès. C'est ce qu'ils se disent en tout cas.

— Je ne pensais pas que l'on aurait la pierre aussi vite en tout cas ! dit Chris.

— Vous avez eu des ennuis avec les autres tribus ? demande le Chef.

— Seulement avec les Géants des Glaces, que nous avons quitter il y a plusieurs heures déjà. dit Chris.

— Je comprends. Les Géants des Marais et nous-mêmes ne sommes plus en contact avec eux. Enfin passons. Vous devez être épuisés ! Allez vous reposer, une maisonnette a été préparé pour vous y accueillir par les Aero.

— Je voulais savoir... commence ai-je.

— Ne vous fatiguez pas voyons... Nous aurons tout le temps de discuter demain. Reposez vous.

— Bien. Merci beaucoup, et à demain.

Nous le saluons et Arès nous emmènes jusqu'à la maison dans laquelle nous allons nous reposer. C'est une maison très colorée ! Les murs sont jaunes et vert pastel. Il n'y a pas de lits. Il y a des futons par contre, avec des draps aux couleurs de l'arc en ciel.

— Bon, notre voyage s'achève bientôt... dit Irene.

— Ne parle pas trop vite. Tu oublies qu'ils nous restent à trouver les Titans ! Ça va pas être aussi simple. avoue ai-je.

— Oh... Oui c'est vrai.

— Il faudra qu'on pose la question au Chef plus tard. dit Chris. En tout cas, je vais suivre son conseil et dormir un peu.

— Je suppose que tu n'es pas fatiguée ? me demande Astrid.

— Non. La pierre encore. Reposez vous tranquillement, je vais faire un tour.

Je m'apprête à ouvrir la porte lorsque Chris la referme et me plaque contre le mur. Il me regarde avec un sourire charmeur.

— Et mon bisou ? demande t-il. Comment veux-tu que je dorme sans mon bisou ?