Chapitre 1

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NDA : Bonjour bonjour ! Avant de vous laisser commencer à lire cette fanfiction, je tiens à préciser que l'histoire se déroule en France ( comme dans le manga ), mais une France moderne comme nous la connaissons aujourd'hui. Ne vous étonnez donc pas de voir Vanitas, Noé et tous les autres utiliser les gadgets que nous connaissons si bien ! c: Aussi, il se peut que le caractère des personnages soient un peu différents compte tenu du changement d'époque. <:

Autre parenthèse : L'image de ma couverture a été réalisé par l'artiste Corokuro ( https://www.deviantart.com/coro96 ) et aucun des personnages ne m'appartient. Ils appartiennent à Jun Mochizuki et à l'univers de Vanitas no carte !

Sur ce, bonne lecture ! ~~

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Noé


Je ne suis pas quelqu'un de déterminé.

C'est vrai ; où que je sois, partout où je vais, les autres font les choix pour moi. Je me contente de me laisser entraîner par le monde qui m'entoure sans résistance, aucune. Je cherche toujours à me faire apprécier par n'importe qui, que ce soit un camarade de classe ou bien le marchand de journaux du coin. Je n'aime pas faire de vagues.

Un jour mon père m'a dit lorsque j'étais petit : « Noé est le fondateur de l'arche, notre sauveur à tous. Il est fort, courageux et robuste. Tu comprends ? C'est pour cette raison que tu portes ce prénom. »

Évidemment, j'ai acquiescé, même si la religion n'a jamais eu aucune signification pour moi. J'ai hoché la tête, comme après chacune de ses paroles qui m'étaient adressées.

« Noé, arrête de pleurer. » Hochement de tête.

« Noé, mange plus de viande. » Hochement de tête.

« Noé, ne joue pas avec les filles. » Hochement de tête.

« Noé, prend des cours de boxe. » Hochement de tête.

« Noé, bon sang.. Es-tu vraiment un homme, à la fin ? »

.

.

.

Hochement de tête.

* * *

10 septembre

_10h15

Le soleil m'aveugle lorsque je lève les yeux vers le panneau géant affichant les heures d'arrivés et de départ des trains de la gare de Clermont-ferrand. En plissant les yeux, j'arrive à discerner celle du mien : dix-heure trente-cinq, quai huit. Bien. Il est dix-heure et quart.

C'est aujourd'hui que je pars sur Paris pour poursuivre mes études, la branche que j'ai choisi n'étant pas proposé dans ma petite université d'Auvergne. C'est avec appréhension et inquiétude que je quitte ma région natale, mais je sais que le voyage en vaudra le coup.

Paris.

C'est sa réputation dans l'art de l'enseignement et des grandes écoles qui m'a convaincu à m'y rendre. Et puis, deux ans dans toute une vie, qu'est-ce donc ? Dès l'obtention de mon Master, je jure de retourner auprès des miens.

Paris ne sera qu'une ville de passage pour moi mais il n'empêche que je suis aussi excité qu'un gamin à l'approche de noël à l'idée de la découvrir.

Tu seras un homme ( Vanitas no carte )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant