Married To A Gangster [TERMINÉ]

Save Me

Externe

Marchant dans une sombre ruelle, il se fit pousser contre un mur. Tapant durement la surface froide, il tomba au sol.

Ses yeux larmoyants l'empêchait de voir qui était ces personnes si mal intentionné. Mais au moment où il ferma les yeux et où il cacha son visage de ses petites mains, une voix s'éleva dans la ruelle venant d'un des deux hommes.

_ Alors gamin comme ça on est en admiration sur Jeon ?

Il releva sa tête et osa les regarder. Il fut surpris de les voir. Une peur se fit ressentir dans tout son être et repensa à ses paroles. Qu'est-ce que je suis bête, pensa-T-il.

_ On ne t'a jamais appris à fermer ta gueule ? S'écrit l'autre homme en le frappant dans l'abdomen.

Tombant à la renverse tout en toussant et crachant un peu de sang, il se recroquevilla sur lui même, pleurant toutes les larmes qu'il put.

_ Tu as eu de la chance, il était là la dernière fois.

Un autre coup sur le visage.

_ On a été humilié à cause de ta putain d'admiration.

Un autre coup à l'abdomen.

_ Tu va crever sale gamin !

Et un autre.

Plus ils parlaient et plus il reçut des coups. Alternant entre les parties inférieurs et supérieur, les coups N'arrêtaient pas. Pleurant encore et encore sans s'arrêter et à ne plus savoir comment respirer, il essaya de se protéger avec ses mains.

_ Tu verra ce que ça fait de traîner seul dans les rues et se confronter à ce genre de personnes...

_ Arrêtez ! Laissez moi tranquille. Je ne vous ai rien fait.

Les hommes rirent à ses dire mais continuèrent à le battre.

Ses os se cassèrent, ses oreilles bourdonnèrent et ses muscles étaient engourdi.

Il ne survivra pas à ce stade là.

_ Aidez moi !

_ Cri autant que tu veux, personne ne viendra t'aider.

Ils avaient raison. Seul dans une ruelle, se faisant battre par deux hommes plus qu'effrayant, personne ne viendra.

Il était destiné à mourir ici.

Il était destiné à ne plus voir la lumière du jour.

Les rayons de soleil ne caresseront plus sa peau opaline.

Même si ses pensées devenaient de plus en plus sombre, un sourire resplendissant orna ses lèvres. Il aimait penser à cet homme. Il aurait aimé le voir une énième fois. Mais il ne l'a pas écouté. À son âge il s'était encore une fois promené dans les rues sombres de la capitale. Il s'en voulait de ne pas être responsable à son âge, de n'écouter personne.

Il se sentait partir.

Il savait qu'il ne pouvait rien faire.

_ Merci monsieur Jeon !

Et il s'éteignit.