Chapitre-28: Tu étais une petite fille Magnifique...

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(Je suis devant la porte du bureau de Malik...) Et je pousse la porte.

Malik: Hola! Mi amor !

Je sais que quand  il parle en espagnol, c'est que je le dérange ou qu'il est en présence de personnes qui représentent un potentiel danger pour moi.

Alizée: Désolé, je dérange.

Je referme la porte et commence à faire le chemin inverse quand je sens une main attraper la mienne, je me retourne et je le vois.

Malik: Je sais que si tu es venu, c'est que tu as un vrai problème, laisse moi 5 minutes et je suis à toi. Tu peux attendre dans le couloir s'te plaît.

Je lui fais un petit sourire timide, au bout de 3 minutes les personnes sont sorties.

Malik: Viens. 

J'entre, la tête basse (il n'y a pas de quoi être fier d'annuler un contrat avec la deuxième plus grande mafia au monde) puis je commence à lui expliquer.

Alizée: Je suis désolée mais tu peux tout annuler...

Je sens sa main se poser sur mon menton pour relever ma tête ce que je fais. Dès qu'il voit mon visage,il s'exclame

Malik: Oh putain! Alizée !

Il me prend tout de suite dans ses bras et je me remets à pleurer de plus belle.

Alizée: Faut que j'y aille.
-Je suis désolée de t'avoir dérangé.
Malik: Tu te fous de moi là !!!
-Tu viens comme ça et tu veux que je te laisse partir, tu as oublié qui je suis !   

Sa voix est froide, il est trés énervé. Malik est un bad boy mais il est trés protecteur en-vers ceux qu'il aime un minimum.

Malik: Tu ne peux pas m'expliquer là parce qu'il y a trop d'oreilles...
Alizée: Donc c'est pour ça que je pars et aussi parce que j'apporte que des mauvaises choses au personnes que ne considère.
Malik: On va aller manger au resto.
Alizée: Non je peux pas...

Il met sa main sur ma bouche et me chuchote

Malik: Écoute moi, je ne sais pas ce que je suis pour toi, je t'aime et je t'aimerai toujours je n'y peux rien, c'est plus fort que moi je t'ai trouvée dans la rue en train de pleurer, tu étais une petite fille magnifique et te voir pleurer comme ça ma brisé le cœur, je t'ai prise dans mes bras et c'est à ce moment là que j'ai su qu'on était lié jusqu'à la mort.

Je pleure, mes larmes chaudes coulent sur mes joues, la main de Malik est toujours posée sur ma bouche.
Au bout d'un quart d'heure passé dans ses bras, je me calme et on peut y aller.
Il me prend par la main et on marche dans le couloir, un gars me regarde et Malik l'a bien vu.

Malik: N'y pense même pas tu la touche t'es mort. 

Un chapitre de 460 mots aussi. On n'en connais un peu plus...

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