Chapitre-73 : La fuite...

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Note de l'auteur : Je vous traduis tout les chapitres qui vont suivre en Français parce que de base tous les dialogues sont en espagnol.

Je donne l'adresse au conducteur du taxi puis il démarre, j'entends les cris de Leila s'éloigner. Il a l'air très stressé, il fait que de me répéter « Vous n'êtes pas avec le chef ?» ou « Ça va ? »

Alizée : Dites-moi ce qui vous arrive et maintenant !

Conducteur : Vous n'êtes pas au courant ?

Alizée : Bah, non j'habite en France je vous signale.

Conducteur : Enfaîte, ici, vous êtes comme la futur femme du chef de la mafia, une mafia qui a presque plus de pouvoir que le gouvernement. Si ils apprennent que je vous conduis alors que ça devrait être un mafieux, ils vont me tuer.

Cet homme est mort de trouille, il a tellement peur qu'il n'avance pas.

Alizée : Arrêtez-vous sur la bande d'arrêt d'urgence.

Conducteur : Qu...Quoi...Qu'est-ce que j'ai fait de mal...

Alizée : Bah, rien c'est ça le problème, vous n'avancez pas !

Conducteur : C'est vrai que je suis 10km/h en dessous de la limitation vitesse mais si il vous arriverez un truc je m'en voudrais énormément.

Alizée : Vous avez la dernière Audi et vous roulez 10km/h en dessous mais vous êtes fou, moi je vais rouler à plus de 10km/h au-dessus de la vitesse avec ça.

Conducteur : Doucement comme même, j'en ai besoin pour demain de ma voiture et la plaque est sur mon permis.

Si il a peur des radars...

Alizée : Ah, oui j'avais oublié.

Je sors de la voiture et arrache les plaques d'immatriculations de celle-ci.

Alizée : Comme ça, c'est bon, on peut y aller maintenant ?

Il hoche la tête et je démarre (je tiens juste à préciser que je n'ai jamais conduis sur la roue mais j'ai déjà fait des circuits de course en voiture). Le GPS m'indique de prendre la prochaine sortit donc je sors et c'est là que les problèmes commencent. Une troupe de mafieux nous barrent la route. Je continue d'avancer jusqu'à arriver devant eu je charge mon flingue (on sait jamais) puis je descends la fenêtre.

Mafieux : B...Bon...Bonjour.

Alizée : Bonjour

Je décide de sortir de la voiture, pour régler le « péage » à ma manière. Les deux mafieux de l'autre côté de la voiture s'approche du conducteur du taxi.

Je me retourne et lui lance

Alizée : Vous le touchez et c'est moi qui vous tue !

Ils reculent immédiatement.

Je continus de négocier avec le meneur du groupe.

Meneur : Pourquoi vous n'êtes pas avec le chef ?

Alizée : Arrêtez de poser des questions sur ma vie privée, maintenant j'aimerai passer s'il vous plaît.

Meneur : Ce n'est pas possible vous avez interdiction de vous promener sans sécurité autour de vous, ordre du chef.

Alizée : Ecoutez-moi bien, vous n'allez pas m'interdire ou me dire ce que je dois faire !

Meneur : On vous laisse passez mais on vous suit.

Alizée : OK. Dis-je en jetant un coup d'œil à leur voiture de service qui n'est autre qu'une Fiat.

Je monte dans la voiture et démarre à toute vitesse et je prends la direction de Villaviencio. Je suis morte de rire, je suis partis à fond la caisse alors qu'ils n'étaient même pas montés dans leur voiture. Le trajet ce fait sans encombre, j'arrive à l'hôtel et je me gare sur le parking.

Conducteur : Ça y est je suis foutu.

Alizée : Pas encore.

Je descends de la voiture et prends mon sac dans le coffre. Le conducteur ne veut pas sortir tellement il a peur, ce qui me fait beaucoup rire lui moins apparemment.

Alizée : Aller sors espèce de tapette, tu crains rien t'es sous ma protection.

Le début de la fuite...

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