Chapitre-61 : Déclaration...

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J'entends une porte se refermer je me retourne et vois Malik, il est concentré et n'a pas l'air content, je le vois dans son regard.

Alizée : Commencer à manger sans nous, on arrive.

On monte les escaliers et entre dans notre chambre.

Malik : Il demande une rançon et on est trop pour les battre !

Alizée : Eh ! Malik calme toi, t'es un chef de mafia. On va réfléchir et trouver une solution, ok ?

Je réfléchis 30 secondes.

Alizée : J'ai la solution tu remplis un avion de tes mafieux et tu y laisses de la place pour quatre, on monte, on attaque, on récupère et on repart.

Son sourire renaît, il est assis sur le lit et moi je suis debout face à lui. Il me prend par la taille et m'attire à lui, je tombe sur le lit et il roule jusque à moi puis m'embrasse. C'est un vrai baiser, celui qui veut dire merci et je t'aime à la fois.

Malik : Tu sais que je t'aime ?

Alizée : Euh, non je crois pas. Dis-je en souriant.

Malik : Alors je veux que tu saches que je t'aime à la folie.

Alizée (je souris) : Moi aussi chéri.

Malik (avec un air innocent) : Toi aussi quoi ?

Alizée : Moi aussi je t'aime.

Et on éclate de rire

Alizée : Mais par contre j'ai faim, on peut descendre ?

Malik : Oui t'as raison.

J'avance et il tient ma main puis il commence à appuyer sur la poignée mais il s'arrête.

Malik : Attends ! J'ai oublié un truc, je crois !

Alizée : Ah bon ? Dis-je pas trop sérieusement et sans me retourner.

Malik : Oui, un truc très important !

Il me tire grâce à ma main qui est toujours accroché à la sienne, je me retrouve encore face à lui. On se regarde droit dans les yeux et il rapproche son visage du mien et m'embrasse une deuxième fois puis il me chuchote.

Malik : Je t'aime vraiment, je ne peux pas vivre sans toi.

Quand je me détache de lui, je découvre une larme solitaire couler sur sa joue.

Alizée : Ne pleure pas chéri.

Je me remets dans ses bras et lui chuchote

Alizée : On est un duo, on est frère et sœur, on est amoureux, on est tout l'un pour l'autre et je ne te lâcherai jamais tu m'entends jamais !

Malik : Désolé, je suis fatigué.

Alizée : Ce n'est rien mais je ne te lâcherai jamais ne l'oublie pas.

Je lui tends mon petit doigt et il le prend. Je lève les yeux et rencontre son regard.

Alizée : Crois de bois croix de fer si je mens, je meurs en enfer.

On rigole après ces paroles qui nous font comprendre qu'on est toujours des gamins.

Malik : Aller on va manger.

Alizée : Ouais, en plus j'ai aidé Auré et Toto à cuisiné.

Malik : Oh non ça va être encore dégueulasse à cause de toi ! Dit-il en rigolant.

Alizée : C'est pas possible parce que j'ai juste assaisonné la salade.

Malik : Ok ça va alors le plat sera mangeable.

Je lui colle une petite claque derrière la tête pour me venger mais je regrette aussitôt mon geste parce que je sens mes pieds se décollés du sol et je me retrouve très vite sur l'épaule de Malik qui me porte en mode sac à patates.

Quelle belle complicité...

Teen James Bond GirlOù les histoires vivent. Découvrez maintenant