Chapitre-81 : Journée mouvementée

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Rayane et moi sortons de l'appartement et on monte au troisième étage, dans l'ascenseur , il fait, comment dire, chaud.

On arrive et tout de suite un mec viens vers nous.

Mec : Bonjour, donc c'est toi Alizée ?

Alizée : Oui

Mec : Et lui ?

Alizée : Un ami

Mec : Ok donc tu vas attendre dans la salle d'attente parce que tu ne peux pas l'accompagner.

Alizée : Désolé chéri

Rayane part s'asseoir pendant que moi je marche avec le mec tout en lui racontant l'histoire de Raphaël, mon meilleur ami que je veux retrouver parce qu'il c'est fait enlever par la mafia Brésilienne puis je finis par lui annoncer qu'il faut qu'il me trouve un plan en quatre jour en comptant aujourd'hui. Il me regarde choqué et il me répond.

Mec : On y arrivera pas !

Alizée : Bien sûr que si, ça fait longtemps que vous enquêtez sur cette mafia.

Mec : Ok, revenez demain je vais voir ce que je peux faire

Alizée : Ok a plus.

Je sors du bureau où il m'avait emmené, je retrouve Rayane mais je repenses à Lucas. Il faut que j'aille le voir et qu'on fasse se foutu test pour en avoir le cœur net.

Alizée : Ray, je te dépose à la suite, je reviens à midi, j'aurais une surprise pour toi.

Ray : Pff, ok

On arrive à l'appartement ou il y a encore tout le monde.

Malik : Déjà revenu !

Alizée : Oui

Il faut que je m'arme un minimum pour sortir, donc je prends dans mon sac un Beretta 92fs

et je prends trois poignard que j'accroche dans mon étui qui est accroché a ma taille que je cache avec une veste assez longue et je mets mon flingue dans la poche intérieur de ma veste en jean puis je sors de ma chambre

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et je prends trois poignard que j'accroche dans mon étui qui est accroché a ma taille que je cache avec une veste assez longue et je mets mon flingue dans la poche intérieur de ma veste en jean puis je sors de ma chambre.

J'arrive dans le salon Malik est toujours là, ça tombe bien je veux lui parler .

Alizée : Tu peux dire à tes mafieux d'arrêter de me coller.

Malik : Pourquoi ça ?

Alizée : Je sais me défendre . Dis-je en lui montrant mon pistolet semi-auto.

Malik : Ok. Dit-il en pianotant sur son portable donc je décide de sortir discrètement de l'appart puis je descends. 

J'avais préalablement appelé un taxi pas le même qu'a Marseille malheureusement. Je rentre dans ce taxi en lui indiquant la destination puis une fois arrivée je me mes un coup de rouge à lèvre puis je le paye et descends.

J'arrive à la réception de l'hôtel et il me donne l'étage et le numéro de son duplexe, ça va monsieur est tout seul mais il a besoin d'un duplexe, bref j'arrive. Je toc, j'ai un mauvais pré sentiment, personne m'ouvres donc je décide d'entrer, j'appuie sur la poignée et j'entends un clic comme si quelqu'un venait de charger son pistolet

 Avant de pousser cette porte je décide de sortir mon arme puis je rentres. Je découvre Lucas inconscient assis sur son canapé et autour de lui trois mafieux brésilien que j'ai vite reconnu avec leur tatouage de reconnaissance qui n'a pas changé.

 Je découvre Lucas inconscient assis sur son canapé et autour de lui trois mafieux brésilien que j'ai vite reconnu avec leur tatouage de reconnaissance qui n'a pas changé

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Ils pointent leurs armes sur Lucas puis un mafieux commence à parler en français.

Mafieux : Alors comme ça, c'est ton frère ?

Je ne réponds rien parce que je ne sais même pas si c'est vrai.

Mafieux : Répond !

Je lui tire dessus et je vais aussitôt me protéger en me mettant derrière le mur de l'entrée celui du couloir. J'ai tiré dans la main du chef je crois mais les deux autres je vais pas les louper.

Mafieux : Elle est partit tu crois ?

Mafieux : Je sais pas.

Je me mets dans l'encadrement de la porte et tire deux fois avant de me repositionner contre le mur du couloir. Je ne les ai pas loupé, il faut que je m'occupe du chef de l'opération qui est encore vivant contrairement au deux autres.

Je rentres et vois le chef qui baignent dans le sens des deux autres, il me regarde avec beaucoup d'espoir donc je vais quand même le soigner avant qu'il se vide de son sang.

Alizée : Pff, je suis pas infirmière moi !

Mafieux : Por favor...


Du sang a coulé aujourd'hui...  

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