Chapitre-98 : Un retour qui risque de faire mal

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Alizée et Rayane sont encore à l'hôpital 

Alizée : Bon, maintenant qu'on ma débranché, que je suis habillée, qu'ils m'ont bourré de vitamines et de minéraux et qu'ils m'ont bien drogués. On peut y aller !

Rayane : Ok

Alizée : Donc, je vais à l'agence après on pète la gueule à Malik et puis celle d'Auré aussi et après... et bah...

Rayane : On discute, ça peut-être une bonne idée ?!

Alizée : C'est envisageable

On rigole bien ensemble, je sais que j'ai changé mais je ne sais pas ce qui a changé parce que j'ai l'impression d'être toujours aussi violente.

Alizée : Aller, on y va, appel un taxi

Ray : Je l'ai déjà appelé et il est arrivé 

On sort de l'hôpital ça fait du bien, j'ai l'impression d'avoir perdu beaucoup de temps durant ce mois "d'absence", c'est comme ça que les médecins appel ce qui m'est arrivée.

Une fois en bas je découvre Mehdi, le conducteur le plus fou au monde mais grâce au quel tu n'es jamais en retard .

Mehdi : Oh Alizée, mais tu fais quoi ici ?

Alizée : C'est une longue histoire

Mehdi : Ouais j'ai cru comprendre, vu comment Malik est dans le mal. Bref, on va où ?

Alizée : L'agence s'te plaît et rapidement si possible 

Mehdi : Juste le temps de mettre l'adresse dans le GPS parce que je l'a connais plus mais rapidement ça je sais faire, prêt !

Même pas cinq minutes après on est arrivé à l'agence, je rentre et découvre qu'il y a toujours ce connard de chef adjoint 

Chef adjoint : Oh, Ali...

Alizée : Ta gueule, si tu veux pas que je t'éclate !

Il se rassoit immédiatement et il enlève tout de suite son sourire d'hypocrite. Je rentre sans frapper dans le bureau du Chef, je croise son regard et découvre son sourire.

Chef : Oh mon dieu !

Il met son visage dans ses mains, je souris.

Vous me croyez morte et bah, non, un phénix renaît toujours de ses cendres.

Mais je ne lui laisse pas le temps de se remettre de ses émotions, je suis venue chercher quelque chose et il me le faut tout de suite.

Alizée : Il me faut des armes !

Chef : Pourquoi faire ?

Alizée : Le tuer

Chef : Mais tuer qui ?

Alizée : Celui qui Nous à fait ça, j'ai trouvé le mal 

Chef : Ok, combien d'hommes ?

Alizée : Je ne veux pas d'hommes, je veux tout les gens qui veulent se venger et des armes !

Chef : Ok, va te servir. Dit-il en pointant une salle derrière lui remplis d'armes.

 J'en prends et ressors.

Alizée : Merci, je t'appel demain pour que tu viennes le tuer avec nous.

Chef : Alizée, ce n'est pas à prendre à la légère !

Alizée : Oui je sais. Dis-je en rigolant

Chef (tout bas) : Ça se voit que tu ne sais pas encore qui est le Mal.

Je sors de l'agence armée, je me sens revivre.

Mehdi : Au suivant, on va où ?

Alizée : Maintenant on va butter Malik ! Dis-je enjouée.

Rayane : Pas trop fort non plus, hein ?

Alizée : On verra ce sera en fonction de sa gueule.

Après deux minutes de trajet on arrive à la villa elle n'a pas changé, elle m'a juste un peu manqué. J'entre et je vois Malik affalé sur le mini bar avec un verre à la main, des tablettes de cachets éparpillés et un joint à la main. Je découvre ça comme ça, normale que je m'énerve.

Alizée : Alors toi tu vas voir, je vais te butter tu vas rien comprendre !

Malik : Oh Alizée, t'es revenue !

Il viens vers moi complètement shooté avec les bras grands ouvert, je ne m'étais pas trompée au téléphone. Une fois qu'il est bien proche j'en profite pour lui placer un énorme coup de genoux, vous savez où, accompagné d'une gifle.

Alizée : Tu me fais pitié ! T'es dégueulasse !Dis-je avec un ton comme si je lui crachais dessus.

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On dirait bien que pour certain le retour va faire mal... 

Teen James Bond GirlOù les histoires vivent. Découvrez maintenant