le péché 01

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#les chroniques d'Alph@hèritier#

#Le péché:
#Chapitre : 01

C'est la troisième fois de suite qu'il faisait cette crise dans la semaine,  son état de santé s'aggrave de jours en jours,  son cerveau se dégrade et malgré ses millions,  il n'y avait pas de remède. 

Il a demandé à voir un prêtre,  On à fait venir l'aumonier de l'hôpital à son chevet il sourit à sa vu.

Pdv Junior :

- mon père,  loin de chercher le pardon ou la compassion de Dieu,  j'ai fait appel à vous pour libérer mon coeur et puisse mon âme trouver la paix peu importe que ce soit  au paradis ou en enfer .

- mon fils Dieu étant miséricordieux,  il saura vous pardonner.

- peu importe,  ceci n'est pas une confession vu que je ne suis ni croyant ni catholique.

- si ton coeur est pure , peu importe ta religion Dieu est prêt pour t'accepter. À toi de l'accepter à ton tour...

- ceci peut être le pire aveu que vous n'ayez jamais entendu, pourtant,  c'est l'histoire de ma vie, c'est mon histoire,  cette histoire commence bien avant ma naissance et prendra fin surement avec ma mort du moins pour ma part...

L'homme de Dieu s'installe prêtant oreilles pour ne rien rater du récit...

Un soir d'harmattan ou les arbres venaient tous de perdre leur derniere feuille, le ciel grisonnant illustrait parfaitement la nature abstraite décrite par les oeuvres d'art peint  par picasso .

le soleil presque au crépuscule avait atteind l'horizon de la Terre qu'il éclairait encore faiblement avec sa lumière orangé.

les oiseaux migrateur peuplaient le ciel qu'ils animaient par leur cris strident en regagnant leur nid.

le carrefour de la passion, prisonnier des bruit de moteur, témoigne de la densité de la circulation aux heures de point. Pris d'assaut par quelque conducteur aussi impatient que tolérent, tous joyeux de regagner leur démeur, après une dure journée et aliénant de travail.

Dans l'une des voitures au couleur gris bloqué par quelque policier chargé de rendre fluide la circulation un jeune homme élégament vertu, en une chemise au manche longue retroussé de couleur blanche laissant paraître une montre de couleur or de marque diésel qu'il ne manque de consulter seconde après seconde, chemise épousant un pantalon noir sur un cuire marron fait en peau de serpent, Les traits visibles sur son visage poupre au nez un peu écrasé sur ses lèvres au contour fort et moyennement épait, les yeux marron, enfoncé dans sa cavité montrait clairement qu'il était pressé, de quitter cet atmosphère, ambiancé de vacarme de bruit de moteur tout sauf dansant.

l'air de rien, songeant, il attendait patiemment que l'agent de police enfin lui fasse signe d'avancer.

Ce qui ne tarde pas à venir pour son plus grand plaisir .
  rester immobile à ne rien faire lui était presque fatale .

les idées qui pacouraient ses pensées étaient de ceux qui troublaient son coeur.
il prit le soin de chasser l'once de doute qui tarrodait toujours son esprit .

Il se posait la question que se pose tout homme arrivé à un moment pareil de sa vie, le moment irréversible celui là même de non retour ou le jeune étalon accepte d'être docile et de se mettre la corde au cou.

Lui, aborant la trentaine , une brillante carrière, haut cadre de banque sur le point de s'engager avec sa fiancé, chose pas du tout courrante de sa génération.

Est ce de grey ou de force? Par amour ou par contrainte? Est ce parce que son service le lui demandait?

Bien-sur il aime tendrement et passionnellement sa fiancé qu'il a rencontré quant il était encore à l'université.  en un rien de temps, ils ont sympatisé, se sont compris et sa vie n'a plus été pareil et comment, le voilà sur le point de se marier.

le péchéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant