le péché

le péché 28

#les chroniques d'Alph@héritier#

Le péché :
Chapitre: 28

On ne se rend compte de l'erreur que devant ses conséquences.
Au début on croit bien faire. pousser par une sensation de plaisir ne se fiant qu'au plaisir qu'on éprouve que sur le moment,  défiant le monde et autrui , croyant être le seul disposant du monopole de la connaissance,  traitant tout ceux qui n'approuvent ce que nous faisons d'abrutis.
On se borne à croire que nous sommes les seuls à avoir raison et que les autres ont tous tord. 
En se prenant pour le plus intelligent,  on fini par  se tromper,  hélas on ne s'en rend compte que plutard avec des regrets.  Si seulement nous prenons le temps d'écouter,  juste le temps d'analyser l'avis de l'autre sans le juger,  si seulement nous ne restons pas statique dans nos réflexions ,  si seulement nous prenons en compte ceux avec qui nous sommes tout en étant ouvert à leur penser,  en ayant pas une idée arrêtée sur leur personne nous réussirons à éviter bon nombre de faute, bon nombre d'erreurs.  Combien de fois n'avons nous pas regretter de n'avoir pas écouter un conseil? Combien de fois n'avons nous pas dit si je savais ?  Combien de fois nous ne nous sommes pas rendu compte qu'on avait tord et que l'autre,  avait raison ?  Combien de fois?

Si seulement nous pouvons ne serait ce qu'un tout petit peu,  ne serait-ce que de temps en temps , par moment,  d'ici et là  sans contrainte,  sans ressentiments accepté de ne pas seulement penser à notre petite personne,  de ne pas agir selon notre volonté,  à notre guise pour la satisfaction d'un désirs égoïstes mais penser aussi aux autres,  au retomber que produira notre acte sur leur personne avant de poser un acte  non pas , nous serons des êtres parfait  mais nous réussirons à rendre le monde meilleur. 
C'est le manque d'altruisme qui est le plus grand mal qui gangrène ce monde .

Car, si nous pensons au bien être de l'autre , nous agirons autrement.  Combien de guerre pourrait être évité en pensant au bien être de l'autre ?  Combien de vie pourrait être sauvée en pensant au bien être de l'autre,  combien de relations pourrait être sauvée,  combien de foyer resteront toujours en point , combien d'amour dans nos coeurs pourrait être exprimé ?  Combien de je t'aime pourront être exprimé sincèrement? Sur Terre , nous sommes tous complémentaires;  chacun a son rôle et   sa partition à jouer. 
Seul,  on va vite mais plus on va vite, plus rapidement on s'éssoufle ; on s'étouffe,  on se fatigue,  on se sent usé complètement épuisé  ne pouvant plus continuer,  on se sent obligé de s'arrêter.  Par contre,  à deux,  à plusieurs,  on va plus loin.  On se soutient,  on se serre les coudes, on se tient la main. On s'entraide, on s'encourage et on réussi à faire ce que tout seul nous croyons impossible,  ce que tout seul au grand  jamais nous ne pouvons réussir.

L'autre est un atout,  pas un défaut.  Et à des moments importants,  des moments cruciaux,  un autre est toujours là pour nous prodiger conseil,  pour nous prêter main forte même si bon nombre de fois, nous nous refusons de le voir aveuglés par notre égoïsme surdimensionné sans fondement.

  À quoi ça sert de préfèrer son égo à un alter égo si c'est pour regretter plus tard ? Faisons preuve de retenu et de bonne foi pour ne pas avoir à regretter ce qu'on aurait puis éviter...

#Pdv Adèle ...

Aussitôt arrivé à l'hôpital qu'on nous pris en charge,  si seulement cela pouvait être le cas dans nos hôpitaux,  on aurait moins de mort .

L'équipe d'infirmiers et docteur,  tous était sympathique malgré la grande fatigue et le stress du travail qui se lisait sur leur visage.  Lucia fuit immédiatement emmené dans la salle d'accouchement où les infirmiers s'occupe d'elle avant que la sage femme n'arrive,  elle aussi était douce et gentille avec elle , elle lui prodigue quelques conseils et le comportement à adopter avant de retourner vers d'autres patiente. 
Je constate qu'elle est ailleurs,  d'ailleurs j' ai vu sa tristesse quand on était dans la voiture sur le chemin en venant à l'hôpital. 
Au début,  j'ai cru que c'était la douleur de la grossesse mais au file du temps,  j'ai puis constater que sa douleur était plus profonde,  elle ne criait pas ,elle se contentait juste de quelque grimaces,  elle souffrait en silence juste parce que cette souffrance était tellement forte tellement profonde qu'elle ne pouvait l'exprimer.
  je la comprenais,  j'y suis déjà passé par là,  même si ce n'est pas de la même manière,  je savais ce que c'était. 
Souffrir à un degré de ne pas pouvoir l'exprimer,  pleurer intérieurement car  il n'y a que des larmes de sang qui sont propices et approprié pour cette douleur. 
Je la comprenais, je comprends sa douleur,  je comprends sa souffrance  alors, j'ai décidé de garder silence. À  quoi servirait les mots si ce n'est que pour plus l'enfoncer ?  Elle était en colère,  non pas contre quelqu'un mais contre elle même et il n'y a aucun mots, aucune parole pour apaiser son coeur .
Elle donna naissance à une petite fille,  si belle, qu'elle décida de la nommer Tatiana.
Un bel prénom pour une si belle petite fille,  en même temps, je me demande  de quoi sera fait son avenir.