Chapitre: 46

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Pdv de Nana:

Cette nuit-là, je fis un rêve merveilleux. Il était tard, j'étais toute en haut d'un building ou le paysage s'étendait à des kilomètres. La lune qui était à son plus haut point dans le ciel me permettait de ne pas me sentir seule. Mon cœur battait à la chamade et dans un regard vide j'ai regarder l'immensité de notre ciel, je me suis sentit minuscule face à se monde, me comparant à une étoile perdu parmi tant d'autres, je me sens misérable aux yeux de tous.

Déchirée par le silence je me suis demandé comment avancé, j'était spectatrice dans la foule, perdu un long moment à regarder les passants courir dans les rues et les couples se disputaient.

J'étais encore une fois dans ma bulle, mon cocon à l'abri de tout regard et de jugements des autres, mais quand mon petit monde solitaire auquel j'avais l'habitude de mit réfugié à explosé, tout mon être c'est réveillé. 

C'est à ce moment-là que j'ai réalisé que je ne voulais plus regarder le décor sans y en faire partie.

Alors sur de moi, je me suis relevée. J'ai traversé ma bulle qui s'évaporer et j'ai déployer mes ailes, dans un élan, je me suis envoler sans me retourner en laissant toutes mes peurs, mon chagrin, mes démons derrière moi, mais entre-temps j'ai récupéré mon passé.

Le passé est quelque chose qui nous définit qu'il soit dur, éprouvant ou même facile. C'est quelques chose qui me suivra toute au long de ma vie, ce qui a était fait hier, définie ce que je suis aujourd'hui. Désormais je pouvais y penser sans avoir mal, car je me suis reconstruit et c'est ce qui a fais ma plus belle force.

Je sors enfin d'une longue phase où je ne croyais pas m'en sortir et pourtant j'ai réussi, j'avais toujours cette idée que la maigreur apporte le bonheur, mais je me suis plantée. Désormais mon lien avec "Ana" c'est brisé, je réapprend à manger, et retrouve goût aux aliments.

Je voler haut dans cette vague d'étoiles filante à caresser la voie lactée, en essayant de te trouver, et une fois que sa serait fait je te dirais que cette bulle n'aide en rien pour ce sentir bien.

Je n'ai pas besoin de te voir pour comprendre que tu es un être qui souffre tout comme moi, ou comme elle là-bas sur son banc. Chacun a ces propres problèmes à une gravité différentes mais cela m'empêche en rien de voir que tu es quelqu'un de courageux, que tu as aussi cette volonté énorme de sourire devant tes amis alors que tout vas mal, de tout garder pour toi en ayant peur des regards des autres. Peut importe ton âge, ta couleur de peau, ta sexualité et tes croyances, tu es un être humain et je suis comme toi, dans ce même monde à essayer que demain soit meilleur qu'hier, à trouver un sens de pourquoi on est en vie et qu'elle est notre but, sur ce passage sur terre.

Me dit pas que tu es seul, nous sommes 7 milliards sur cette magnifique planète qui nous appartient, et sur tout se monde il aura toujours quelqu'un pour te tendre la main, mais cette personne ne pourras jamais te trouvait si tu restes dans cette bulle confortable.

Alors voilà ce que je te dirais, ne cesse jamais de croire en tes rêves, à abandonner tout ce qui nies a ton bonheur. D'aimer tes mots, ton corps, tes gestes afin de te voir vivre un petit peu mieux. Chéri ton corps car sa sera le seul et véritable ami que tu auras, il t'accompagnera jusqu'à la fin, il ce modifiera au fil des années mais toi et lui aller faire un long trajet, alors autant l'aimer, non?

Je poursuivrais en te disant de croire en toi, fais-toi confiance, te dire que tu vivra d'amour et d'eau fraîche serais une belle connerie de ma part, car il na pas tout ces clichés, tout ce bonheur auquel l'on parle. Tu connaîtra sûrement des bas, mais rien n'est terminé tant que tu garde la tête haute, cette foutue merde qui nous suivra partout essaiera de t'abattre, mais cette vie là tu ne l'auras qu'une fois alors arrête de laisser les autres la tracé à ta place.

𝐁𝐑𝐎𝐓𝐇𝐄𝐑 -JMOù les histoires vivent. Découvrez maintenant