「 𝗦𝗰𝗮𝗿 ~ 𝖢𝗁𝗈𝗂 𝖸𝖾𝗈𝗇𝗃𝗎𝗇 × 𝖱𝖾𝖺𝖽𝖾𝗋 」

𝗖𝗵𝗮𝗽𝗶𝘁𝗿𝗲 22

Pour me consoler, il me prit dans ses bras et décida de me ramener à l'infirmerie.
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Je continuais à pleurer pendant au moins 1 heure, tandis que Kai me consolait. Au bout d'un moment, je m'arrêtai enfin, soulageant mon petit copain. Il me proposa de retourner en cours et j'acceptai. Nous fîmes le trajet jusqu'à ma classe alors que lui, après un bisou, repartit vers la sienne.

De retour en cours, je m'ennuyais beaucoup. J'avais déjà averti mes amis que j'avais retrouvé Yeonjun mais qu'il était rentré chez lui. J'étais encore triste de ses paroles. Même si il avait raison, ils avaient été durs. Le cours se termina au bout de ce que je pensais être une éternité et je pus enfin partir de cette séance de torture mentale.

Ellipse jusqu'à la fin de la journée parce que j'ai la flemme

À la fin de la journée, en compagnie de Taehyun et Kai, je rentrai chez moi. Problème: en plongeant ma main dans ma poche, je ne trouvais plus mes clés. Pourtant, ce matin je m'étais bien assurée de les avoir prises! Et mes parents qui étaient partis en rendez-vous en tête à tête! Je ne voulais pas les déranger...

Soudain, comme un ange tombé du ciel, je reçus un message d'un numéro inconnu.

Inconnu:
Bonjour, c'est moi qui ai tes clés. Envoie-moi ton adresse, je vais te les apporter.

De peur, je ne sus si je devais répondre à ce message ou non. Je décidai de me référer à Kai et allai toquer à sa porte. Il m'ouvrit, étonné, alors que je lui expliquais la situation. Il me proposa de rester ici et de donner mon adresse à l'inconnu pour qu'il aille chercher les clés.

Moi:
234 rue ********, à ********.

P.D.V. Yeonjun

Flashback:

En retournant dans le hall pour la consoler; au bout d'une heure; je trouvais des clés au sol. Je lui enverrais un message à la fin de la journée. J'ai encore trop honte pour lui faire face.

Dans le présent :

Je lui envoyai un message auquel elle répondit au bout de 10 minutes. Je n'avais pas dit qui j'étais, elle n'y aurait sûrement pas prêté attention, vu son tempérament.

Je me mis en route. Le trajet ne fut pas très long et quand je fus arrivé, une ombre plus grande que T/p me fit face de loin.