Impuissant

7

Plus tard dans la soirée il lui rendu encore une petite visite avec cette fois un plateau bien garnit entre les mains.

Kemal: je vous apporte de la nourriture il faut que tu vous vous nourrissiez. Je ne veux pas que mon bébé ait des problèmes à la naissance . Dit il en lui tendant le plateau.

Marion s'était maintenant rendu compte de la réalité. Cet homme l'avait kidnappé à cause de l'enfant qu'elle portait. C'était un mafieux qui voulait lui prendre son enfant et la tuer par la suite. Quand elle décida de ne pas se laisser faire.

Bien qu'elle mourait de faim elle balança le plateau de l'autre côté de la pièce.

Kemal: et bien mademoiselle, vous ne voulez pas vous nourrir? Je ne fais pas ça pour vous ,je le fais à cause du bébé que vous portez c'est mon enfant et je ne compte pas vous laisser lui faire du mal et encore moins le laisser mourir de faim.

Marion: je ne mange rien tant que vous ne m'aurez pas ramené chez moi. Et ce bébé ne vous appartient pas c'est mon bébé je n'ai pas demandé à l'avoir mais je l'aime déjà. Je n'ai pas demandé à être injecter du sperme et il a fallut que ça soit le vôtre.

Kemal: c'est moi le père et ce bébé est le futur héritier.

Marion : héritier de quoi?

Kemal: tout ce que vous devez savoir c'est que c'est moi le père.

Marion: je le sais vous n'arrêtez pas de le dire.

Kemal: si vous ne voulez pas vous nourrir alors je vous obligerai. Je laisses passé pour cette fois, mais la prochaine fois je ne serrai pas aussi doux. Dit il avant de s'en aller de la chambre.

Épuisée elle se coucha sur le lit,et ferma fortement les yeux pensant que tout ceci pourraient être un mauvais rêve, un cauchemar mais non c'était bien la réalité. Elle s'en rendu compte malheureusement.

Le lendemain matin, quand Marion se réveilla, il fesait encore plus chaud qu'hier.
La chaleur était tellement ardente qu'elle n'arrivait plus à respirer correctement.

Marion: s'il vous plaît laisser moi sortir. Crie t'elle en tambourinant sur la porte.

Quelques minutes après, Kemal vient lui ouvrir encore avec un plateau bien garnit entre les mains.

Kemal: si vous mangez ,alors je vous laisserez sortir de cette chambre.

A quoi bon résisté, elle avait tellement faim et pour la santé du petit sui grandissait en elle, il faut qu'elle se nourrisse.

Marion : je ferais n'importe quoi pour que vous me laissiez partir.

Kemal: vous mangez tout. Dit il en lui donnant le plateau avant de sortir et de refermer la porte sur elle.

Elle se mit à manger jusqu'à ce qu'elle en soit étouffé. Puis elle frappa la porte encore une fois pour dire qu'elle avait finit le repas.

Kemal: sortez, nous devons parler. Dit il en lui tenant la porte.

Marion: si c'est à propos de l'enfant, je maintiens ma décision, jamais je vous le donnerai. Jamais. Je veux rentrer chez moi.

Kemal : venez par là.

Il lui saisit le bras et ils allèrent dans le grand salon de l'appartement où elle se trouvait depuis maintenant trois jours.

Marion: lâchez moi vous me faites mal.

Il la lâcha en la poussant dans le grand fauteuil qui trônait au milieu du salon.

Kemal: tenez ces papiers.

Marion : qu'est ce que c'est ? Dit elle en commençant à les lire.

Kemal: c'est un contrat.

Marion : pourquoi faire?

Kemal: pour le mieux être de tous ainsi que du bébé. Vous ne comptez pas permettre de me donner la garde du bébé après la naissance et je ne compte pas non plus abandonné, alors ce contrat nous sera bénéfique à tous les deux.

Marion: vous voyez juste. Et qu'est ce qui prouve que tout ce qui est écrit sur ce contrat est vrai?

Kemal: vous pouvez croire ce que vous voulez.

Marion : vous voulez me prendre mon bébé, mais je ne vous laisserai pas faire aussi facilement. Vous allez d'abord me tuer.Dit elle en lui jettant les papiers à la figure et elle se mit à courir dans l'appartement espérant trouver une issue pour s'échapper. Mais il la rattrape trop vite et lui assène une gifle monumentale qui la fit tomber parterre.

Kemal : je pense que vous avez raison. Je devrais vous tuer. Dit il d'une voix menaçante en se mettant à sa hauteur.

Pour la première fois depuis leur contre, il lu de la crainte dans le regard de la jeune femme qui tremblait en face de lui .

Il la prend ensuite pas le bras et ils retournent dans le salon.
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