L'histoire de Freya Weasley [George Weasley x OC]

Chapitre 51 : 12, Square Grimmaurd

- "Tu vas me manquer, Chérie, murmura George en t'enlaçant fort contre lui.

- Moi aussi Chéri...Je t'aime, chuchotas-tu en relevant la tête et en l'embrassant passionnément.

- Oh c'est bon, elle ne part pas à la guerre ! grogna Ron, faisant pouffer de rire le reste de la famille.

- Mais quels canards c'est deux-là, ricana Fred.

- Tu m'étonnes ! acquiesça Ginny.".

Les deux imbéciles imitèrent l'animal en question et déambulèrent entre les membres de la famille, faisant des grimaces grotesques et des cancanements stridents. Tout le monde éclata de rire, même Percy-balai-dans-le-cul ! Tu ne pus même pas continuer d'embrasser ton copain, tellement tu riais. Vous dûtes vous contenter de vous étreindre en rigolant. 

- "Tu parles d'un "au revoir" romantique...gémis-tu.

- A croire qu'on est vraiment pas fait pour ça ! répondit ton copain en riant.

- Les canaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaards ! crièrent Fred et Ginny en se tenant les mains, levant une jambe façon girly, avec des sourires de débiles collés sur le visage.".

Pour toute réponse vous leur tirèrent la langue en grimaçant, ce qui les fit encore plus rire. Tu te détachas de ton copain et pris dans tes bras ton meilleur ami. Tu le serras façon Hagrid tandis qu'il te faisait un shampoing, te décoiffant complètement. Blaireaux.

- "T'oublieras pas de nous écrire ! Ma Best Friend Forever ! rajouta-t-il avec une voix de crécelle.

- Pfffffffffffffffffffff...Hahahahahahahaha...".

Tu enlaças ensuite Ginny, Ron, Bill, Charlie et Arthur, qui te souhaitèrent de bonnes vacances. Tu serras la main de Perçy parce que, qu'on se le dise clairement, vous vous entendez comme chiens et chats. Vint ensuite le tour de Molly qui te serra fort contre elle. 

- "Tu es sûre d'y aller à pied ? Tu ne veux pas qu'Arthur t'emmène en voiture ? Tu ne sais même pas où habite cet homme !

- Ne t'en fait pas Molly ! Il m'a dit qu'il enverrait le chien.".

Tu avais en effet avouée une partie de la vérité à Molly, qui commençait vraiment à poser beaucoup de question ces derniers jours. Tu lui avais avoué que tu n'avais pas de parents, mais que tu considérais un homme comme ton père. Il vivait reclus car il avait rencontré certains problèmes ces dernières années. De plus il mal en point et ne pourrait pas venir te chercher au Terrier et se serrait à toi de faire la route. Elle n'eut pas l'air des plus convaincues, mais ton incapacité à mentir la fit plus pencher pour la vérité étrange que le mauvais mensonge. 

Tu n'aurais pas eu ce problème si tu t'étais rendu dans les Caraïbes comme prévu seulement voilà, Sirius a eu des complications. Tu avais reçu un hibou la nuit dernière, la lettre ne comportait qu'un phrase : "Je viens te chercher demain."Tu avais immédiatement commencé à t'inquiéter, il t'a fallu l'aide et les câlins de Fred et George pour réussir à déstresser un peu et t'endormir. 

- "Tu as tout pris ? Tes affaires ? Ton repas ? Tes animaux ?

- Oui, oui, oui, oui ! Ne t'en fait pas Molly, comme l'a si bien dit Ronald, je ne vais pas à la guerre.

- Encore heureux, ma fille !".

Tu allais répondre lorsque qu'un aboiement se fit entendre. C'était Sirius, sous sa forme d'énorme chien noir, qui arrivait dans la cour. Il était troooooooooooop mignon.