47 • Clarke.

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Université Jaha, Gymnase, 21h30.










Nous étions tous là.

Déambulant parmi la foule essayant d'agir le plus naturellement possible. Ma main tenait celle de Bellamy qui lui gigotait discrètement dans tout les sens tant son arme le gênait. Lincoln et Lexa comme l'avait conseillé Octavia, nous avaient administré des "armes", pour nous défendre en cas d'attaque.

Mais mon très cher petit ami ne supportait pas de devoir la portée, il n'était en aucun cas alaise avec celle-ci.

Contrairement à lui, je portais un porte couteau à ma cuisse gauche, contenant différent canif du plus petit au plus grand, ils étaient légers et le contact de leurs lame sur ma peau frêle ne faisait que me procuré une satisfaction que je ne connaissais pas jusqu'à maintenant. Quelle étrange sensation.. J'avais l'impression de me sentir complète, comme si ses canifs avaient étaient fais pour moi!

Je fus tirée de mes pensées par le rire enfantin de ma sœur. Octavia riait aux éclats pendant que Lincoln lui chuchotait sûrement des sottises, cela m'arracha un sourire, je ne l'avais jamais vue aussi heureuse avec un homme et cela me faisait plaisir car son bonheur était avant tout le miens. Elle remarqua mon regard ancré sur sa personne car elle s'excusa auprès de Lincoln avant de s'approcher vers moi.

Elle était magnifique, comme toujours d'ailleurs, elle portait une robe de couleur verte assortie avec ses yeux mais aussi légèrement bouffante afin de cacher son arme à feu qu'elle cachait je ne sais où. Arrivé à ma hauteur, elle arbora un sourire triste en passant sa main sur mon épaule.






Octavia : Je suis désolé pour tout ça.




Mon incompréhension se lit sur mon visage car elle reprit pas très alaise.





Octavia : Je sais que c'est pas facile à tout assimilé mais c'est comme ça on y peux rien et il faut qu'on vive avec le faite qu'on doit reprendre le flambeau avant de nous faire tuer..




Je la regardais droit dans les yeux en espérant croire qu'elle n'était pas sérieuse. Mais elle l'était, elle pensait ce qu'elle disait, et cela m'effrayait davantage car cela nous avaient tous atteints, différemment. Et je ne supportais pas de voir Octavia pensé de cette façon.





Moi : Tu as torts O', on n'a rien à reprendre du tout! On a rien à voir là dedans et tu le sais.




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