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(Retour point de vue Jisung.
Flashback)   

Dimanche, dans le mois d'Octobre, où le soleil brillait encore et la chaleur tardait à se rafraîchir, les environs de seize heures étaient idéales pour se promener au bord du lac, les oiseaux profitant aussi de ce beau temps dont on avait la chance d'avoir en ce jour, quelques personnes marchants à leurs rythmes sur l'allée artificielle du bord d'eau, ou alors quelques vélos qui gagnaient encore quelques journées comme celle-ci avec leurs familles, amis ou amoureux pour la partager avec eux, laissant pour quelques instants leurs problèmes de côté et qui se libéraient l'esprit grâce à leurs proches, comme je le faisais à ce moment là, accompagné par quelqu'un qui aurait été encore inattendu au début de l'année scolaire, qui, lui, regardait devant lui avec le visage décontracté et les mains dans les poches à juste profiter de ma présence à ses côtés et tout ce que je pouvais raconter. Je lui avais raconté comment petit j'aimais courir et faire la course avec mon frère, apprécié le vent qui m'aurait fouetté délicatement la visage, et me prendre pour un super héro et espérer courir plus vite que n'importe qui, croire que je pourrais sauver le monde en utilisant mes capacités imaginaires et le rendre meilleur, rigoler jusqu'à ne plus en pouvoir lorsqu'a l'arrivée mon frangin m'aurait rattrapé et qu'on serait tombé dans l'herbe, épuisé de notre court et intense effort, j'aurais alors apprécié et imprégné ce souvenir dans ma mémoire, me promettant que jamais il n'arriverait quoi que ce soit à Jeongin tant que je serais de ce monde, qu'il faudrait me passer sur le corps pour ne serait-ce toucher le moindre de ses cheveux. Alors mon ami avait sourit sincèrement en m'avouant qu'il était extrêmement touché par l'amour que je lui portais, mais m'avouait aussi qu'il était jaloux de cela. Il m'avait fait part de ses sentiments envers moi, j'avais accepté de lui donner sa chance, sentant que j'y étais plus attaché que je ne voulais le laisser paraître, mais je ne savais pas vraiment comment réagir face à cela ni même comme agir avec lui, alors je faisais comme si nous nous connaissions depuis des années, comme avec Chris, et me comportait naturellement, peut-être même trop car lorsqu'il m'avait fait part de son désir d'avoir cette même attention pour lui, je m'étais mis à sautiller de gène, mes joues ayant tourné au rouge et mon palpitant ayant décidé d'accélérer la cadence, ne sachant encore moins comment me comporter face à ça, alors j'avais commencé à parler des oiseaux et du ciel bleu qui s'offrait à nous en cette journée de repos. En regardant mon nouveau petit-ami, j'avais remarqué qu'il regardait dans le vague, sûrement perdu dans ses pensées, à réfléchir à je ne savais quoi alors j'avais agripper son bras demandant à quoi il pouvait bien penser, voulant attirer son attention et il avait posé ses yeux remplis d'étoiles toutes plus sublimes les une que les autres sur moi et j'avais rougis en entendant ses mots : "A toi." J'avais caché mon visage de sa vue, déposant ma tête sur son épaule et il avait ri, tellement merveilleusement que tout mon corps en était a l'écouter comme si cela était la chose la plus douce au monde et qu'elle guérissait toutes les maladies, et j'avais pincé mes lèvres avant de sourire, toujours accroché à lui, n'ayant pas vraiment envie de l'envie de le laisser partir de mon emprise.

      Samedi, la semaine de vacance obligatoire pour la fête d'Halloween, Minho était passé à la maison, ne se cachant pas que je lui manquais et qu'il voulait faire une pause pendant la surveillance de son frère, sachant pertinemment que s'il était là son frangin ne ferait rien alors il squattait sur mon canapé, regardant la télévision à côté de moi, commentant de temps à autre le programme que l'on regardait sur une chaîne dont j'avais oublié le numéro, étant ennuyé de cette émission, j'avais d'autres projets en tête à faire avec Minho alors au bout d'une bonne heure d'enquiquinement je me serais tourner vers lui, le fixant avec mes yeux d'animal mignon et il avait comprit que je voulais qu'il m'écoute alors il tournait la tête vers moi, me demandant du regard ce que je voulais alors je lui avait répondu avec un grand sourire que je voulais sortir, désignant du doigt le grand soleil dehors et il avait quelques secondes attendu avant de refusé et de retourner au visionnage des images sur l'écran. Mais je ne voulais pas m'avouer vaincu si facilement alors je commençais à toucher sa bidoche du doigt, attendant patiemment une réaction de sa part, qui se fit prier mais je l'obtenu et je l'avais regardé en faisant la moue, et ce petit jeu dura bien vingt minutes avant qu'il ne craque et acceptait ma proposition alors j'avais bondis du canapé avant de faire une petite danse de la victoire, et il m'avait menacé que si je ne me changeais pas rapidement il changerait d'avis alors j'avais gravit à une incroyable vitesse les escaliers, enfilant un jogging noir, un tee-shirt de la même couleur et des chausettes assorties avant de redescendre les marches et de le regarder, les mains sur les hanches, attendant qu'il bouge mais il s'était contenté de me regarder avec flemme. J'avais attrapé son bras pour tenter de le tirer mais il avait définitivement plus de force que moi et j'atterris de nouveau rapidement sur la canapé, à moitié écroulé sur lui, nos visages à quelques centimètres l'un de l'autre, à se regarder dans les yeux et nous n'avions pas bougé pendant plusieurs secondes avant qu'il ne vienne effleurer ma mâchoire de ses lèvres et de me demander si je ne voulais vraiment pas rester tranquille avec lui à juste procrastiner aujourd'hui, et oui j'avais encore supplié qu'il se bouge les fesses du canapé et rapidement sinon j'allais vraiment bouder, et cela eut l'effet escompté, il s'était levé. J'avais alors agripper mon sac qui contenait toujours quelques affaires de sports dedans, attrapé la main de mon copain que nous ne descendions jusqu'au rez-de-chaussée avant que je ne l'emmène en direction du terrain près de mon immeuble et aurait légèrement sautillé de joie et pénétrant dans celui-ci, me tournant vers mon nouvel adversaire pour aujourd'hui, souriant, réussissant à lui décrocher lui aussi un smile qui illuminait son visage d'encore plus beaux traits qu'il n'en avait déjà et j'avais eut les joues légèrement en feux et je lui avais proposé un volley-ball, étant d'une humeur sportive et joueuse aujourd'hui. Et le jeu avait duré de longues heures, jusqu'à ce que nous ne tombions de fatigue et de chaud au sol, tentant de reprendre nos souffles jusqu'au moment où j'avais rigolé de joie après m'être autant dépensé puis l'avais regardé, le surprenant à faire de même, avant de lui frôler le nez en m'acclamant vainqueur mais il avait râler et nous nous étions chamailler comme des gamins jusqu'à ce que nous nous avouions qu'aucun n'avait compté et nous avions encore plus rigolé, ayant juste profité du moment présent.

En repensant à tout se souvenirs de ce que nous avions vécu, aussi rapidement que cela avait été, je me faisais la réflexion que je n'aurais pas rêvé mieux que de l'avoir à mes côtés, mon Minho, et dans mon sommeil je versais une larme de joie, réalisant qu'il était la personne que j'attendais depuis petit, qu'il était la personne de mes rêves et qu'il était sûrement l'homme de ma vie. Ses souvenirs là étaient réels, au fond de moi je savais qu'il n'avait pas touché ma mémoire pour tout les moments joyeux que l'ont avait passé, tout ses moments et j'étais tombé progressivement amoureux de lui, comment j'aimais le regarder et le taquiner. Oui, je l'aimais, mon Minho.










[verifie et valide]

Découvre-Moi.      ••Minsung••Où les histoires vivent. Découvrez maintenant