NEUF HEURES TRENTE :
Arrivé chez moi je range les courses mon père est en train de prendre sa douche et je commence à préparer la nourriture des petits pour l'après-midi comme ça je suis tranquille.
-Mon père : C'est bon ?
-Moi : Les courses de merde ?
-Mon père : Que tu manges jusqu'à .
-Moi : Fais le malin.
-Mon père : Tu parles à qui ?
-Moi : Personne wch
-Mon père : On va voir maman après ?
-Moi : Ouais
-Mon père : Azy bouffonne
-Moi : T'es sure t'es mon père toi ?
-Mon père : Même moi j'en doute.
-Moi : rigole.
-Mon père : J'ai fait une grosse erreur d'inscrire les garçons à l'école en sachant qu'on va déménager je suis bête.
-Moi : Wallah idiot .
-Mon père : attrapes mes cheveux.
-Moi : rigole.Quelques secondes après il décide de me lâcher les cheveux mon père c'est trop mon pote . Il s'assoit sur le réfrigérateur en mangent un yaourt quand je vous dit c'est mon copain lui .
-Mon père : T'as quel âge ?
-Moi : 22 ans et toute mes dents .
-Mon père : T'es né quand ?
-Moi : 24 février mais t'es sérieux là ?
-Mon père : Tu crois t'es ma meuf ou quoi ?
-Moi : Je t'ai réservé un rendez-vous dans un salon de coiffure tu vas faire tes contours.Encore une fois mon père c'est mon mec il à tout les jours ses contours genre des vraies bails pas de boule à Z regarder le média .
-Mon père : Encore une fois tu crois t'es ma meuf ou quoi j'aime pas ça j'aime pas les salons
-Moi : Papa ça suffit.
-Mon père : regard de travers.
-Moi : J'espère qu'il vont guérir maman.
-Mon père : Mais oui t'inquiète pas.ONZE HEURES QUARANTE :
Les petits rentrent ils commencent à sautés partout la vie si mon père ne serait pas là je les aurais insulter de tout les noms .
-Mayas : On va changer d'école papa ?
-Mon père : Oui parce qu'on déménageQUINZE HEURES TRENTE :
Mon père moi et mes deux grands frères on arrive à l'hôpital on monte dans la chambre de ma mère on toque on entre . Et la le choc total mais extrême. J'arrive plus j'arrive plus à parler ni à entendre pendant 5 secondes ma mère est couchée avant plein de files sur son corps toute pâle. Faut savoir que ma mère est une indonésienne bien matte et là elle est toute pâle.
-Moi : Mais ... mais ? regarde ma mère
-Ayman : Ils s'occupent pas d'elle ou quoi !?
-Ayoub : Attend attend j'arrive !
-Mon père : Sa sert à rien , les médecins me disent toujours la même choses .Un silence s'installe ma mère à les yeux fermés je met mes deux mains sur sa main je craque j'arrive même pas à m'empêcher de pleurer genre je pleure pas pour de la merde parce qu'on dit toujours : "pleurer c'est l'impolitesse du coeur."Ou encore " mieux vaut rire que pleurer." La femme qui m'a élevé qui m'a fait ce que je suis aujourd'hui qui m'a nourri est sur le point de mourir que dois-je faire ?
-Moi : Au non maman souffle pourquoi ?
-Ma mère : ouvre les yeux.
-Ayman : Maman ? Maman comment vas-tu ?
-Ma mère : J .. a .. ça .. ça va .
-Moi : Moi c'est pas possible j'arrive pas je peux pas voir ma mère dans cette état je supporte pas je vais voir les médecins.
-Ayoub : Je te suis !On sort de la chambre on cherche les bureaux des médecins quelques minutes après on trouve un médecin on discute avec lui on tombe bien sur lui car c'est lui qui suit ma mère du coup on lui pose des questions.
-Médecin : Ne vous inquiétez pas elle est dans cette état parce qu'elle sort d'une opération mais nous avons trouvé un bon traitement pour elle mais le traitement peut être médicamenteux ou chirurgical.
-Ayoub : Ouais chirurgicale .
-Médecin : Je dois avoir l'avis de votre mère.
-Moi : Elle sera d'accord.
-Ayoub : Mais sa consiste à quoi ?
-Médecin : Il s'agit d'une intervention chirurgicale lourde, nécessitant l'arrêt de la circulation sanguine, en utilisant des pompes artificielles de circulation extra-corporelle ou la mise en hypothermie . De toute façon je vous mettrais toutes les informations à savoir sur le formulaire de l'opération .
-Moi : on peux l'avoir maintenant ?
-Médecin : oui bien sure je vous le dépose .
-Mon père : entrain de courir.
-Moi : Qu'est-ce qu'il y'a papa !?SUITE ? ... ✍🏾
VOTÉS 🗳
COMMENTER 📲
VOUS LISEZ
𝐍𝐔𝐌𝐁𝐄𝐑 𝐎𝐍𝐄
Fiksi Umum𝑶𝒇𝒇𝒓𝒊𝒓 𝒍'𝒂𝒎𝒊𝒕𝒊𝒆́ 𝒂̀ 𝒒𝒖𝒊 𝒗𝒆𝒖𝒕 𝒍'𝒂𝒎𝒐𝒖𝒓, 𝒄'𝒆𝒔𝒕 𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆𝒓 𝒅𝒖 𝒑𝒂𝒊𝒏 𝒂̀ 𝒒𝒖𝒊 𝒎𝒆𝒖𝒓𝒕 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒊𝒇.