Ange ou Démon

Chapitre 21: Naomi

- Tu as passé la nuit avec Zach ?

- J'ai ramener des croissants, je secoue le paquet devant lui.

Il sourie. Bien sûr que j'ai passer la soirée avec Zach, nous avons parler toute la nuit et élaborer un plan... rien d'autre.

- Tu t'es bien amusée ?

Est-ce amusant de vouloir kidnapper l'homme que l'on aime en prenant soin de briser deux coeur en même temps ? Non.

- On peut dire ça...

Il ce lève et passe à côté de moi avant d'entrer dans la cuisine. C'est froid entre nous.

- Et toi ? Tu as fais quoi hier ?

- J'ai regarder des photos que j'avais pris avec... elle.

Je m'assied sur une chaise du bar et pose le sac en évidence.

- Tu n'es réellement jamais tomber amoureuse ? Demande t-il brusquement en ce retournant.

J'ouvre de grand yeux, prise de cours. C'était valable avant, maintenant je sais ce que ça fait.

- Euh...

Si, mais c'est un amour impossible.

- C'est pas important.

- Je doit prendre sa pour un oui ?

Je baisse la tête.

- Zach ?

- Non, pas Zach.

- Charles ?

- Non, c'est un... un... fou.

Criminel psychopathe, mais je ne peux pas dire ça.

- Hugo ?

- Non plus, dis-je en soupirant.

- Mo...

« Dring dring dring » Toujours coupé au bon moment on dirait.

- Je vais allez ouvrir.

Je me lève et me dirige vers la porte.

- Encore toi ! C'est pas vrai ! Qu'est-ce qu'il faut que je fasse pour te faire disparaître ?

Je roule des yeux.

- Tiens, Kylie, encore et encore.

- Alec est réveillé cette fois ?

Je lui fais signe que oui et elle entre en prenant bien soin de me bousculer au passage.

- Bonjour mon amour, dit-elle en lui sautant dessus avant de l'embrasser en pleine bouche.

Si je pourrais lui arracher la tête je le ferais. Elle me lance un regard après lui avoir limite manger la bouche. Alec lui, il est toujours surpris. Je détourne le regard de cette scène épouvantable, me rappelant jours après jours que ce n'est pas moi qu'il embrasse.

- Écoute Kylie, je... nous ne sommes pas en couple.

- Mais... mais...

- Non, c'était un moment d'égarement de ma part, mais je ne ressent rien pour toi.

Elle ouvre de grand yeux et recule.

- Tu ne mérite même pas de vivre pauvre imbécile !

- Je suis désolé, mais il vaut mieux que ça s'arrête là.

- J'avais des sentiments, souffle t-elle.

- Non, tu n'as pas de sentiments.

Des larmes commencent à naître dans ses yeux et je me contente de baisser la tête. Quelques secondes plus tard la porte d'entrée claque et quand je relève la tête, Alec fuit mon regard.