Spécial noël partie 2 un peu en retard ( ou même carrément)

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Je sais que Noël est passé mais je voulais quand même finir ce bonus aujourd'hui car sinon j'allais le regretter, malheureusement, ce chapitre sera assez long mais je ne voulais pas faire d'autres chapitres au niveau de ce bonus . Je suis désolé de ce retard de plusieurs mois mais je n'arrivais pas à trouver des idées. Je suis vraiment désolé. GOMENNNN!!!!!!!! A partir du 1 mars, je reprendrais les dates de publications un dimanche sur deux car les cours m'en empêche. Merci de votre compréhension et bonne lecture ^^




Ellipse du voyage long et monotone qui a pour discussion tout du long entre Sasori et Deidara :

"l'art et éternel/ l'art est une explosion"

POV (t/p) :

J'ai mal à ma tête, je ne sens plus aucun de mes membres. Je me sens très fatigué. J'ouvre mes yeux, je me trouve dans une chambre sombre qui à pour seule lumière une simple bougie sur la table qui se trouve dans la pièce. J'essaye de m'asseoir, j'ai des vertiges et j'ai mal partout. Dans la pièce se trouve n'est meublé que d'une armoire, une table et un lit. Je me lève avec difficulté, je remarque que je n'ai plus mes armes ainsi que mon bandeau frontale avec inscrit dessus le signe de Suna. Je les chercher partout jusqu'au moment où j'entend quelqu'un rentrait dans la pièce. Je prend le bougeoir comme arme et me mets en position de combat. La personne qui rentre lève les mains comme si il était innocent.

Deidara : Du calme, je venais juste te chercher pour aller voir le boss

(t/p) : Où sont mes affaires?

Deidara : Je te les donnerais après que si tu viens avec moi.

Etant donner que je veux récupérer ma pochette qui contient toutes ma raison de vivre à l'intérieur. Je sors de la chambre et suis le blond.
Je regarde tout autour de moi. Je ne vois que des murs de pierre poussiéreux qui ne sont éclairais que par des torches qui sont accroché aux murs que tous les cents mètres donc on ne voit pas très bien où on met les pieds. A cause de l'obscurité, je me prends le coin de l'une des dalles de pierres entreposer au sol et tombe. Deidara arrive à empêcher la chute en s'arrêta pour voir. Je me prends son dos dans la figure et au moment de me relever, je vois le visage interloqué du déserteur.
Je me redresse automatiquement, mets ma main derrière la tête tout en rougissant à cause de la gène qui me gagne.

(t/p) : Désolé, je suis tomber.

Deidara : Fait plus attention la prochaine fois, d'accord.

Puis il repris sa marche lente et décontracté. Au bout de cinq minute, nous atteignons une grande salle où se trouve huit personnes. Un homme assez grand aux cheveux orange et aux yeux violet s'avance vers moi et pris la parole.

??? : Donc la voila, la fameuse (t/n), je suis déçu.

HHHEEEIIINNNNN!!!!!! Mais il se prend pour qui lui. Je ne le connais même pas et il dit ça. J'allais m'avancer pour lui régler son compte mais Deidara m'arrête avec son bras. Il me chuchote de me calmer et de laisser l'homme qui s'appelle Pain de finir avant de m'énerver.

Pain : Sasori, Deidara, je crois que vous vous êtes tromper de personne. On ne m'avait pas dit qu'elle ressemblait à une gamine.

Sasori : On t'a ramener l'élève de Chiyo et de Tsunade comme tu nous l'a demander. Je ne vois pas où est le problème.

Pain : Oui mais je ne crois pas qu'elle aura le niveau.

Là, trop c'est trop, j'en ai marre que ce mec que je ne connais même me dégrade autant. Je m'avance vers lui. Le déserteur me regarde de haut alors que je ne suis pas si petite. 1m.70, il faut le faire. Je le regarde d'un regard si froid que si Tsunade était là, aurait arrêtait de boire sa bouteille de Saké sur le champs.

Le corbeau soigné par une fleur de cerisierOù les histoires vivent. Découvrez maintenant