Sofia, jeune femme pleine de vie, vit dans un monde où Lycanthropes et Humains se côtoient chaque jours.
Elle ne veut que dessiner, vivre sa vie pleinement, être libre, aller dans l'Université de ses rêves.
Lui, avait perdu tout espoir de la rencont...
-Attention, ce chapitre contient une petite scène de sexe vous êtes prévenu ! Sinon enjoy !-
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Sofia
Les jours passent et ne se ressemblent pas, ma relation avec Alessandro évolue chaque jour un peu plus et je commence doucement à m'attacher à lui. Je me rend compte que j'aime sa chaleur, sa douceur, ses baisers et ses câlins...
Soufflant doucement, je m'étire dans mon lit encore à moitié endormie et un grand sourire vient se plaquer sur mon visage en pensant à quel jour nous sommes,
Mon anniversaire.
Je me lève précipitamment de mon lit, oubliant vite la fatigue et m'habille à toute vitesse. Je fais ma toilette aussi vite que possible et sort de ma chambre en courant, je cours dans les escaliers et je peux presque entendre la voix d'Alessandro dans ma tête me dire de ne pas courir, que je pourrais tomber et me faire mal.
Je laisse un petit rire m'échapper à cette pensée, il est si protecteur avec moi, certaines personnes pourraient trouver cela étouffant moi, je trouve ça plutôt mignon dans la limite du raisonnable bien entendue.
Ma course s'achève dans la cuisine où mon âme-soeur est déjà attablé, son journal et son café noir quotidien devant lui. Il lève les yeux de son journal et en me voyant se matérialise devant moi.
"Buoncompleannogattina.." me chuchote t'il à l'oreille d'une voix si douce et sensuelle que je sentis mon corps être parcouru de frissons de plaisir.
(Bon anniversaire mon chaton...)
Je lui répondis par un sourire et il m'embrassa la tempe, ravi de l'effet qu'il avait sur moi.
Il me pris ensuite par la main et me fit assoir sur la chaise à côté de lui, pour ensuite me glisser un plateau remplie de nourriture qui me donnèrent l'eau à la bouche. Il y avait des fruits, des crêpes, des viennoiseries, un jus de fruits pressés...
"Bon appétit miaCara, j'espère que tu aimeras, j'ai participé à la confection de ton petit déjeuner mais ne t'inquiète pas Rosa m'a beaucoup aidé, il faut dire que sans elle j'aurai déjà mis le feu à la cuisine..." me dit il en se grattant le cou, gêné.
