[Livaï X Reader] - Tout ce que je n'ai pas pu te dire...

Chapitre 18 : Parle moi ! (Lemon)

Point de vue (t/p) :

L'entraînement avait déjà commencé depuis quelques heures, je voyais Livai qui me jetait quelques regards furtifs de temps en temps mais déviait rapidement ses yeux vers une autre direction. Il avait l'air gêné de ce qu'il s'était passé cette nuit. Je décida donc d'aller me venger de toute les fois ou il m'a humilié en allant l'embêter.

Je m'approcha de lui et colla ma poitrine à son bras tout en rapprochant ma bouche de son oreille.

Moi : Alors caporal, on dit pas bonjour ?

Livai : tch, retournes t'entraîner.

Moi : Je crois que ce qu'il s'est passé cette nuit mérite une petite explication... Vous ne trouvez pas que c'était légèrement... bizarre ?

Livai : Pas vraiment non.

Moi : Ah bon ? dans ce cas vous ne voyez aucun inconvénient à ce que j'aille en discuter avec Hanji ou Sasha ? si ce n'est pas bizarre... hihihi

Livai : Fais ça et je te fais sauter la tête aussi vite que je découperais celle d'un titan.

Moi : c'est à dire plutôt lentement ?

Livai : Tu veux essayer pour voir ?

Moi : ça va aller je pense...

Je m'en alla toujours en veillant sur lui et en le regardant avec amusement ce qui n'avait pas l'air de lui plaire. De plus, Hanji commençait à remarquer notre petit jeu et s'approcha de moi pour débuter une conversation qui s'avérait être des plus... passionnante.

Hanji : dis, dis, que t'a t'il fait ? il a l'air bizarre avec toi shorty ce matin non ? hihi vous avez fait quelque chose pendant la soirée d'hier ?

Moi : Oui nous avons dansés ensemble puis pris de l'alcool et pour finir nous avons eu des rapports plus que passionnés dans sa chambre et c'était incroyable.

Hanji : C'est vrai ???!!!!

Moi : Non.

Hanji : oooh, ce que tu peut être rabat-joie.

Moi : Je sais.

Elle s'en alla car elle savait qu'elle n'obtiendrait rien de très intéressant de ma part. Après que l'entraînement ce soit terminé, j'allai prendre une douche dans ma chambre avant de me diriger vers celle du caporal car je ne comptais pas m'arrêter là. J'avais besoin d'explication et de clarifier les choses.

Une fois arrivé au niveau de la chambre de ce dernier, j'entrai sans même toquer ce qui me fis retrouver dans une situation plutôt gênante.

Le caporal était dénudé portant seulement un caleçon ce qui laissait entrevoir son corps superbement sculpté. Il me regardait d'un air étrange comme si il ne comprenait pas ce qu'il se passait. Mais il n'avait étrangement pas l'air en colère.

Livai : Oï, es-tu au courant qu'avant d'entrer dans la chambre de quelqu'un on frappe ?

Moi : Cette règle n'a pas l'air d'être appliquée puisque vous même ne vous gênez pas pour entrer dans la mienne sans frapper !

Livai : Sauf que je suis ton supérieur..

Moi : Et alors ?

Livai : Je peux te punir pour ce que tu viens de faire.

Moi : Me punir comme hier par exemple ?! parce que sa tombe bien je suis justement venu pour parler de ça.

🍋🍋🍋

Livai s'approcha de moi et me plaqua contre le mur, son corps transpirait et ces longues mèches noir était collées contre son front à cause de la sueur. Il venait de faire du sport... Visiblement il était prêt à recommencer puisque très vite il descendit sa main le long de ma cuisse la caressant au passage. Il laissa quelques suçons suite à ses baisers répétés dans mon cou et ma nuque. Livai descendais ses lèvres au niveau de mes seins qu'il mordilla sans relâche. Il jouais avec mes tétons en faisant tourner sa langue autour de ces derniers.

Moi : Att... attend... arrête !

Livai : T'es sur de ça ?

Moi : Explique moi !

Livai : T'expliquer quoi ?

Moi : Putain Livai, je suis quoi pour toi ? un simple soldat comme les autres ? tu crois peut-être que j'ai envie d'être ton objet sexuel mais pas du tout !

Livai : Je ne te traiterais jamais ainsi. Une femme ne mérite pas d'être pris pour un simple désir sexuel, tout comme un homme d'ailleurs.

Moi : Alors tu ressens quelque chose pour moi ?

Livai :...

Moi : Si c'est le cas, alors dis le moi mais je ne veux pas faire quoi que ce soit si tu ne ressens rien d'autre pour moi qu'une simple envie d'assouvir tes désirs...

Livai : Je te vois différemment par rapport aux autres soldats. Tu m'a ouvert les yeux sur certains points et je ne peux pas cacher que je ressens des choses pour toi...

Je ne le laissa pas continuer et m'empressai de me ruer sus ses lèvres qui m'appelaient. Je sauta sur lui et enroula sa taille de mes jambes, Livai passais ses bras musclé sous mes genoux pour me rapprocher de lui, il faisait chaud, la température ne cessait d'augmenter, je priais pour que personne ne vienne à nouveau interrompre ce baisé que j'avais tant attendu. Il était passionné, charnel, je ne pouvais me défaire de ses lèvres qui faisait battre mon cœur de toute sa puissance. Mes sentiments envers cet homme faisait écho en moi et me rappelait qu'il était celui qui m'avait redonné foie en la vie. Je caressais ces douces joues jusqu'à arriver à nouveau à ces lèvres dont je m'écartais rapidement pour le fixer droit dans les yeux.

Moi : Je t'aime, je t'aime tellement alors emmène moi aussi haut que mes sentiments à ton égard...

Livai n'attendis pas une seconde de plus et me déshabilla complètement avant de me plaquer à nouveau mais cette fois sur son lit. C'était le même lit que la fois ou il m'avait montré ce qu'était "un pervers", mais cette fois il ne s'arrêtait pas comme la dernière fois. Ces mains baladeuse sur mon corps revigorait en moi une flamme qui c'était éteinte depuis déjà bien longtemps. La bouche de Livai descendit à hauteur de mon vagin qu'il s'empressa de pénétrer avec ses doigts. De sa langue, il jouait avec mon point le plus sensible, et de ces doigts, il me provoquait une sensation indescriptible.

Moi : Li...Livai...

Il se redressa au dessus de moi et je décida de reprendre le dessus. J'enlevai son caleçon afin de laisser place à son membre durcis qui n'attendait plus qu'à être utilisé. Je le mis en bouche et fis des vas et viens ce qui fit échapper des petits grognements de la bouche de mon supérieur. Je sentais qu'il s'apprêtait à jouir alors je m'arrêta afin de me replacer au dessus de lui.

Moi : Parles moi Livai...

Livai : Je...

Moi : Mmmmh...

Il rougit et se plaça au dessus de moi afin de me bloquer les poignets.

Livai : J'y vais.

Moi : O...oui...

Livai me pénétra et s'enfonça de plus en plus profondément en moi. J'eus même cru que son pénis allait s'enfoncer dans mon ventre, finalement il commença quelques coups de reins puis accéléra la cadence pour me faire lâcher quelques gémissements. Nos corps débutait une danse charnelle et enflammée qui durait toute la nuit éclairée par la simple lueur de la lune. L'atmosphère était intense et embrasée et ses vas et viens ont cessés au bout d'un certain temps.

🍋🍋🍋

Une fois notre acte terminé, on s'allongea l'un à côté de l'autre, cette fois, ce n'était pas les bras de Morphée mais ceux de Livai dans lesquels j'allais pouvoir somnoler toute la nuit.