Jasmine « J'irai où tu ira »

Chapitre 37

Salem waleykum

Je me réveille avec un mal de tête horrible, une migraine insupportable. J'avais tellement pleurer que j'en ai eu mal à la tête. Je me retourne, je vois que Samir est entrain de dormir. Je me lève doucement pour ne pas le réveiller et je vais me préparer un petit déjeuner.

J'en profite pour envoyer un message à Mehdi encore une fois en espérant qu'il me rappellera aujourd'hui..

- Moi « Salut rappelle moi c'est important stp »

Je pose mon téléphone, fatigué et désespérée. Je regarde par la fenêtre, ma tasse de café à la main et l'esprit d'ailleurs.. J'étais dans mes pensées quand mon téléphone sonne, c'est Mehdi  .. Je saute limite sur mon téléphone et je décroche.

- Moi : Allô Mehdi ?

- Mehdi : Ouais

- Moi : Ça va ?

- Mehdi : Ouais Hamdoulilah et toi ?

- Moi : Pas trop, pourquoi tu nous répondez plus à moi et Samir

- Mehdi : J'étais occupé

- Moi : Arrête je suis au courant

- Mehdi : -il souffle- J'ai pas envi d'en parler Jasmine

- Moi : Mais c'est quoi ça Mehdi ? Depuis quand vous faites ça vous deux ?

- Mehdi : Dis ça a ton reuf

- Moi : T'inquiète pas que je l'ai embrouillé maintenant c'est à toi que je parle Mehdi. On t'attend tous, maman, papa, Ylies, Lamia, Samir et moi, moi tu me manque Mehdi je veux que tu revienne

- Mehdi : Je suis pas chez moi je l'ai bien compris

- Moi : Dis plus jamais ça de ta vie Mehdi, cette maison c'est la tienne ! T'es mon frère, je suis ta soeur. C'est pas pour défendre Nouri mais je sais qu'il ne le pense pas, je te le jure il ne le pense pas et qu'il regrette grave

- Mehdi : J'sais pas

- Moi : S'il te plaît Mehdi

- Mehdi : Vas-y je te rappelle après Jass

- Moi : Okk fais attention à toi

- Mehdi : Toi aussi

Il raccroche. Il était froid et fermé, ça s'entendais qu'il était triste et détruit.

[...]

- Moi : Bébé

- Samir : Ouaiiis ?

- Moi : Tu peux fermer ma robe !

- Samir : J'arrive !

Il entre dans la chambre, en me voyant il sourit, ce qu'il le rend tellement beau.

- Samir : Tu veux que je devienne fou -en fermant ma robe-

- Moi : Merci chéri

Il prend ma main et me fais tourner sur moi même pour mieux admirer mdr. Lui aussi il avait mis un beau pantalon à pince avec un polo. Rien a dire il était parfait ..