Eternity Prudence-Severus ( sans correction)

Chapitre 1 : Magie

Demain sera première journée de cours de ma dernière année a Poudlard. Je me sentais de moins en moins mal. Il n'y avait qu'une chose qui me tracasser, ce rêve insupportable. Je le faisais depuis plusieurs mois. Bizarrement ma peur de Voldemort c'était peu a peu estompé et bien entendue je ne rêver pas de lui mais bien de Severus. Dans mes rêve, il faisait toujours la même chose, c'est rien à part me dévisager. Il porter une expression étrange sur le visage, entre amour et haine. Comme si je l'avais blessé. Pourtant c'est lui et lui seule qui avait mis fin a notre relation. Mon cerveau me joua des tour alors pour me consoler je décida de sortir prendre l'aire. Je croisa le trio que je salua avec joie et me dirigea dehors, la ou Fred et George s'entrainer au combat avec leur père. Je l'ai observée en silence, consciente de la nécessité de se concentrer pour réussir a gagné. Ce fut finalement Fred le vainqueur. Je finis par m'avancer pour les féliciter tout les deux.

-Vous avez était impressionnant !

George mis sont bras autour de mon épaule pour se vanter, prétendant que sont frère avait triché. 

-Au final on sait toi et moi qui es le meilleur !

Fred répliqua que sont frère était mauvais perdant. J'avais bien compris qu'il voulait voir un sourire de ma part. Je souris donc et rie de leurs désaccord, ce qui satisfait les jumeaux. Lors de mon arriver aux Terriers, la famille entière était présente avec en leurs compagnie les membres de l'Ordre. C'était la première fois que je l'ai rencontrée. Ils étaient tous au courant. Depuis un certain temps pour certain et quelques heures pour d'autres. Contre toutes attentes Fred et George semblait attrister de mon état et ne se préoccuper pas de savoir mes origines sombre. Plutôt que de me rejetée, je fus accueillie par des mains chaleureuses. On m'expliqua alors ce qu'était l'ordre du Phoenix. Les actions qu'il menée au ministère et l'espionnage chez les Mangemort. J'appris que Severus en faisait partie, ce qui expliqua bien des choses, comme ces disparitions a répétition pour des réapparitions sans aucune logique. Ginny et Ron était dans leurs chambre quand je fus mise au courant. Leurs parents les trouvé bien trop jeune et ne voulait pas les soumettre a ce secret. Quant aux jumeaux et au deux ainées, il avait pris leurs décisions depuis bien longtemps déjà que des leurs majorité, il l'intégrerais. Les deux plus âgé en faisait partie, Fred et George qui n'avait allé bientôt avoir leurs 18 ans faisait déjà presque partie de l'Ordre. C'est ce jour là que je vue Sirius Black pour la première fois. Il était accueillant, me remerciant de ma sagesse et de mes dons. J'étais surprise qu'un homme tel que lui et pue être accusée aussi injustement. Le professeur Lupin était la aussi. Quand je le reconnue, je ne pue m'empêcher de fondre en larmes. À son départ de Poudlard, je n'avais pu le remercier de son réconfort et ses conseils. Sa femme était elle aussi présente et souriait, attendrit. Le professeur me pris dans ses bras, comprenant ma peine et me promis de me donner un entrainement digne de ce nom. Après cette soirée riche en émotion, je montais a l'étage, la ou Ginny avait déjà installé sa chambre pour que je m'y sente comme chez moi. Elle était adorable, pleine de compassion et de courage. Ron quand a lui vint timidement me souhaiter une bonne nuit en me promettant que mon secret serai bien garder avec lui. Je ne pouvais rêver mieux. 

Le père Weasley demanda à ses fils de bien vouloir rentrer, leurs expliquant que c'était a mon tour de m'entrainer. Demain je me rendrais à Poudlard pour une nouvelle année et ainsi commencer un entrainement intensif chaque jours dans la salle de combat personnel du professeur Dumbledor. Le professeur Lupin serait mon Maitre. J'avoue avoir était blesser a cette annonce. Non pas que le professeur Lupin était mauvais, au contraire, je l'estimais beaucoup. Cela voulait dire que Severus avait refusé. Je commencés  à me fier a l'idée qu'il ne voulait vraiment plus entendre parler de moi et avait tiré un trait sur notre relation. Je sortie cette idée de mon esprit en entendant mon prénom.

-Prudence, vient.

Je m'exécuta laissant des jumeaux rentrer et se coller aux vitres voulant observer mon entrainement. Le père de famille était poster au milieu d'une zone d'herbes jaunie, signe qu'elle avait brulé à cause du soleil. Je m'approcha de lui, un peu anxieuse de savoir qu'elle serait mon entrainement. 

-Bien, aujourd'hui nous allons commencer par le contraire de ce que tu as accomplie.

Je me tournais vers lui.

-Le contraire ce que j'ai accomplis ?

-Oui. Tu as dû remarquer la différence de couleurs entre la végétation. Je veux que tu fasses l'inverse de que qu'il c'est passer dans la foret interdite. Je veux que tu redonnes vie a la végétation du terrier.

J'étais intriguer de savoir comment je pourrait effectuer une telle chose. Prendre une vie était une chose, la redonner en était une autre. Je compris qu'il voulait que je commence mais ne savais pas par ou commencer, mes pouvoirs n'avait fait que détruire jusque la. 

-Mais je n'est pas ma baguette.

L'homme souris satisfait de ma question.

-As tu eu besoin de ta baguette dans la foret interdite ?

Je restais sans voix, déviant mon regard sur mes mains. Réfléchis, réfléchis, comment a tu fais pour arriver a effectué un tel exploit ? Je me souvins alors du désespoirs que j'avais ressentis lors de l'incident. Fallait t'il que je me force a repensée a cette horrible découverte pour réussir a canalisée ma force ?

Je m'agenouilla, puis posa mes mains sur l'herbe froide, fermant les yeux pour mieux me concentrer. Je ressassais toutes les choses que j'avais découvertes ou qui m'avait blessée depuis mon arriver a Poudlard. Ma marque et les cauchemars, ce mangemort, l'elfe m'accusant d'être un monstre, de départ de Severus, les douloureuses vision, la mort de Cédric, ma séparation avec celui que j'aime et enfin Voldemort... Mais rien. Je sentais en revanche que la vie continuer de partir et ouvrais les yeux n'arrivant qu'a tuée encore plus la végétation du Terrier. Je tournais le tête mécontente vers mon professeur du jour.

-Je n'y arrive pas !

Il regarda autour de lui.

-Pourquoi canalise-tu ton énergie sur des ondes négatives. Prudence tu dois penser a la vie pour la donner. Les moments agréable que tu as pu avoir dans la nature, des expériences qui ton marquais en bien. 

Je ne bougea pas un moment, les yeux fixer sur ce sol mort. Je savait, c'était si simple. Je reposer les mains sur l'herbe froide et contempla mes souvenirs. Ce jours-là avec Fleur quand nous étions plus petite. Nous avions fait un magnifique bouquet de rose dans le jardin de l'école. C'était une journée tellement apaisante... Le soir de sont retour, a lui, a Severus. Pres du lac noir, j'avais aperçue sa silhouette. L'herbe était verbe et belle. Le plus beau souvenir était de loin ma rencontre avec Mistral. Le jour de mes 14 ans. Du haut de ma tour qui était en réalité le dortoir, j'avais vue sur un arbre gigantesque. De cette arbre y était tombée un oisillons. Je l'avais remarqué en observant le paysage de la fenêtre. Par miracle l'oiseau était vivant a mon arriver mais blesser. Le plus incroyable encore était qu'aux moments même ou mon doigt toucha la peau de l'animal son mal avait disparue. Depuis ce jour je ne quitta plus ce petit bébé que je renomma Mistral. Je sentie un sourire m'échapper alors que je tenais un peu plus fermement la terre. Je m'arrêta sentant de la vie autour de moi. Mes yeux s'ouvrirent doucement mais je ne tomba pas sur un paysage d'herbe, de roseaux et d'eau. Non, j'avais en face de moi du bois ou plutôt des écorce. Je releva la tête et m'aperçus de ma création. C'était un immense chêne, vert de vie et feuille au vent. Il était magnifique. Je me leva lentement, contemplant sa beauté. Mes yeux se tournèrent vers le sol et pivota doucement pour sourire ravit. L'herbe était maintenant verte et épanouie. Je souffla, récompenser. Une voix me surpris.

-Ton pouvoirs de vie et de toute beauté.

Il avait le sourire. Je commencer à me rendre compte que cette magie était sortie des mes mains, de moi. Je fixa mes mains que j'avais tendues devant moi et remarqua les enfant et la mère Weasley, dehors fixant l'arbre que je venais de faire naitre. Je compris ce jour là que mon rôle n'était pas la destruction mais bien de donner vie.