chapitre 34

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Quand kate ouvrit les yeux, il était présque midi.
Sa chambre d'hôpital était baigné d'une lumière vive.  A sa gauche, son fils dormait dans son berceau.
Elle tourna la tête à droite et vu Nick assit sur un fauteil à quelques mètres d'elle.

-Bien réveillé ? Demanda-t-il en souriant.

-Oui. Toi par contre on ne dirait pas que tu as dormi.

Les cernes sous ses yeux et sa barbe de plusieurs jours montrer clairement sa fatigue. Mais il n'en était que plus séduisant.

Je t'aime de tout mon cœur.

Cette phrase revint de nouveau à sa mémoire. Nick lui avait dit qu'il l'aimait mais était-il sincère?
Elle savait que les hommes disaient toujours des choses sous l'effet de l'action qu'il ne pensait pas.  
Etes-ce le cas pour Nick?

-Tu devrais allé te réposer un peu et puis aussi te changer.

-Je ne suis pas fatigué; dit-il. Et puis je n'ai pas de vêtement de rechange, il va falloir que j'aille au magasin.

Kate avait du mal à le croire, Nick qui t'habitude était toujours bien organiser avait oublié de prendre des habits de rechange?

-Quand Charles m'a appellé, je n'ai pas pensé à autre chose que d'être près de toi.

Une chaleur bien famillière enveloppa le cœur de Kate. Mais cette fois elle ne se donnerait pas des faux éspoirs. Il se leva et vient se mettre à côté d'elle sur une chaise.

-Pourquoi as-tu demandé à ta famille de ne pas m'appeller? Demanda-t-il.

-J'avais prévus de t'appeller dès qu'il serait né. J'ai pensé que tu avais peut être mieux à faire.

C'était complétement faux. Mais elle s'était promis de ne plus se montrer faible devant lui alors lui dire qu'elle avait eu peur qu'il ne s'y intéresse pas était inenvisageable.

-Bon sang, tu crois qu'il y a plus important que ton accouchement? Demanda-t-il outré.

-Deux mois, tu as passé deux mois sans donné de nouvelle. Tu n'as pas répondu à mes appels ni aux sms alors désoler si j'ai cru que tu étais passé à autre chose.

Sa voix était tramblante, ses yeux brillant, elle se détestait pour sa faiblesse mais il n'y avait que Nick pour pouvoir la mettre dans cet état.

-Je suis navré, dit-il tout cour.

-Navré ! Reppeta-t-elle.

Elle passa ses mains sur son visage, espérant chasser tout les sentiments contradictoire qui s'y afficher.

-J'étais hors de moi, je ne savais pas quoi faire. Bon sang...

Il se passa la main sur le visage. Il était apparemment aussi troublé qu'elle par ses sentiments.

-Quand j'ai appris que tu étais parti j'ai cru devenir fou, j'étais perdu...

-C'est toi qui m'a chanssé, tu m'as demandé de partir; l'accusa-t-elle au bout des larmes.

Elle avait deffinitivement abandonner l'idée de lutter contre ses sentiments.

un bébé pour le milliardaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant