-Chapitre 18-

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On avançais en silence vers le bureau du directeur. Théo et les cassos c'étaient maintenant calmés mais me jetaient des œillades noirs que j'ignorais.

Arrivés devant la porte ou le mot « directeur » était inscrit, le surveillant frappa trois petits coup à la porte en attendant un « entré ». Nous rentrons tous. Par je ne sais quel miracle, nous rentrons tous les dix sans être trop collés les uns aux autres.

- Que se passe-t-il ici ? Pourquoi y'a-t-il autant de monde dans mon bureau ?

- Ces huit jeunes on essayer de frapper tous ensembles cette jeune fille. Et il semblerait que se ne soit pas la première fois, selon les paroles de ce jeune homme. Dit le surveillant en pointant d'abord les cassos, puis moi, avant de pointer Théo.

- Et pourquoi avez vous fait cela ? Demanda le directeur en s'adressant aux cassos.

- Elle nous a provoqué.

- Et puis-je savoir comment ?

Ils partirent dans une version détaillée de l'histoire en omettant le fait qu'ils m'aient insulter, menacer et qu'ils m'avaient déjà tabassée.

- Eh bien. Et vous jeune fille, votre version ?

Je lui racontais donc ma version sans oublier les dits détails.

Le directeur fronça les sourcils.

- Eh bien, quel est la vraie version ? Elles se ressemblent, il y a juste quelques détails en plus dans celle de la jeune fille, mais les deux peuvent paraître réel.

- On à qu'à demander à un élève neutre, qui a assisté à la scène. Dis-je.

Les cassos sembles tout à coup stressés, étrange n'est-ce pas ? Pfff.. fallait qu'ils y penser avant qu'il y avait des gens dans la cours.

- Cela me semble être une bonne idée.

- Je vais y aller. Dit le surveillant.

Le directeur hoche la tête et le surveillant part.
Il reviens deux minutes plus tard. Une fille le suis, elle est rousse, elle a de très beaux yeux bleus. Elle a l'air tendue, timide et stressée, elle n'a pas l'air de se sentir à l'aise.

- Merci, dites moi se qu'il s'est passé s'il nous plaît. Dit le directeur à l'intention de la fille.

- Oui.. Et bien.. Euh.. C-c'est le g-garçon qui a c-commencer. D-d'abord la fille i-ici dit elle en montrant Judie. A pro-provoquée G-Gabriela. En-ensuite le g-garçon s'est a-avancer et a v-voulu frapper G-Gabriela. I-Il a aussi d-dit clai-clairement que se n-n'était pas la p-première fois qu'il l'a fra-frappais.

- D'accord, merci beaucoup.

- Et au-aussi, les sept autres et-étaient en pl-place pour fr-frapper.

- Entendu, tu peux y aller, je vais régler se problème.

La fille hoche la tête et s'en va.

- Bien, Gabriela c'est ça ? Me demande-t-il.

- Oui.

- Tu n'auras rien. Toi, comment tu t'appelle, nom prénom classe ? Demande-t-il à Théo.

- Théo ******, 3°C.

- Tu as un jours d'exclusion et deux heures de colles pour avoir essayer de frapper Gabriela. Les autres, seulement une heure de colle, ensuite, je vais mener une petite enquête pour savoir si vous avez harceler Gabriela, si oui, vous le payerez cher, le harcèlement n'est pas toléré au sein de cet établissement, suis-je clair ?

- Oui monsieur.. Disent les cassos.

Le directeur nous fait un papier pour que nous puissions retourner en cours et tout le monde s'en va.

- Bonjour Monsieur, désoler du retard ! Dis-je en me dirigeant vers son bureau et en lui donnant le papier du directeur.

Il le lis et me fait signe d'aller à ma place.

J'y vais et commence à sortir mes affaires. Je vois une enveloppe sur mon bureau alors je l'ouvre.
Voici la lettre :

Salut ! Content(e) (et oui je te dit pas si je suis une fille ou un gars ;)) que tu ai accepter ! Pour apprendre à se connaître, je te propose un truc : Je te pose des questions, tu y répond le plus honnêtement possible et à la fin de la semaine tu auras un indice, celui de ton choix sur mon identité, alors ? Qu'en dis-tu ?

Oui                                           Non

         Anonyme pour le moment

J'ai donc accepter et je continue de me concentrer sur le cours.

PDV Inconnue :

Je vais dans mon cours préférer, Histoire-géographie. Pourquoi c'est mon cours préférer ? Parce que le prof est mon parrain et que c'est dans ce cours que je met mes lettres pour Gabriela. Je vais à ma place. Mon parrain s'approche de moi.

- Tiens. La réponse de Gabriela.

- Merci Parrain.

- Ne m'appelle pas comme ça au collège, je te l'ai déjà dit !

- Ok, ok, pas la peine de t'énerver.

Il se retourne et j'ouvre la lettre, impatiente.

Je vois qu'elle a accepté alors je souris grandement. Je n'écoute déjà plus mon parrain qui fait le cours puisque je m'applique pour écrire ma prochaine lettre, de toute façon, mon parrain pourras me refaire le cours une fois à la maison.

Ma lettre finie, je suis plutôt contente de moi. Mon regard se pose maintenant sur mon parrain et je suis enfin le cours.

A la fin des cours, je rentre chez moi en bus.

- Oi querida, tudo bem? (Salut ma puce, ça va)

- Oi pai, eu estou bem. Você teve um bom dia? Ela está bem mãe? (Salut papa, je vais bien. Tu as passer une bonne journée ? Comment va Maman ?)

- Sim, eu tenho um bom dia, obrigado e por sua mãe .. (Oui j'ai passer une bonne journée, merci, et pour ta mère..) (NDA : C'est du Portugais, je suis désoler si se n'est pas la traduction exact)

- Elle ne va pas bien, n'est-ce pas..?

- L'hôpital a dit qu'ils avaient commencer le traitement mais qu'il fallait attendre deux mois pour savoir s'il fait effet. Pour l'instant il y a 50% de chance qu'elle meurs..

- D'accord.. je monte dans ma chambre faire mes devoirs.

- Travail bien.

Dans ma chambre, je fond en larme. Gabriela.. Si seulement tu était avec moi.. Au moins je te saurais en sécurité, et tu pourrais me réconforter..

Dans mon monde... Où les histoires vivent. Découvrez maintenant